Captain Harlock
Démocratie Participative
08 janvier 2019
Le système juif a perdu la guerre des coeurs et des esprits.
Sa police a subi un désaveu cinglant avec la masse impressionnante de dons récoltés par le Boxeur Mythique Christophe Dettinger.
Aux dernières nouvelles, j’ai vu qu’elle totalisait 116,000 euros pour près de 7,000 donateurs. En seulement 24 heures et les dons devraient continuer d’affluer.
Ce soutien se convertit instantanément en défaite politique majeure pour le (((gouvernement d’occupation))).
Les juifs avaient tout misé sur la diabolisation du mouvement en focalisant à outrance sur cet épisode, exigeant de la plèbe qu’elle se rallie par réflexe bourgeois en faveur de « l’ordre ». De l’ordre juif j’entends.
Ils découvrent qu’une masse énorme de gens a trouvé ce spectacle absolument grandiose.
Ils ont été jusqu’à dire que les flics protégés par leur tenue de robocop allaient mourir d’un ou deux coups de pieds.
« Il cherche à tuer. Ce n’est pas des coups juste pour faire mal. »
Cédric est gendarme et il a été tabassé à terre par l’ancien boxeur Christophe Dettinger samedi dernier lors de l’acte VIII des gilets jaunes à Paris.@salhiabrakhlia #Quotidien pic.twitter.com/Hnl67TPVXJ
— Quotidien (@Qofficiel) 7 janvier 2019
Ce besoin d’en faire des tonnes nous rappelle d’ailleurs l’origine ethnique commune des scénaristes d’Hollywood et de ceux qui font la communication de Macron.
Le moins que l’on puisse dire, c’est que cela n’a pas pris. En fait, cette surenchère dans la guimauve émotionnelle devient même contre-productive. Car les gens, face à cette dramatisation grotesque, achètent l’histoire argent comptant.
Ils se disent que ça a de l’allure.
Ce qui signifie bien sûr qu’ils en veulent plus.
Beaucoup plus.
La vaginette à juif Mahjoubi s’en lamente.
La Cagnotte du Boxeur. Apparemment, ça rapporte de frapper un policier. Quand l’attrait de l’argent vient s’ajouter à la haine et à la violence, je n’ai que du dégout.
Tout le monde doit être responsable : cette cagnotte est indigne. pic.twitter.com/rwoXV4AU7J
— Mounir Mahjoubi (@mounir) 7 janvier 2019
Les flics, qui mesurent à quel point leur loyalisme à l’égard du pouvoir judéo-macroniste les a isolé, pleurnichent également sur les réseaux sociaux.
Cagnotte du boxeur qui a délibérément frappé des gendarmes : + de 110 000 euros ce matin. C’est une énième provocation ! C’est un message à la haine et à la violence par destination qui se doit d’être sanctionné. @CCastaner @NunezLaurent @DGPNEricMorvan
— Officiers et Commissaires de police (@PoliceSCSI) 8 janvier 2019
Ces flics ne savent même plus ce qu’ils disent.
Sanctionner quoi ?
N’importe qui peut donner ce qu’il veut à qui il veut.
Certains appellent à « saisir » cette cagnotte. Il suffit que les fonds récoltés soient versés sur le compte d’un membre de sa famille, la femme du Boxeur Mythique par exemple, et c’est réglé.
Donc, maintenant, la presse juive tente de délégitimer la délégitimation du régime.
Cagnotte pour le boxeur : est-ce que cette initiative vous choque ? #LaMatinale
— CNEWS (@CNEWS) 8 janvier 2019
Cela ne me choque pas du tout que les gens soutiennent financièrement ceux qui veulent anéantir le pouvoir judéo-bancaire.
Le système est particulièrement inquiet au sujet de l’attitude de la gauche radicale sur laquelle les syndicats et le Parti Communiste n’exercent plus qu’une influence marginale.
Depuis des semaines la France Insoumise est assiégée par les juifs pour qu’ils acceptent de se rallier au marais de la bourgeoisie républicaine.
Toujours pas un mot de #LePen , #Mélenchon et #NicolasDupontAignant pour, 48h après, condamner, dans l’#ActeVIII des #GiletsJaunes: le lynchage d’un flic; l’attaque contre le Ministere de #BenjaminGriveaux et contre @lestrepublicain; les incendies. Sont-ils encore républicains ?
— Bernard-Henri Lévy (@BHL) 7 janvier 2019
Appelons un chat un chat : des irréductibles qui s’enfoncent chaque samedi plus loin dans une violence factieuse, font le coup de poing sauvagement contre un policier ou défoncent la porte d’un ministère, cela n’a plus rien à voir avec le refus de l’injustice sociale et fiscale.
— Anne Sinclair (@anne_sinclair) 6 janvier 2019
Si l’extrême-droite devait un jour arriver au pouvoir la gauche nous expliquera doctement que seul Macron est responsable et…retournera à son néant conceptuel.Quant à la droite… Ah oui,mais au fait c’est quoi la droite?
— Namias Robert (@NamiasRobert) 7 janvier 2019
A tous ceux qui (légitimement) s’inquiètent, @JLMelenchon se porte bien ! ?? https://t.co/dFjNgfJq7r
— Raphaël Enthoven (@Enthoven_R) 7 janvier 2019
Et depuis des semaines les mélenchonistes répondent en faisant de la surenchère.
Lorsque le secrétaire de Unité SGP police-FO me traite de « criminel » parce que je déclare admirer le peuple, cela après qu’il ait organisé naguère une manifestation contre siège de la @FranceInsoumise, il y a une incitation à la haine peu compatible avec la police républicaine.
— Jean-Luc Mélenchon (@JLMelenchon) 6 janvier 2019
Contrairement à ce que prétend Griveaux, c’est bien au nom des principes républicains que ce geste a été effectué. Face à un « porte-parole » ne cessant d’insulter et de dégrader les siens, le rappel symbolique que ce lieu n’était pas le sien, mais celui de tous les citoyens.
— Juan Branco ✊️ (@anatolium) 5 janvier 2019
Un gouvernement en guerre ouverte contre son peuple. Hallucinant. https://t.co/w0XiOZ8rli
— Aude Lancelin (@alancelin) 7 janvier 2019
Pour la juiverie, la « gauche » était le moyen d’arrimer la plèbe révolutionnaire au cartel des partis juifs en place.
Il y a d’ailleurs toujours des tentatives en ce sens.
Glucksmann essaie, avec Hamon, de mettre un terme à la sécession.
«JLMelenchon a quitté les rives de la gauche, pointe avec justesse Benoît Hamon. La haine affichée à l’égard du pdt, avec simulacre d’exécution à la clé, est étrangère à la culture démocratique. La gauche repose aussi sur un socle de valeurs.» #Drouet https://t.co/7WmKmtBNL8
— Ariane Chemin (@ArianeChemin) 2 janvier 2019
« Quitter les rives de la gauche » signifie de ne pas faire tout ce que les juifs exigent.
Et comme les juifs détiennent le pouvoir, appeler à la révolution revient à encourager le peuple à se révolter contre eux.
Face aux périls écologiques, sociaux et politiques, à la castastrophe climatique et à l’extrême-droite qui s’empare du continent, qu’est-ce qui peut justifier l’existence de 4 ou 5 listes de gauche aux Européennes?
Rien.
Que 2019 nous hisse donc à la hauteur des défis communs.— Raphael Glucksmann (@rglucks1) 4 janvier 2019
Même si des juifs peuvent être mandatés pour empoisonner la droite populiste, fondamentalement, ces youpins n’en attendent rien car elle repose sur la lutte contre l’invasion des sous-hommes du tiers-monde.
Or, pour les juifs, s’assurer que cette invasion se poursuive est l’objectif tactique principal.
En revanche la gauche radicale, de par son tropisme internationaliste, était l’appoint nécessaire à la lutte juive contre les Blancs. Mais cette gauche radicale est actuellement plus intéressée par la destruction de Macron que de pourfendre la droite populiste.
Les juifs doivent donc mener une guerre sur deux fronts, ce qui est stratégiquement extrêmement défavorable.
Le youpin Tenzer le résume.
Gilets jaunes: « On est dans un mouvement d’insurrection poussé par l’extrême droite et par l’extrême gauche. On est dans un mouvement qui n’est plus républicain. Il y a une idéologie de la violence consubstantielle à ce mouvement. »
Revoir @NTenzer sur Public Sénat ce soir. pic.twitter.com/VOZN9I15Wo— Jean Louis (@JL7508) 7 janvier 2019
La principale force des juifs repose sur leur capacité à subvertir l’esprit des masses grâce à leur presse. Or, pour qu’une narration soit efficace et permette de mobiliser totalement des masses sémitisées par la propagande juive, il faut définir un seul front, un seul ennemi et faire converger contre lui toutes les ressources émotionnelles disponibles.
Jusqu’à récemment, les juifs désignaient la droite blanche comme l’ennemi prioritaire et se subordonnaient la gauche radicale à cette fin.
Avec deux ennemis radicalement différents tournés contre eux, les juifs ne peuvent plus y parvenir. Ils essaient désespérément d’unifier ces deux fronts en les présentant comme de même nature – c’est-à-dire blanc, raciste et fasciste – sans y arriver.
Si on ajoute la gauche et la droite populistes aux abstentionnistes, on obtient une nette majorité. De l’ordre de 60 à 70% de la population. C’est un bloc beaucoup trop massif pour être vaincu par le gouvernement d’occupation.
Et compte tenu du fait que les juifs consacrent tous leurs efforts à la défense de Macron, la défaite de cette fiotte serait également la leur.