Capitaine Harlock
Démocratie Participative
14 février 2018
« Oy, voilà un bon goy »
Le FPÖ sombre dans le reniement le plus lugubre sous l’impulsion de Harald Vilimsky et de ses mandataires.
Le Parti de la liberté (FPÖ) autrichien, qui participe depuis décembre à un gouvernement de coalition avec les conservateurs, a annoncé mardi qu’il allait créer une commission historique sur son passé afin de dénoncer sans équivoque le racisme et l’antisémitisme.
Le FPÖ, fondé en 1956 par un ancien général SS, cherche depuis des années à se débarrasser de son image d’extrême droite.
En d’autres termes, le FPÖ veut devenir un parti juif comme les autres. Sur injonction des juifs, par évidence.
Entre la juiverie infernale et la résistance héroïque des Autrichiens entre 1933 et 1945, ces cafards ont opté pour les envoyés du Diable.
Si ces gens croient d’acheter un répit, ils se trompent lourdement. On ne fait un pacte avec le Diable qu’à son détriment.
Ils ne vont plus finir de ramper après avoir admis la domination sémitique. Le sadisme hébraïque à cet égard ne se connaît aucune espèce de limites.
Lors des élections législatives d’octobre, il a remporté 26% des voix, derrière les conservateurs de l’ÖVP et les sociaux-démocrates. Il a obtenu les ministères des Affaires étrangères, de l’Intérieur et de la Défense.
« Nous rejetons la violence, le totalitarisme et le racisme sous toutes ses formes », a assuré mardi son secrétaire général, Harald Vilimsky, lors d’une conférence de presse.
« Nous n’oublierons jamais les heures sombres de l’histoire de l’Autriche et nous ne chercherons jamais à minimiser (les crimes du) nazisme« , a ajouté Harald Vilimsky, qui siège au Parlement européen dans le même groupe que le Front national français et le Parti pour la liberté (PVV) du néerlandais Geert Wilders.
Dites-moi, à quoi peut servir ce genre de reniements quand vous avez déjà gagné ?
« Bonjour Monsieur Lévy, me laisseriez-vous sauver mon pays, un tout petit peu ? »
Je peux vous dire que ces gens ont accepté de faire un deal avec les juifs et que les tenants et aboutissants doivent être particulièrement sinistres.
Une commission qui comprendra entre 30 et 50 membres, dirigée par un historien membre du FPÖ, Wilhelm Brauneder, va examiner le passé du parti, a annoncé le chef du groupe parlementaire FPÖ, Walter Rosenkranz.
Il s’agira notamment d’étudier les rapports entre le FPÖ et des associations étudiantes allemandes et autrichiennes considérées comme ultra-nationalistes, en examinant notamment les archives de ces associations.
Ce parti accepte de n’être qu’un relais du pouvoir colonial judéo-démocratique en charge de la gestion du cheptel goy du pays.
Cet exemple démontre à quel point la « dédiabolisation » n’est qu’une sémitisation.
C’est un énième témoignage qui démontre par l’absurde que ce que nous vivons aujourd’hui est indissociable des causes de la Seconde Guerre Mondiale et de la guerre elle-même. Une guerre civile qui continue, à basse intensité, entre ceux qui veulent détruire l’Europe et ceux qui entendent la défendre coûte que coûte.
Il est inutile d’épiloguer sur le camp auquel appartiennent les juifs en la matière, ni sur leurs intentions.