Le félon Robert Ménard appelle à voter massivement pour Emmanuel Macron aux législatives

Captain Harlock
Démocratie Participative
11 mai 2022

J’ai souvenir de tous ces gens qui encensaient le shabbat goy Ménard et sa très catholique femme députée il y a moins d’un an.

Aujourd’hui, il est plus macroniste que Macron.

Marianne :

Dans une tribune publiée ce mardi 10 mai dans « Le Figaro », Robert Ménard appelle de ses vœux à donner une majorité à Emmanuel Macron aux législatives. Le maire de Béziers et soutien critique de Marine Le Pen brandit la menace d’une percée de la Nouvelle Union Écologique et Sociale portée par Jean-Luc Mélenchon.

« Sous nos yeux, la gauche française est en train de s’unir sous l’égide d’un parti clairement antieuropéen et ouvertement communautariste. Anachronique, dramatique, suicidaire » a écrit l’ancien journaliste. « Choisir la sortie de route avec Mélenchon, c’est-à-dire l’option démagogique dans son aspect le plus délirant », a-t-il encore affirmé. Face à cette menace qu’il décrit comme « urgente », l’élu biterrois appelle « à faire bloc » derrière Emmanuel Macron, et demande aux « sociaux-démocrates, les centristes, les droites, toutes les droites responsables, les élus indépendants attachés à nos libertés » de s’unir en vue du scrutin des 12 et 19 juin prochains.

Le maire de Béziers n’a par ailleurs pas manqué de porter quelques coups à Éric Zemmour et son entourage, les qualifiant de « patriotes de pacotille qui fantasment sur Poutine ou sur Pétain. Cette droite confite de nostalgie est un repoussoir » a-t-il écrit, ajoutant notamment qu’elle est « hors-jeu ». Robert Ménard avait pourtant dès début janvier appelé Éric Zemmour et Marine Le Pen à s’unir pour la présidentielle, avant de finalement rétropédaler et se ranger derrière la candidate du Rassemblement National.

Il est vrai que face aux positions fluctuantes de Robert Ménard, difficile d’y voir très clair. À peine la présidentielle achevée, l’ancien patron de RSF avait sévèrement taclé Marine Le Pen, estimant que le second tour était « une défaite » pour la candidate qui a au contraire évoqué une « victoire » du fait de son score inégalé, autour de 42 %, face à Emmanuel Macron. Durant la campagne, le maire de Béziers n’avait par ailleurs de cesse d’étonner par ses prises de position évolutives.

La seule idée sur laquelle Ménard ne varie pas, c’est son soutien à la suprématie de la race juive.

Là dessus, il est intraitable.

Son moment de l’année, c’est lorsqu’il allume le chandelier à sept branches en l’honneur des forces démoniaques de la Synagogue.

Je ne sais pas ce que ce rat visqueux a mendié auprès de Macron.

Peut-être une piscine olympique ou alors une mosquée hors de prix pour la ville arabe de Béziers dont il est l’édile.

Ou – plus probable encore – des champs d’oliviers volés à des fermiers palestiniens qui seront offerts à des colons juifs.

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