Le frère de Netanyahou déclare qu’il est temps qu’Israël laisse tomber l’histoire des chambres à gaz imaginaires d’Adolf Hitler pour ne pas finir totalement isolé du reste du monde

Captain Harlock
Démocratie Participative
02 Mai 2020

Il y a du nouveau chez les juifs.

The Times of Israël :

Durant une conférence organisée mercredi, le docteur Iddo Netanyahu, jeune frère du Premier ministre, a déclaré que la thématique de l’antisémitisme ne devait pas être au cœur de la rhétorique publique d’Israël à l’étranger, et que les dirigeants en visite dans le pays ne devraient pas avoir pour première étape Yad Vashem, le musée-mémorial national de la Shoah.

Lors de la conférence sur l’antisémitisme qui a eu lieu en ligne à l’occasion de Yom HaAtsmaout, il a déclaré que les dirigeants qui venaient en Israël ne le faisaient pas  par pitié pour le peuple juif mais pour explorer la façon dont leurs liens avec l’Etat juif pouvaient être bénéfiques pour leurs propres intérêts.

Netanyahu — radiologue, auteur et scénariste — a également accusé l’Agence juive de donner un double discours aux Juifs de la Diaspora en les encourageant à immigrer en Israël tout en leur assurant que l’Etat faisait tout son possible pour gérer l’antisémitisme dans leurs pays. Selon lui, le fait que l’institution mette autant l’accent sur la lutte contre l’antisémitisme pourrait donner « de faux espoirs » aux Juifs de la Diaspora, a-t-il dit.

Il a souligné que l’antisémitisme était encore d’actualité sur les campus américains et dans les cercles musulmans, et qu’il prospérait encore davantage pendant la pandémie. Netanyahu a déclaré que si les thèses antisémites devaient être exposées et contrariées, il était « illusoire » de penser que le phénomène pouvait être éradiqué, et que c’était une erreur de consacrer autant de temps et d’efforts à le combattre.

Le « non-Juif moyen dans le monde ne se soucie guère de savoir si un dirigeant quelconque est, ou était accusé, d’antisémitisme », a-t-il ajouté. Ce qui est important, « c’est d’expliquer les faits sous-jacents au sujet, plutôt que lancer des accusations d’antisémitisme. Cela n’a fait qu’affaiblir la capacité d’Israël à faire valoir son point de vue auprès des citoyens d’autres pays et de leurs dirigeants », a déclaré M. Netanyahu.

Cet homme fait preuve de bon sens.

En effet l’antisémitisme ne disparaîtra pas, du moins tant que des juifs marcheront sur cette terre. Le juif est la source même de l’antisémitisme. Le juif s’est toujours refusé à voir cette réalité d’évidence et a entrepris de plonger le monde dans le chaos et l’anarchie pour ne pas avoir à affronter la véritable cause de ses malheurs : lui-même.

Les israéliens les plus lucides quant à leur propre situation ne peuvent pas ne pas voir que cette histoire d’abats-jours et de savon en graisse de juif est en train de rapidement perdre son pouvoir de sidération sur les masses internationales. Et en fait, de devenir contre-productive.

Or, Israël repose intégralement sur l’Hologramme. Enfin, en plus de ses quelques 200 têtes nucléaires.

Ces trente dernières années, les juifs ont augmenté chaque année les doses de matraquage sur le thème des chambres à gaz imaginaires d’Adolf Hitler, pour nous soumettre psychologiquement grâce à la culpabilisation de la race blanche. D’abord parce que c’était pour eux un moyen d’accroître toujours plus leur pouvoir aux dépends des nations blanches et parce que cela offrait au juif ce qu’il recherche par dessus tout sur cette terre : la vénération des goyim.

Quiconque a dû subir la Liste de Schindler lors de sa sortie comprend ce dont je parle.

C’est un véritable film de science-fiction mais les goyim ont cru que c’était vraiment vrai.

Les SS imaginaires du juif Spielberg devant leurs fours à juifs à ciel ouvert

Les SS en vrai

C’est logique, au fond. On recherche toujours ce que l’on a le moins et les juifs sont, de loin, la race la plus détestée du monde. De très loin.

D’ailleurs, les juifs ont fabriqué ce concept bizarre d’Holocauste pour diaboliser préventivement toute personne qui pourrait s’opposer à leurs menées perfides précisément parce que les juifs savent parfaitement que tout le monde les déteste. J’admets que c’était bien trouvé. Quiconque osait protester devenait ipso facto un « gazeur de juif en puissance » et devait se taire et ramper aux pieds des juifs.

Il va sans dire que cela ne marche que tant que des gens prennent au sérieux l’Hologramme.

Mais surtout, tant que les gens en ont quelque chose à foutre. Or, il est un fait désormais établi que seuls les Boomers avec des dommages cérébraux accordent de l’importance aux fours à pizza d’Adolf Hitler.

Le frère de Netanyahu l’a parfaitement compris. Ces escrocs connaissent leurs escroqueries. Un escroc n’est pas tenu de croire à sa propre escroquerie. Seule la victime goye est tenue d’y croire. Mais le juif sait que le moment approche où cette farce bancale de chambres à gaz explosera spectaculairement et qu’à ce moment là le goy escroqué sera très remonté. Il est donc temps de se retirer de cette affaire, autant que faire se peut, pour que le jour où les goyim comprendront très majoritairement l’arnaque, les juifs puissent dire, « Mais pourquoi vous venez nous parler de ces vieilles histoires ? ».

C’est le véritable sens du discours du frère de Netanyahou. Si Israël doit survivre, cet état doit progressivement se désindexer de l’étalon Shoah. Faute de quoi, sa crédibilité suivra celle du mythe des chambres à gaz.

Depuis des décennies, tous les dirigeants du monde en visite en Israël ont été conduits, en premier lieu, à Yad Vashem, a-t-il dit.

« Il visite, observe les expositions et les photos tragiques, qu’il a probablement déjà vus, et à quoi pense-t-il ? Il pense que nous cherchons la pitié. Et en tant que chef d’Etat, la dernière chose qui l’intéresse est la pitié. Il éprouve peut-être de la pitié pour le peuple juif », a dit Netanyahu. « Mais ce n’est pas pour cela qu’il est venu en Israël… Ce qui l’intéresse, en sa capacité de représentant d’un pays, c’est de voir comment ce pays peut aider les intérêts du sien. »

Yad Vashem est une institution essentielle, a-t-il dit. « Mais c’est déplacé que l’Etat souverain d’Israël y emmène chaque dirigeant, en premier lieu, pour qu’il voit des photos glauques d’Auschwitz. »

C’est la voix de la sagesse.

Qui voudrait visiter un état rempli de juifs, à plus forte raison s’il faut visiter cette maison hantée fabriquée par des gens visiblement malades mentalement ?

C’est en réalité un numéro de masochisme.

Le problème qu’ont ces juifs, c’est que leur âme est noire et qu’ils peuvent difficilement survivre sans se torturer.

Mais admettons.

Je suis personnellement prêt à faire un pas en direction de ces juifs : qu’ils ne se mêlent plus de nos affaires, quittent le monde blanc et cessent de vouloir nous empoisonner avec leur fatras à base de Zyklon B et d’antiracisme et nous serons quitte.

Ils pourront faire ce qu’ils veulent dans leur coin de désert, cela m’est indifférent.

Il a évoqué Theodor Herzl, père du sionisme politique mondial : « quand Herzl a rencontré les dirigeants en Europe et en Turquie, il leur a exposé l’idée du sionisme et a parlé d’une chose – les intérêts de leurs pays et empires – et pourquoi, pour leur bien, ils devraient soutenir le sionisme et donner aux Juifs un Etat. Il n’a pas dit : ‘regardez la souffrance des Juifs, aidez-nous.’ S’il a parlé d’antisémitisme, c’était seulement pour les avertir que cela pourrait pousser les Juifs à rejoindre les forces anarchistes et révolutionnaires et que cela pourrait conduire à la destruction de leur pays. Et en cela, il avait raison. Nous devrions prendre l’exemple de Herzl et nous comporter de la même manière. »

Interrogé sur une alternative qu’il proposerait à la place d’une visite de Yad Vashem, Netanyahu a suggéré que le pays construise un nouveau grand site national. Il a également dit que les dirigeants pourraient être conduits au Mont Herzl – le site du cimetière militaire israélien, où Herzl est également enterré, au Musée d’Israël, à Massada, ou au Mur occidental, « et aussi à Yad Vashem, mais pas comme en premier lieu. Ce n’est pas correct, pas approprié et pas utile ».

C’est même scandaleux.

Cependant, comme je le disais, le juif est le roi du mensonge. Quand il consent finalement à céder d’un mètre, il est déjà occupé à monter une autre escroquerie, généralement plus criminelle que la précédente.

En l’occurrence, échanger des terres arabes en échange d’une indifférence relative de la part du monde blanc.

La conférence de Netanyahu a été diffusée par Israël 2030, une organisation lancée le mois dernier, dont les objectifs sont notamment d’étendre la souveraineté juive à la Cisjordanie, de réformer le système judiciaire et de mettre fin à l’activisme judiciaire, de rendre la bureaucratie gouvernementale plus efficace et plus transparente et de veiller à ce que la loi sur l’État-nation de 2018, qui définit officiellement Israël comme l’État-nation juif, soit ancrée dans le système éducatif, les institutions du pays et les relations d’Israël avec la diaspora juive.

Je ne suis pas promoteur immobilier en Cisjordanie, j’imagine donc que cette question concerne les parties prenantes. J’imagine aussi que l’Iran a des choses à dire sur cette question précise.

Pour ma part en tout cas, je ne peux m’exprimer qu’au sujet de ce qui nous concerne directement, à savoir la prédation juive en Occident. Pour y répondre, notre objectif est d’expédier toute la juiverie d’Europe en Israël. Ou en Ouganda. Peu importe. Ces juifs doivent partir, la destination n’a pas d’importance.

S’il existe des juifs en Israël qui sont prêts à mettre en place cette solution, je pense que le règlement des détails pourra être achevé dans un délai relativement court.

Il va sans dire que les juifs devront reprendre leurs cabanes de jardin actuellement déposées à Auschwitz ainsi que tout le fatras entassé dans leurs « musées », ici et là en Europe.

Sauf le portail. Nous gardons le portail et nous allons le faire recouvrir de feuilles d’or.

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