Le général en chef de l’armée néerlandaise appelle le pays à se préparer à une guerre avec la Russie

La rédaction
Démocratie Participative
28 décembre 2023

 

L’armée russe avance sur l’ensemble du front. Il n’y a pas encore de grande percée en profondeur, mais les troupes du juif Zelensky sont partout sur la défensive.

Les juifs de Washington ont donc décidé de gagner du temps et d’arracher une pause opérationnelle en prétendant vouloir « négocier » avec les Russes.

Les Russes savent ce que cela veut dire.

Medvedev a répondu à Washington que la Russie était parfaitement prête à parler pour tuer le temps, mais que cela n’aurait aucun influence concrète sur le terrain car les Russes règleront le problème par les armes.

Question de RIA Novosti :
L’Occident collectif, qui a gaspillé presque toutes ses armes, commence à pousser le régime de Kiev à engager des pourparlers en 2024. Est-ce possible ?

Réponse :
Qu’en est-il des pourparlers de 2024 ? Tout est parfaitement clair.

1. L’opération militaire spéciale se poursuivra, avec toujours pour objectif le désarmement des forces ukrainiennes et l’abandon de l’idéologie néo-nazie par l’État ukrainien actuel.
2. Le déplacement du régime de Bandera au pouvoir est, même s’il n’est pas ouvertement déclaré, l’objectif le plus important et le plus inévitable qui doit être atteint et qui le sera.
3. Odessa, Dniepropetrovsk, Kharkov, Nikolaev, Kiev et bien d’autres sont des villes russes temporairement occupées. Toutes sont encore marquées par les couleurs jaune et bleu sur les cartes et les blocs.

Et donc, oui. Les « pourparlers » sont possibles, bien sûr. La Russie ne les a jamais rejetés, contrairement aux autorités ukrainiennes, qui sont devenues folles. Ces « pourparlers » n’ont pas de limite de temps. Ils peuvent se poursuivre jusqu’à la défaite totale et la reddition des forces de bandera de l’Alliance de l’Atlantique Nord.

Et, à propos, je voudrais vous informer que depuis le 1er janvier 2023, les forces armées de la Fédération de Russie ont accepté un demi-million de personnes en tant que militaires sous contrat.

Les Russes ne veulent aucune trêve, qu’ils savent être un leurre pour permettre aux troupes du juif Zelensky de réorganiser leur défense et de se réapprovisionner en munitions.

L’OTAN s’en doute et prépare sa seule option : intervenir directement en Ukraine.

Telegraaf :

Le patron de l’OTAN, Jens Stoltenberg, le clame depuis un certain temps. La semaine dernière, c’est le ministre allemand de la défense, Boris Pistorius, qui a déclaré que son pays devait se préparer à la guerre et que la conscription devait être rétablie. Puis le commandant en chef de l’armée belge a souligné la nécessité urgente pour l’Europe de se préparer à un conflit avec la Russie, qui s’affirme de plus en plus en tenant bon dans l’est de l’Ukraine. Poutine regarde également avec convoitise les États baltes, qui sont membres de l’OTAN.

Le commandant des forces armées, Martin Wijnen, ne veut pas encore appeler à une nouvelle conscription néerlandaise. Mais il estime qu’il est urgent de faire quelque chose pour remettre sur pied les forces armées, paralysées par les coupes budgétaires. Avec les milliards que le cabinet a mis de côté pour la défense, l’armée a commandé de nouvelles armes et munitions qui seront livrées dans les années à venir. La remise à niveau du personnel est moins aisée.

L’année de service est l’un des moyens de résoudre le manque criant de personnel. Cette année, la défense a lancé cette toute nouvelle « année de service », copiée sur la manière d’impliquer les jeunes dans les forces armées suédoises. Elle a commencé avec six cents volontaires. « Le nombre de volontaires devrait passer à deux ou trois mille », explique M. Wijnen. Il faut ensuite trouver plus de formateurs et suffisamment d’espace dans les casernes.

Martin Wijnen

Wijnen : « Les jeunes sont très enthousiastes. Il ne s’agit pas d’une conscription, nous préférons parler de droit du service. Mais nous ne pouvons pas éviter d’ajouter cet élément à notre armée, afin de doter cette organisation d’un personnel adéquat. Il s’agit d’une coquille de jeunes de 18 ans qui vient compléter les soldats professionnels.

Depuis un quart de siècle, les Pays-Bas disposent d’une armée composée de soldats professionnels. L’avantage est que plus personne n’est obligé d’interrompre ses études ou sa carrière pendant un an ou plus après l’école. L’inconvénient, c’est qu’en cas de véritable guerre, la tension disparaît rapidement. « Si nous commençons à subir des pertes, qui les compensera ? », se demande Wijnen. « Autrefois, nous avions des options pour cela, aujourd’hui ce n’est plus le cas. Une armée professionnelle fonctionnait bien à l’époque où les Pays-Bas participaient à des missions de maintien de la paix lointaines. Nous pouvions choisir d’y participer ou non. Avec une guerre forcée, nous n’avons plus ce choix. Les Pays-Bas doivent réapprendre que toute la société doit être prête lorsque les choses tournent mal. Nous ne sommes pas obligés de porter des casques demain. Mais il se peut que nous nous soyons habitués à l’idée qu’il y aura toujours la paix. Certains pays ont déjà mené cette bataille. En Finlande, il est normal que l’ensemble de la société contribue à la dissuasion. La partie masculine de la population finlandaise peut monter en puissance lorsque le besoin s’en fait sentir. Ils ont appris de leur histoire.

Selon M. Wijnen, la résilience de la population néerlandaise doit être améliorée dans tous les domaines. « Cela signifie, par exemple, qu’il faut avoir des réserves, de la nourriture et de l’eau potable dans les caves afin de pouvoir encaisser un coup en cas de perturbation de la société. Pour les Finlandais et les Baltes, tout cela va de soi car ils sont proches de la menace. Mais les Pays-Bas ne doivent pas penser que la sécurité est garantie avec nous parce que nous sommes à 1 500 kilomètres. La Russie devient de plus en plus forte. Il n’y a qu’un seul langage que la Russie comprend : celui d’une force armée robuste. Nous devons travailler sur notre préparation opérationnelle, nous assurer que nous sommes suffisamment dissuasifs pour priver tout adversaire du courage de nous faire la même chose.

Les entreprises néerlandaises doivent également jouer un rôle dans la résilience de notre pays, selon le lieutenant général. En cas de guerre, les ports néerlandais pourraient devenir un point de passage important pour les militaires et le matériel en route vers l’est. La question est de savoir si l’armée doit se charger de toute cette logistique. « On voit émerger ici des écosystèmes d’entreprises qui, si le besoin s’en fait sentir, peuvent intervenir pour assurer une partie de l’approvisionnement, par exemple. »

Nous sommes passés de « La Russie a perdu » à « Au secours, la Russie est de plus en plus forte, il nous reste peu de temps ! ».

La Russie ne va pas cesser sa mobilisation de masse.

Les Néerlandais sont certainement des gens professionnels, mais il n’y a qu’un seul état capable de contenir militairement la Russie en Europe, et c’est l’Allemagne. Du moins, quand elle était allemande, dotée d’une véritable armée et encore relativement patriote. Il y a 30 ans donc.

Le cloaque multiracial dirigée par des lesbiennes qu’est la RFA actuelle ne peut absolument pas se battre. En trois générations, la « dénazification » a fait son effet et personne ne veut mourir pour l’Allemagne, surtout pas les gens marron d’Angela Merkel.

Les Américains ne peuvent pas non plus déployer autant d’hommes sans devoir sacrifier au moins un théâtre d’opération. S’ils s’engagent en Europe, l’Asie tombera inévitablement sous la domination de la Chine tandis que l’Iran imposera la sienne au Moyen-Orient.

La logique voudrait que les États-Unis privilégient l’Asie, puisque la Chine est la seule puissance économique et militaire en mesure de la concurrencer, puis l’Europe et enfin le Moyen-Orient. Mais au Moyen-Orient il est question de la colonie juive. Compte tenu du contrôle complet qu’exercent les juifs sur la Maison Blanche, c’est Israël qui bénéficie de la protection prioritaire américaine, quand bien même cet état factice est secondaire dans le dispositif américain mondial.

Les Iraniens semblent s’être entendus avec les Russes et les Chinois pour détourner autant de forces américaines que possible en tourmentant les juifs de Tel Aviv. L’Ukraine est déjà privée de munitions pour cette raison.

Et puis l’armée américaine compte pour l’essentiel des gens marron, notamment des femmes. C’est devenu un programme d’assistance sociale comme un autre.

C’est la première armée du monde !

Regardez les réponses bizarres données par les soldats américains nouvellement enrôlés lorsqu’on leur demande : « Pourquoi rejoignez-vous l’armée américaine ? »

Le moment critique pour les USA est l’élection présidentielle de 2024 qui sera à l’évidence complètement chaotique. La paralysie politique du pays sera forte, ce sera l’occasion pour les Russes, les Iraniens et les Chinois de passer à l’action.

La juiverie américaine a l’air décidé à mobiliser les derniers Blancs d’Europe pour mener une troisième guerre mondiale sur le continent afin de se ménager des réserves. D’où ces appels récurrents à se préparer à une guerre frontale avec la Russie.

Contre la censure

Utilisez Brave et Tor en suivant notre guide ici.

Ou utilisez un VPN.