Captain Harlock
Démocratie Participative
02 décembre 2018
Face à la situation insurrectionnelle en France, le gouvernement d’occupation a décidé d’assumer pleinement sa véritable nature : l’outil de l’exploitation étrangère juive.
Le gouvernement va-t-il prendre la décision de décréter l’état d’urgence après les graves incidents qui se sont produits à Paris en marge de la manifestation des Gilets jaunes. Sur BFM TV, le ministre de l’intérieur a déclaré qu’il n’avait « pas de tabou » et était prêt à étudier toutes les possibilités.
« Je n’ai pas de tabou, je suis prêt à tout regarder » a affirmé Christophe Castaner sur BFMTV samedi soir, quelques heures après les graves émeutes qui se sont produites lors des manifestations des Gilets jaunes.
« Tout ce qui permettra de sécuriser plus, moi je n’ai pas de tabou. Je suis prêt à tout regarder ».
Il s’agit bien sûr de sécuriser le pouvoir juif face à la population en ébullition.
Beautiful! These White boys are mad as hell. How long until Macron gets the Marie Antoinette treatment? #FranceProtest pic.twitter.com/P205d0BQJK
— Violet (@SpawnNeverDies) 2 décembre 2018
Les mots d’ordre sont : « Tous derrière le régime ! »
Lorsqu’il s’agit de renverser des gouvernements étrangers, ces mêmes juifs ont habituellement tous les arguments pour légitimer l’insurrection.
Mais dans leurs colonies.
C’est étrange, pour les éditocrates, un début de Maïdan à Paris, c’est tout de suite moins sympa qu’un Maïdan à Kiev… pic.twitter.com/g7dCq75hGf
— Olivier Berruyer (@OBerruyer) 24 novembre 2018
Ces bouches menteuses ne reculent devant rien.
Le ministre a comparé les auteurs des violences survenues samedi dans la capitale à des « factieux, des séditieux ». « On a identifié à peu près 3.000 personnes qui ont tourné dans Paris » et ont commis des dégradations, « ce qui a rendu effectivement beaucoup plus difficile l’intervention des forces de l’ordre », a expliqué le ministre. « Tous les moyens de la police, de la gendarmerie, de la sécurité civile étaient mobilisés aujourd’hui », à Paris et en régions, a mis en avant Christophe Castaner, précisant que 4.600 policiers et gendarmes ont été mobilisés dans la capitale. L’instauration de l’état d’urgence a été notamment demandé samedi soir par le syndicat de police Alliance et suggéré par le syndicat des commissaires de la police nationale (SCPN). « On est dans un climat insurrectionnel », a dénoncé auprès de l’AFP le numéro 2 du premier syndicat de gardiens de la paix, Frédéric Lagache. « Il faut taper du poing sur la table », a-t-il ajouté. Alliance réclame le « renfort de l’armée pour garder les lieux institutionnels et dégager ainsi les forces mobiles d’intervention », a détaillé le syndicat dans son communiqué. « Face à des mouvements insurrectionnels, pour protéger les citoyens et assurer l’ordre public, il y a des mesures exceptionnelles à envisager. L’état d’urgence en fait partie », a tweeté le SCPN.
Bien sûr, ce flic fait partie du gouvernement invisible qui contrôle la France. Ce gouvernement composé de juifs, de franc-maçons et autres chevilles ouvrières du régime.
Ils veulent faire donner l’armée contre cette rébellion qui s’étend.
Ici, il y a deux camps : les révolutionnaires et les autres.
La bourgeoisie enjuivée ne veut qu’une chose : pouvoir continuer à digérer paisiblement. La vue de trois véhicules en feu la terrorise. C’est le parti du statu quo juif. Nous avons tous ces gens des partis réactionnaires qui se lamentent sur l’action des anarchistes et des marxistes samedi.
Je vous assure que c’est sans intérêt.
Il faut vraiment en finir avec cette idée idiote qu’un peuple voulant rompre avec l’exploitation financière juive puisse le faire avec l’aval du pouvoir juif. Dans une telle situation, des fractions du peuple, mobilisées pour des raisons diverses voire parfois antagonistes, se retrouvent sur un objectif commun : renverser le régime.
Vous trouverez ce schéma dans toutes les révolutions.
Ces 3,000 activistes rouges ont été l’additif qui a fait de ce mouvement un mouvement réellement craint par les juifs.
A ceux qui ont joué avec le feu des #GiletsJaunes, aux @laurentwauquiez, @MLP_officiel, @JLMelenchon, etc, il n’y a, ce soir, qu’une question à poser: soutenez-vous, ou non, les institutions de la République? les forces de l’ordre? le Pdt démocratiquement élu? Le reste est blabla
— Bernard-Henri Lévy (@BHL) 1 décembre 2018
Au reste, il n’y a pas que les marxistes qui ont recours à l’action dure.
? Gilets Jaunes : un péage et des locaux de gendarmeries ont été saccagés et incendiés cette nuit à #Narbonne (Aude). Deux personnes arrêtées. pic.twitter.com/DYNPqDhGPe
— Infos Françaises (@InfosFrancaises) 2 décembre 2018
?? Narbonne : Les locaux et véhicules du peloton d’autoroute de la Gendarmerie détruits par le feu. https://t.co/CCeYTBTFzT
— Actu17 (@Actu17) 2 décembre 2018
Vous avez cette attaque frontale contre la préfecture de la Haute-Loire, livrée aux flammes.
???VIDÉO – Au #PuyEnVelay, la préfecture de Haute-Loire est en feu. (Snapchat) pic.twitter.com/2tf6BV5SQ0
— Brèves de presse (@Brevesdepresse) 1 décembre 2018
La question de la violence populaire n’a plus aucune espèce d’importance. Ce genre de débats n’intéresse pas le peuple.
Si vous croyez que des gens qui crèvent en silence depuis des années vont sagement retourner chez eux parce que la juiverie politico-médiatique leur donne des cours de maintien démocratique, vous faites fausse route.
Et d’ailleurs, les flics le savent.
« On n’en peut plus, nous non plus. On en prend plein la gueule », déclare Yves Lefèvre, un policier révolté appartenant à Unité SGP Police FO, samedi 1er décembre sur France Inter. Il appelle le président de la République Emmanuel Macron à « prendre ses responsabilités », au troisième acte de la mobilisation des gilets jaunes.
« Les flics ne vont pas rester le dernier rempart face à l’insurrection. On n’en peut plus, nous non plus. On en prend plein la gueule en permanence alors maintenant, je sors de mon devoir de réserve, c’est très clair, je demande, j’en appelle au président de la République de prendre ses responsabilités, parce que les flics ne vont pas servir de dernier bastion quitte à laisser leur peau par terre. Ça, il en est hors de question », déclare le policier qui lance aussi un appel au Premier ministre Édouard Philippe et au ministre de l’Intérieur Christophe Castaner.
Vous voyez ?
Les flics de terrain ne veulent pas mourir pour les juifs ou la pourriture républicaine qui leur sert de proxy.
Ces flics ne vont pas tarder à rester dans leurs casernes.
Quelle loi martiale peut seulement prendre forme sans la police ?
Quant à l’armée, on peut tout faire avec une baïonnette sauf s’asseoir dessus.