Captain Harlock
Démocratie Participative
20 novembre 2018
Le grand programme de production de robots voulu par Macron est enfin lancé.
Le premier ministre Édouard Philippe a lancé lundi matin son label « Bienvenue en France » qui vise à améliorer l’accueil des étudiants internationaux. La capacité d’accueil et les frais de scolarité vont augmenter.
« Bienvenue les nègres » aurait été plus exact.
«Nous savons tous que les étudiants étrangers nous enrichissent de leur présence, de leur regard, de leur potentiel.» Le premier ministre Édouard Philippe était d’humeur flatteuse à l’égard des étudiants internationaux, ce lundi matin, pour annoncer la mise en place du label «Bienvenue en France». Celui-ci vise à améliorer l’accueil des étudiants étrangers en France et la visibilité des établissements d’enseignement supérieurs français à l’international. Dans les faits, un «fond d’amorçage» de cinq millions d’euros va être créé pour aider les universités à améliorer leur rayonnement dans le monde, les frais de scolarité des étudiants «extra-européens» vont passer de 200 à 3 000 euros et le nombre d’étudiants internationaux va passer de 320 000 à 500 000 à l’horizon 2027.
Et dire que ces chinetoques croient qu’ils vont nous bouffer.
Quelle blague.
Barre-toi avec tes merdes en ferraille Ching Chong.
Nous aurons bientôt un demi-million de scientifiques du Wakanda dans nos laboratoires de recherche.
Nous allons rayonner mondialement.
Édouard Philippe l’a dit et répété: l’accueil des étudiants étrangers est une affaire de diplomatie. Alors en plus de la ministre de l’enseignement supérieur Frédérique Vidal, il était ce lundi matin accompagné du secrétaire d’état auprès du ministre des Affaires étrangères Jean-Baptiste Lemoyne pour ce lancement du label «Bienvenue en France» à Paris. «Qu’ils viennent de Pékin ou Kinshasa, qu’ils étudient l’intelligence artificielle ou la linguistique médiévale, nous sommes beaucoup plus forts [avec les étudiants internationaux]» a martelé le premier ministre. Il a donc annoncé que le nombre d’étudiants étrangers en France passera à 500 000 à l’horizon 2027, contre 320 000 aujourd’hui. Et pour améliorer cet accueil, Édouard Philippe a prévu de s’appuyer sur trois piliers.
Oui, justement.
Je ne vous en avais pas parlé. Outre les robots et l’AI, nos chercheurs congolais sont également experts en linguistique médiévale.
Les deux sont liées, en fait.
Donc, le gouvernement est parfaitement conscient de l’existence de cette richesse exceptionnelle et va permettre au génie congolais d’irriguer toute l’université française.
En linguistique médiévale donc.
Le plus novateur de ces piliers concerne les étudiants extra-européens. Ils sont une centaine de milliers aujourd’hui dans le pays, et paient autant que les étudiants français, soit 200 euros environ. Ils paieront dès la rentrée prochaine 2 770 euros en licence et 3 770 euros en master et doctorat. «Un étudiant étranger fortuné paie les mêmes droits d’inscription qu’un étudiant français peu fortuné dont les parents résident, travaillent et paient des impôts en France depuis des années. C’est absurde et injuste», a déclaré Édouard Philippe. Ces frais d’inscription relevés devraient permettre selon le premier ministre d’améliorer les conditions d’accueil des étudiants internationaux. En parallèle de cette mesure, les bourses pour étudiants internationaux «qui sont dans le besoin» vont tripler, passant de 7 000 aujourd’hui à 21 000 l’an prochain, dont 6 000 seront décernés et gérées directement par chaque université.
Je ne vous cache pas que le nombre d’étudiants boursiers internationaux « qui sont dans le besoin » est aujourd’hui évalué à près d’un milliard, en croissance rapide.
Pour ne rien perdre de ce fort potentiel, nous allons en accueillir entre 20 et 30 millions sur les 50 années à venir.
Le second pilier de ce plan concerne les conditions d’accueil à proprement parler. «La procédure de visa sera simplifiée, a détaillé Édouard Philippe. Le dépôt de demande de visa se fera en ligne et la liste des documents nécessaires sera allégée. Par ailleurs, un étranger titulaire d’un master français pourra revenir en France avec un titre de séjour pour créer une entreprise.» Le premier ministre a également évoqué l’ouverture d’un «fond d’amorçage» de dix millions d’euros visant notamment à proposer à chaque étudiant étranger un référent à l’université et à proposer un «sas d’insertion» à l’université avec des cours de français intensifs.
Voilà.
Avec ces Bac+4 en sciences dures médiévales nous devrions rapidement voir nos start-up se multiplier.
Notamment dans le domaine des tresses, un marché encore trop peu connu.