Captain Harlock
Démocratie Participative
30 janvier 2019
Voici une nouvelle qui devrait rapidement se convertir en souffrances économiques pour le prolétariat français.
Depuis plus d’un an, le gouvernement judéo-macroniste prépare dans la coulisse une augmentation arbitraire des prix de l’alimentation générale avec les principaux agents spéculateurs du trafic de l’agro-alimentaire.
Europe 1 :
Une hausse de près de 10% pour le Ricard, de 9,3% pour les céréales Chocapic, de 8,4% pour le pot familial de Nutella, de 8,1% pour certains laits et même de 6,1% pour l’eau minéral Evian… À partir de vendredi, plusieurs produits de grande consommation vont voir leur prix augmenter, révèle Le Parisien, qui a mené son enquête auprès d’une enseigne de la grande distribution. En cause : l’entrée en vigueur de certaines mesures de la loi Alimentation, dont l’objectif est de mieux rémunérer les producteurs. La hausse des prix commencera donc dès le 1er février, et devrait vite prendre de l’ampleur. À quoi faut-il s’attendre ?
Dans le détail, la loi met notamment fin aux grosses promotions, qui seront dorénavant limitées à 34% des prix de référence. Fini, donc, les opérations « un produit acheté = un produit offert », ou bien encore les réductions monstres à hauteur de 50% et plus. En outre, seuls 25% des articles vendus par un magasin pourront faire l’objet d’une promotion.
Ces produits dit d’appel, souvent en promotion pour attirer le client, ne pourront plus être vendus au rabais hors promotion en raison d’une autre mesure de la loi Alimentation, qui pourrait toucher au portefeuille des ménages : le relèvement du seuil de revente à perte de 10%, qui impose aux supermarchés de revendre un produit au minimum au prix auquel ils l’ont acheté, majoré de 10%. Un produit acheté 100 euros, par exemple, devra désormais être vendu au moins 110 euros.
« C’est une vaste escroquerie, si l’on voulait provoquer les gens qui sont en difficulté de pouvoir d’achat, dans le contexte actuel, on ne s’y prendrait pas mieux », s’agace Alain Bazot, président de l’association de consommateurs UFC-que Choisir, mercredi au micro d’Europe 1 .
Ces mesures entraîneront nécessairement une hausse des prix. Mais il est encore difficile de savoir à combien elle va s’élever… Le Parisien précise par ailleurs que cette hausse concernera 1.000 références (parmi les plus consommées) sur les 25.000 vendues en hypermarchés, et 500 à 600 références dans les supermarchés. Et pour ces derniers, qui seront les plus impactés, la hausse sera en moyenne de 5 à 6%.
On en sait plus sur les victimes futures de cette razzia.
Dans quel type de magasin y aura-t-il des hausses ?
Pas dans les petits magasins de centre-ville ou les Monoprix parisiens, en tout cas, car les marges réalisées sur les produits y sont déjà supérieures à 10 %. En revanche, dans les hypermarchés qui se livrent à une guerre des prix – Leclerc, Géant Casino, etc. – comme chez les « hard discounters » (Leader Price, Netto, etc.), les hausses pourront être fortes. Or, ce sont ces magasins que fréquentent les Gilets jaunes. Ce sont donc bien les Français les plus modestes, avec un faible pouvoir d’achat, qui vont payer.
Bref, les hypermarchés des zones péri-urbaines et rurales et leurs clients.
Massivement les Blancs pauvres ou de la classe moyenne.
L’argumentation utilisée par le gouvernement juif est, sans surprise, « d’aider les pauvres paysans gaulois » dont on sait qu’ils sont le premier soucis de Jéhovah.
Le but de la loi Alimentation est au final de pouvoir mieux rémunérer les agriculteurs. Qu’en pensez-vous ?
Que cela reste très théorique, car si la loi prévoit d’augmenter les marges de la grande distribution, elle ne dit pas du tout, en revanche, sur comment faire pour augmenter les marges des agriculteurs. Cela reste un vœu pieux : la loi n’organise pas le fait que les distributeurs doivent acheter plus cher leurs produits aux agriculteurs. Aucune obligation, aucun contrôle ne sont prévus.
Michel-Edouard Leclerc est revenu sur son blog sur cette loi et nous désigne les véritables maîtres d’oeuvre de cette augmentation arbitraire.
MEL :
Qui peut croire cela : un relèvement de prix jusqu’à 10%, début décembre, du prix des Fanta, Nutella, Nescafé, Vittel, Evian ou Coca-Cola, au seul profit des agriculteurs français ? Alors qu’on ne produit ni café ni chocolat en France ! Qui a pu ainsi manipuler les députés LREM ?
La réponse est dans cet article publié dans le dernier Challenges : « Macronie, le vrai pouvoir des lobbies ». « Une sorte d’alliance contre-nature réunissant la FNSEA, les industriels de l’agroalimentaire et les distributeurs a obtenu que le projet de loi relève de 10% le prix minimal des prix alimentaires.
En fait, ce cartel officieux s’était agité avant même les EGA. Le consultant Mathieu Laine, qui fut un soutien d’Emmanuel Macron durant la campagne, avait été missionné par Carrefour, Danone et le groupe Avril, dirigé alors par Xavier Beulin, président de la FNSEA, pour pousser la mesure auprès de candidats, puis d’Audrey Bourolleau (à l’Elysée) après les élections ».
Aucun député, aucun ministre n’a été capable d’expliquer comment, par quel mécanisme, ces hausses en rayon vont « ruisseler vers les éleveurs » ! A quel point nos parlementaires savent-ils qu’ils ont été manipulés pour faire augmenter les marges et la côte boursière de ces grosses sociétés qui n’ont pris évidemment aucun engagement de reversement ?
Parmi ces groupes capitalistes on peut donc relever la présence de Danone dont la représentante, au sein du gouvernement, n’est autre que la juive Wargon-Stoleru, sa lobbyiste officielle.
Ces multinationales ont donc entrepris de resserrer encore davantage l’étau financier.
Le trafic du grain est probablement la plus ancienne activité des spéculateurs et révolutionnaires bolcheviques juifs.
Ils en sont si fiers qu’ils ont été jusqu’à décrire glorieusement dans leur torah le premier affameur d’entre-eux, Joseph, qui avait mis la main sur le gouvernement du Pharaon d’Egypte.
Ce juif, qui s’était immiscé au coeur de la cour du monarque, avait parfaitement compris que l’art de la spéculation passait par la planification de la pénurie, laquelle avait un impact politique immédiat sur les masses qui se plaçaient sous l’autorité de celui qui contrôlait les circuits d’échanges dans l’espoir de survivre.
La Bible, qui n’a certainement pas été écrite par un antisémite, nous raconte les oeuvres saintes du premier financier affameur de l’histoire. Ainsi, nous disent les juifs, au chapitre 41 de la Genèse :
33 Maintenant, que Pharaon trouve un homme intelligent et sage, et qu’il l’établisse sur le pays d’Égypte.
38 Et Pharaon dit à ses serviteurs: » Pourrions-nous trouver un homme pareil à celui-ci, ayant en lui l’esprit de Dieu? «
39 Et Pharaon dit à Joseph: » Puisque Dieu t’a fait connaître toutes ces choses, il n’y a personne qui soit aussi intelligent et sage que toi.
40 C’est toi qui gouverneras ma maison, et tout mon peuple obéira à ta bouche; par le trône seulement je serai plus grand que toi. »
41 Et Pharaon dit à Joseph: » Voici que je t’établis sur tout le pays d’Égypte. «
42 Et Pharaon ôta son anneau de sa main et le mit à la main de Joseph, et il le fit revêtir d’habits de fin lin et lui mit au cou un collier d’or.
43 Il le fit monter sur le second de ses chars, et on criait devant lui: « A genoux! » C’est ainsi qu il fut établi sur tout le pays d’Égypte.
44 Et Pharaon dit à Joseph: » Je suis Pharaon, et sans toi nul ne lèvera la main ni le pied dans tout le pays d’Égypte. «
45 Pharaon nomma Joseph Tsaphnath-Panéach, et il lui donna pour femme Aseneth, fille de Putiphar, prêtre d’On. Et Joseph partit pour visiter le pays d’Égypte.
46 Joseph était âgé de trente ans lorsqu’il se présenta devant Pharaon, roi d’Égypte; et il quitta Pharaon pour parcourir tout le pays d’Égypte.
47 La terre rapporta à pleines mains pendant les sept années d’abondance.
48 Joseph rassembla tous les produits des sept bonnes années qu’il y eut au pays d’Égypte, et il fit des approvisionnements dans les villes, déposant dans l’intérieur de chaque ville les productions des champs d’alentour.
49 Joseph amassa du blé comme le sable de la mer, en si grande quantité, qu’on cessa de compter, parce qu’il était sans nombre.
[…]53 Les sept années d’abondance qu’il y eut en Egypte étant achevées,
54 les sept années de famine commencèrent à venir, comme Joseph l’avait annoncé. Il y eut famine dans tous les pays, tandis qu’il y avait du pain dans tout le pays d’Égypte.
55 Puis tout le pays d’Égypte fut aussi affamé, et le peuple cria à Pharaon pour avoir du pain. Et Pharaon dit à tous les Egyptiens: » Allez vers Joseph, faites ce qu’il vous dira. «
56 La famine étant sur toute la face du pays, Joseph ouvrit tous les greniers qu’on y avait établis et vendit du blé aux Egyptiens; et la famine s’accrut dans le pays d’Égypte.
57 De toute la terre on venait en Egypte pour acheter du blé auprès de Joseph; car la famine s’était aggravée sur toute la terre.
C’est ainsi que sont célébrés, dans les textes sacrés des juifs, les chefs de cette race qui se hissent à la tête des plus grandes nations pour mieux réduire leurs peuples à la famine avant de les rançonner s’ils veulent survivre au joug financier juif.
C’est ce que la Bible appelle un « prophète d’Israël » !
Joseph mêlait à l’évidence les qualités d’un Rothschild et d’un Lénine, c’est-à-dire les capacités fondamentales du banquier communiste mandaté par Yahwé pour régner sur les nations.
Tenant d’une main de fer toute marxiste les marchés, il alliait l’art de la manipulation des capitaux et celui de la répression policière brutale de la moindre contestation de sa politique de pillage économique.
Spéculant sur le labeur des fermiers égyptiens, Joseph établit le vol d’état de la paysannerie puis le strict rationnement de la nourriture par la police pré-tchékiste qu’il avait entre ses mains. Il imposa ainsi une tyrannie bolchevique implacable à une plèbe qui dut lui racheter de force ce qu’elle avait produite elle-même de ses mains.
Mais Joseph, à l’image d’un Kaganovitch livrant à la famine l’Ukraine alors qu’il fait fusiller les paysans slaves, n’oublia pas de prélever sur l’Egypte affamée de quoi nourrir ses frères de race juifs qu’il installa, au même moment, dans le pays qu’il tenait d’une main de fer.
C’est que Joseph était occupé à établir une république judéo-bolchevique sur les ruines de l’Egypte de Pharaon comme Lénine le fit après avoir renversé le Tsar ! Un renfort racial pour cimenter la jeune tyrannie hébraïque était une urgence absolue.
Une seule politique : partout des juifs !
La modestie d’Israël étant légendaire, cette tyrannie d’affameurs hébraïques fût édifiée – d’après eux – à la demande de Pharaon lui-même !
Et Pharaon dit à Joseph: « Dis à tes frères: Faites ceci chargez vos bêtes et partez pour le pays de Chanaan et,
18 ayant pris votre père et vos familles, revenez auprès de moi. Je vous donnerai ce qu’il y a de meilleur au pays d’Égypte, et vous mangerez la graisse du pays.
19 Tu es autorisé à leur dire: Faites ceci: prenez dans le pays d’Égypte des chariots pour vos enfants et pour vos femmes; amenez votre père et venez.
20 Que vos yeux ne s’arrêtent pas avec regret sur les objets que vous devrez laisser, car ce qu’il y a de meilleur dans tout le pays d’Égypte est à votre disposition. «
21 Les fils d’Israël firent ainsi; Joseph leur donna des chariots, selon l’ordre de Pharaon, ainsi que des provisions pour la route.
Et quand les Egyptiens parvinrent finalement à se libérer du joug hébraïque après 4 siècles d’infiltration et de pillage, les écritures du peuple élu proclamèrent que Pharaon, acquis soudainement à l’antisémitisme, cherchait à toute force à les garder en son royaume au point de les poursuivre jusqu’à la Mer Rouge que les juifs avaient visiblement pu acheter puisqu’elle s’ouvrit en deux pour leur permettre le passage.
Lorsque les juifs me raconte que les mers répondent au commandement de leur dieu pour les sauver de l’antisémitisme, je nourris légitimement quelques doutes sur les fabuleuses histoires que ce peuple raconte sur tout un tas d’autres sujets.
Quoi qu’il en soit, ces hébreux savent moduler l’inflation grâce au contrôle qu’ils exercent sur l’Etat, pillant le peuple tout en faisant basculer celui-ci dans l’autoritarisme le plus brutal.
Depuis des millénaires, la finance et le bolchevisme sont les deux mamelles d’Israël.