Capitaine Harlock
Démocratie Participative
07 octobre 2017
Nos partisans savent que derrière le théâtre d’ombres actuel se cache une réalité indépassable et que nous n’avons de cesse d’exposer ici : la lutte des races. Et plus exactement, la guerre qu’ont déclaré les masses étrangères à l’Europe, avec l’aide des éléments dégénérés de notre propre peuple, le tout agité par les juifs et les démocrates.
N’allez pas croire que ceux qui contrôlent actuellement les démocraties occidentales ignorent la réalité de la guerre raciale en cours. Bien au contraire, ils en connaissent chaque tenant et les manie avec un art consommé contre le peuple européen.
Dès lors que l’on abandonne cette idée stupide de lutte des classes ou de « questions sociales » pour le seul prisme qui compte – celui de la confrontation raciale pour la suprématie – tout s’éclaire. Chaque problème trouve enfin son explication et le système est subitement dénudé dans son impuissance chronique.
La gauche, aujourd’hui, continue son travail d’anéantissement de notre culture et a simplement substitué au prolétariat le sous-prolétariat métèque qui se forme en Europe. Elle l’utilise pour se livrer à l’incendie du continent. Elle l’exprime d’ailleurs de plus en plus clairement quoiqu’en maquillant ses desseins meurtriers par un vague jargon moral. Mais les Robert Mugabe se tiennent déjà dans l’ombre.
Cette pseudo suprématie morale de la gauche anti-blanche pro-métèques n’existe que pour ceux qui en acceptent le présupposé cardinal, celui de l’égalitarisme racial. C’est parce qu’une personne croit au mythe de l’égalité raciale qu’elle accepte ensuite le terrorisme rouge et métèque qui en découle.
Contrairement aux proclamations des incendiaires pro-allogènes, plus la masse des métèques augmente, plus l’instabilité du système s’accroît. La culture dominante fait place à un amas hétéroclite de sous-cultures grégaires dont l’islam est la dernière manifestation et aussi, le fer de lance. Car la seule jalousie des allogènes ne saurait servir de principe actif pour détruire notre culture, il lui faut un adjuvant.
Cette guerre est là – il faut ici rappeler que nous ne l’avons pas recherchée – nous a été imposée. A mesure que s’intensifie sous la bannière de l’islam le pullulement des nègres, des métis divers et autres orientaux, cette guerre s’étend en proportion. La volonté d’anéantissement des populations blanches d’Europe génère du même mouvement une lutte pour imposer une légitimité à cette volonté. C’est à dire de soutirer aux Blancs leur approbation pour leur propre mise à mort.
La diabolisation de ce que nous sommes ne s’explique pas autrement.
Harceler l’ennemi
Nous ne devons pas chercher à apaiser la masse de nos ennemis dont le calme passager, lorsqu’il s’exprime, doit nous pousser à l’autocritique. Si l’envahisseur est serein, c’est que leur haine est assouvie par quelques évolutions récentes de nature à les rassurer sur la réalisation de leurs buts. Nous devons toujours nous assurer de leur fébrilité et seules nos actions sont de nature à le garantir.
Je veux dire aussi ici, même si c’est une évidence, que c’est la défense de notre peuple qui nous anime et que c’est ce sentiment là qui ne doit jamais nous quitter. Si nous faisons face à l’ennemi, nous savons que c’est pour l’empêcher d’atteindre ce qu’il y a derrière nous : notre peuple ! Celui qui est au front peut vite l’oublier, ce qui n’est pas sans le priver d’une énergie déterminante.
Et puisque nous parlons ici d’empathie pour les nôtres, nous ne devons pas tenir la stabilité sociale pour quelque chose de désirable quand elle se convertit en destruction de tout ce que nous avons de plus cher. Au contraire, une telle stabilité est criminelle et résulte, si elle se manifeste, en raison de notre manque d’activisme. Contrairement aux réactionnaires qui s’acharnent à vouloir faire ressurgir un état de choses révolu, nous voulons le dépasser.
Pour cela, nous devons rendre ce système inapte à la poursuite de ses buts. Et l’idée qu’il faille tendre la main à un ennemi irréductible engagé dans notre anéantissement est à cet égard une stupidité vraiment contre-révolutionnaire. Nous ne devons jamais tolérer le modérantisme dans nos rangs mais bien au contraire polariser à outrance.
Quels sont nos buts ? Assurer la survie de notre peuple. Comment ? En abolissant le système qui préside à sa destruction tout comme ceux qui le soutiennent. Mais mieux encore, nous voulons former un nouvel ordre qui n’aura plus rien de commun avec l’ancien et transfigurera l’Europe tout comme chacun des membres de notre communauté. Nous luttons pour la rénovation complète de notre peuple, ce qui est la seule réponse aux menaces qui planent sur lui.
Plus tard nous l’emporterons, plus il y aura de victimes au sein de notre peuple du fait de l’aggravation de la situation.
La volonté
Déplacer les allogènes de quelques milliers de kilomètres est une simple question de volonté dont nombre font grand cas quand, vraiment, cela relève d’une question de détail. Comme au reste pour tout ce qui concerne les problèmes que nous affrontons.
L’ennemi s’assure en permanence de ce que ses opposants soient gagnés par la résignation. C’est pourquoi j’ai toujours dit que nous devions gagner l’unique bataille qui importe : celle qui nous fera triompher de nous mêmes. Le défaitisme et la démoralisation sont des poisons dont l’antidote est pourtant d’une grande facilité d’accès. Il suffit de dire : « Je veux ! ».
Je n’ai jamais pour ma part douté de notre victoire, c’est une certitude absolue qui m’habite quotidiennement.
Pour vouloir, il faut aussi désirer quelque chose de grand. Ce qui m’amène à dire, précisément, qu’il faut croire. Croire non seulement avec confiance mais encore avec passion. La passion pour l’avenir et pour tout ce que nous réaliserons pour les nôtres, une fois que nous nous serons débarrassés de cette démocratie impuissante et de nos ennemis.
Vouloir, croire, combattre, voilà ce que nous portons en nous et que nous convertissons en action.