Captain Harlock
Démocratie Participative
24 octobre 2021
Ce bon vieil Erdogan.
Tout islamiste qu’il soit, c’est le seul à savoir comment parler aux démocraties juives.
Le tension montre entre la France et la Turquie. Le président turc, Recep Tayyip Erdogan, a ordonné, samedi 23 octobre, l’expulsion, « au plus vite », des dix ambassadeurs dont ceux de France, d’Allemagne et des Etats-Unis, qui ont réclamé la libération de l’opposant Osman Kavala.
« J’ai ordonné à notre ministre des Affaires étrangères de régler au plus vite la déclaration de ces dix ambassadeurs comme persona non grata », a affirmé le chef de l’Etat lors d’un déplacement dans le centre de la Turquie, sans toutefois donner une date précise. Ces ambassadeurs « doivent connaître et comprendre la Turquie », a affirmé Recep Tayyip Erdogan en les accusant « d’indécence ». « Ils devront quitter » le pays « s’ils ne le connaissent plus », a-t-il ajouté.
Dans un communiqué publié lundi soir, le Canada, la France, la Finlande, le Danemark, l’Allemagne, les Pays-Bas, la Nouvelle-Zélande, la Norvège, la Suède et les Etats-Unis ont appelé à un « règlement juste et rapide de l’affaire » Osman Kavala, homme d’affaires et mécène turc devenu une bête noire du régime, emprisonné depuis quatre ans sans jugement. Cet opposant de 64 ans, figure majeure de la société civile, est accusé depuis 2013 par le régime du président Erdogan de chercher à déstabiliser la Turquie.
Le chef de l’Etat turc avait menacé jeudi d’expulser ces ambassadeurs, sans cependant prendre de mesures concrètes dans ce sens. La Turquie avait convoqué mardi les ambassadeurs de ces dix pays, jugeant « inacceptable » leur appel en faveur de la libération d’Osman Kavala.
La presse juive occidentale ne se mobilise jamais pour quelqu’un qui n’est pas un agent explicitement mandaté par la juiverie internationale. Erdogan a fait arrêter des dizaines de milliers de gens sans que cela n’entraîne de réactions politiques ou médiatiques.
Quand les ambassadeurs occidentaux commencent à semer l’agitation dans un pays à propos d’un « opposant », c’est que l’ordre émane directement des instances suprêmes du Kahal.
Ce n’est pas une question de « droit » ou de « justice », c’est une question de pouvoir.
Cet Osman Kavala, un oligarque turc, n’est rien moins que l’homme de Soros en Turquie. Il a monté la branche turque de l’Open Society Foundation, l’organisation de Soros. En cette qualité, il n’a eu de cesse de financer d’innombrables opérations de déstabilisation.
Dans cette affaire, Erdogan se contente de se défendre face à une conjuration hébraïque de grande ampleur.
D’ailleurs, nous subissons la même. Sauf que chez nous, Macron en est le principal instrument. C’est une différence de taille.
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