Capitaine Harlock
Démocratie Participative
19 avril 2017
Le gouvernement japonais a décidé de ne pas s’opposer à l’utilisation de Mein Kampf dans les programmes scolaires japonais.
Le journal socialiste américain « The Japan Times » n’en finit plus de se lamenter :
Dans une réponse écrite émanant du gouvernement en réponse à une question d’un député d’opposition, l’exécutif a déclaré que le livre du dictateur allemand peut être utiliser d’une manière conforme à l’esprit de la loi sur l’éducation, parmi d’autres conditions.
A la faveur d’une décision identique plus tôt ce mois-ci, le gouvernement a décidé de ne pas interdire l’usage dans les classes du Décret Impérial sur l’Education, un édit du 19ème siècle sur le patriotisme que des critiques ont dit avoir joué un rôle crucial dans l’entrée en guerre du Japon lors du second conflit mondial.
Ce dernier document, publié pour la première fois en 1890 et interdit en 1948, était appris par chaque élève japonais et demandait qu’ils « privilégient l’intérêt public et favorisent les intérêts communs ; de toujours respecter la Constitution de Meiji et d’observer les lois ; en cas de péril sur la nation, de s’offrir courageusement à l’état ; et de protéger et préserver la prospérité de Notre Trône Impérial en accord avec le ciel et la terre ».
Ce dernier point tend naturellement à rappeler le rôle divin de l’Empereur comme de la religion d’état, à l’époque, qu’était le shintoïsme. Une approche pragmatique qui séduisait particulièrement Adolf Hitler pour son utilité politique.
Feels good man
La vermine communiste chinoise n’a pas manqué de vociférer, dénonçant les « crimes du fascisme ».