Le féminisme mène inéluctablement les Blanches à l’islam, voici pourquoi

Captain Harlock
Démocratie Participative
10 octobre 2020

 

La libération de « Mariam » Pétronin, nouvelle égérie de la cause djihadiste au Sahel, est une des plus grandes humiliations politiques qu’ait eu à subir un président français.

A tel point que Macron a dû annuler la conférence de presse qu’il prévoyait aux côtés de cette vieille folle pour se faire mousser dans les médias devant le pays entier.

A contrario, c’est un extraordinaire succès médiatique pour la cause islamo-djihadiste. La « victime » Pétronin n’a pas assez de louanges à adresser à Allah pour soutenir la cause des combattants djihadistes qui la détenaient et qui ont le sang de soldats français sur les mains.

En France, les musulmans qui passent leur temps à scander « pas d’amalgame » à chaque attentat islamiste ont bruyamment exulté de joie à l’annonce de cette conversion et de ce ralliement à la cause de l’islam, démontrant par l’absurde qu’il n’y a aucune différence islam et islam radical.

Il n’y a jamais eu « d’islam radical », uniquement l’islam.

Les mahométans ne se départissent pas du paradigme guerrier établi par Mahomet au terme duquel le monde est divisé entre musulmans et infidèles à subjuguer par la ruse ou par la force. Dès lors que cette vieille Blanche s’est publiquement soumise à la cause islamique, les bougnoules en font un trophée dans la guerre qu’ils nous font.

J’ajoute que ce sont les mêmes mahométans qui s’activent pour la vermine ouïghoure et pour laquelle le juif Glucksmann et la CIA ashkénaze se déchaînent.

Mais au delà de ça, cette véritable débâcle politico-médiatique n’aurait jamais pu avoir lieu sans son principal carburant : la femme blanche. Je n’écrirais pas cet article en ce moment si une vieille Blanche ne s’était pas rendue en Afrique pour servir la race noire.

C’était d’ailleurs une Chrétienne exaltée à l’origine et ce point est particulièrement important.

La Croix :

Sophie Pétronin visitait chaque jour les centres de santé où elle avait organisé l’assistance aux enfants malnutris. Elle avait aussi fondé, avec des amis maliens, un orphelinat. « Une centaine d’enfants continue à y vivre. Il y a un mois, nous les avons visités pour leur apporter des jouets et pour montrer au personnel qu’il n’était pas abandonné depuis l’enlèvement de Sophie », explique le pasteur Samuel Guindo, responsable des Églises protestantes de Gao. Il précise que Sophie Pétronin est catholique et pratiquait régulièrement.

Les femmes sont irrationnelles et sont naturellement portées vers la religion, le yoga ou l’astrologie. Mais ces gadgets spirituels ne sont jamais qu’un véhicule pour donner un semblant de cohérence à leur comportement.

Les vieilles Blanches en mal d’exotisme sexuel trouvent tout naturellement dans l’Eglise Catholique de Bergoglio le moyen de se comporter en outre à foutre négroïde. Elles peuvent faire passer leur nymphomanie négrophile pour la plus haute marque de moralité et esquiver ainsi les accusations des hommes blancs scandalisés. Mieux encore, grâce à la carte de l’antiracisme, ces traînées peuvent accuser d’immoralité tous les mâles blancs qui refusent de les glorifier parce qu’elles offrent leurs culs à des sauvages d’Afrique.

Ce n’est ni plus ni moins que de la prostitution sacrée, à ceci près que ces Blanches se réservent pour leur dieu noir.

En 2020, le Catholicisme auquel était affiliée Pétronin et qui l’a mené en Afrique est devenu l’église de la suprématie noire. La démographie négroïde est le carburant de cette organisation internationale dégénérée.

Trop ému par la vision du dieu noir, Bergoglio laisse tomber sa kippa

Depuis toujours l’Eglise Catholique détourne l’énergie sexuelle d’hommes et de femmes en âge de procréer pour les besoins de sa propre expansion en les forçant au célibat. Ce surplus d’énergie est déversé dans l’expansionnisme missionnaire. Ce que l’Eglise Catholique fait avec ses bénévoles blanches en Afrique est de cet ordre : exploiter cyniquement l’instinct maternel des femmes européennes détruites par le féminisme pour atteindre ses buts.

Quelques Catholiques traditionnalistes continuent d’invoquer le souvenir vénérable de l’Europe médiévale mais soyons sérieux : le clergé catholique mondial a depuis longtemps tourné cette page-là et les Catholiques réformés de Bergoglio représentent l’immense majorité de ce qu’on désigne habituellement sous le terme de « Catholiques ». Que les sédévacantistes ou les lefebvristes protestent contre cet état de fait ne change rien à cet état de fait. D’autant qu’ils sont une toute petite minorité d’une minorité, les Catholiques pratiquants ne représentant plus que 5% de la population française en 2020.

Dans les faits, tous les dimanches se réunissent dans les villes de France les membres d’une organisation internationale qui milite activement pour submerger l’Europe de nègres et dont les cadres eux-mêmes sont de plus en plus souvent des nègres.

Comme ici le glorieux clergé du diocèse du Val d’Oise en visite à Rome.

Les panafricains comme Kémi Seba ne peuvent même pas rêver du pouvoir d’influence qu’exerce le Vatican sur les nègres d’Afrique et ceux qui nous envahissent avec l’aide perfide de cette organisation.

Mais ce n’est qu’une étape transitoire.

Avec sa maladie humanitaire et sa passion pour les faibles, l’Eglise Catholique a préparé la voie à la soumission des esprits blancs à l’islam, le communisme du désert. Les Blanches infectées de charité humanitaire et obsédées par l’aide maternelle aux ratés finiront invariablement comme « Mariam » Pétronin.

Elles ont déjà choisi leur camp racial et la violence patriarcale de l’islam répond à leur besoin profond de soumission.

Si l’Europe était sillonnée de pick ups chargés de mâles blancs équipés de RPG faisant flotter le Swastika, vous auriez le tournis devant le nombre de Blanches se bousculant pour leur servir d’avocates sur les réseaux sociaux.

Mais ce ne sont pas les Blancs qui se font craindre en Europe occidentale, ce sont les sous-hommes du tiers-monde qui vénèrent le Bédouin 0.0 et les rappeurs nègres stupides.

La violence est le plus puissant aphrodisiaque qui existe.

Oubliez ce concept idiot de « femmes qui réfléchissent ». Les femmes sont comme les insectes la nuit. Allumez une lampe et ils viennent s’y agglutiner mécaniquement. La lumière que les femmes recherchent est la force masculine qui les soumet sans restriction.

Tant que les hommes blancs continueront de refuser avec obstination de tenir d’une main de fer leurs femmes, l’hémorragie continuera. Elles iront trouver ailleurs la soumission qu’elles recherchent. C’est-à-dire chez les musulmans ou les noirs.

Et nous irons de tragi-comédie en tragi-comédie, comme celle de ces derniers jours.

Que la droite nationaliste française soit devenue le théâtre d’affrontements entre pétasses parvenues résume à peu tout sur la question de la capitulation en rase-campagne des hommes.

Seule une civilisation qui se suicide donne des responsabilités à des femmes.

Le refus de l’immigration n’est rien d’autre que l’expression de la part des hommes blancs de leur volonté de dominer leur territoire face à leur éviction physique du pays de leurs ancêtres.

Cette éviction a une origine très claire : le turbo-capitalisme. Le turbo-capitalisme suppose une croissance perpétuelle de la consommation, faute de quoi ce système qui repose sur l’endettement structurel entre en dépression. Ce n’est pas quelque chose que la finance internationale ou la bourgeoisie établie entrevoient d’un bon œil. Le féminisme légal, produit du turbo-capitalisme avec le salariat féminin, l’abolition du mariage et le découplage de la sexualité et de la reproduction, a entraîné la quasi stérilité des femmes blanches. Une stérilité qui est étroitement associée à une montée en flèche de leur confort individuel et de leur consumérisme pathologique.

Le système turbo-capitaliste occidental est structurellement dénataliste tandis que son économie est structurellement expansionniste. C’est là que l’appel à l’immigration infinie intervient et que les femmes occidentales comprennent que cette immigration est la variable indispensable au maintien de leur confort de pétasses émancipées. D’autant que l’immigration du tiers-monde étend toujours plus le pool de mâles disponibles en Occident et fait mécaniquement monter leur valeur sur le marché sexuel.

Le refus de l’immigration signifie ipso facto la volonté des mâles blancs de se réapproprier leurs femmes. Ce n’est pas quelque chose que les pétasses émancipées entendent soutenir dans une démocratie où on leur donne le droit de décider.

L’islam est la gratification finale pour ces traînées.

Les véritables cellules dormantes du Djihad ne portent pas les armes. Ce sont les millions de Blanches qui sont déjà prêtes à se convertir à la religion des bougnoules qui veulent les sauter. Une Blanche qui se convertit décide par définition de se réserver sexuellement aux mahométans, c’est-à-dire aux mâles hirsutes qui nous envahissent.

Elles sont en suspension partout, dans les rédactions, les tribunaux, les ministères, les multinationales. Elles aideront l’envahisseur à tuer un maximum d’hommes blancs.

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