Captain Harlock
Démocratie Participative
13 Juillet 2020
Après un déchaînement d’imprécations et de menaces d’une sauvagerie inouïe contre la magistrature française, la juiverie organisée a finalement obtenu un procès d’exception à grand spectacle où elle entend s’exhiber devant un public goy sidéré.
Il y aura bien un procès pour crime antisémite dans l’affaire Mireille Knoll. Ainsi l’ont décidé les juges d’instruction, chargés d’élucider le meurtre de cette octogénaire juive à Paris en mars 2018, dans leur ordonnance de mise en accusation notifiée ce lundi aux parties.
Selon des sources concordantes, les magistrats ont renvoyé devant la cour d’assises de Paris les deux suspects, qui se renvoient mutuellement la responsabilité du crime, pour « homicide volontaire » aggravé par deux circonstances. La première par le fait que Mireille Knoll, atteinte de la maladie de Parkinson, était une « personne vulnérable ». Et la seconde en raison de la religion de la victime – la vieille dame fut une survivante de la Rafle du Vél d’Hiv.
Les juges suivent ainsi les réquisitions du parquet de Paris. En retenant la circonstance aggravante de la vulnérabilité en toute fin d’instruction, ils s’assurent que la peine encourue par les accusés sera la plus élevée, même en cas de contestation du mobile antisémite lors des débats devant la cour d’assises.
Tout au long des deux ans d’instruction, Yacine Mihoub, voisin de Mireille Knoll, et Alex Carrimbacus, ami du premier, se sont mutuellement rejeté la paternité des coups de couteau mortels. L’un accuse l’autre d’avoir tué la vieille dame au cours d’un cambriolage qui a mal tourné. L’autre évoque un coup de sang de son complice à la suite d’une dispute avec l’octogénaire. Les faits se sont déroulés dans le huis clos du HLM du XIe arrondissement de la victime, sans témoin. L’enquête du 2e DPJ n’a pas permis de les départager – l’arme du crime n’a pas été retrouvée – mais les juges les ont donc renvoyés dos à dos.
Yacine Mihoub, 30 ans, et Alex Carrimbacus, 24 ans, ont tous deux contesté que le meurtre puisse avoir un lien avec la confession de la victime. Mais leurs déclarations ont été affaiblies par leurs divers revirements ou « leur propension au mensonge », ainsi que l’a souligné le parquet dans ses réquisitions. Les investigations n’ont pas permis d’étayer un fond antisémite chez l’un ou l’autre. Néanmoins, l’accusation relève que Carrimbacus a déclaré que son comparse avait crié « Allah Akbar » et avait parlé de la condition des juifs avec la vieille dame, avant le meurtre. Lui-même se serait renseigné sur le degré de fortune de la victime avant de se rendre dans son appartement, à l’invitation de Mihoub.
Il n’y a rien.
Les enquêteurs admettent qu’il n’y a rien.
Les médias pourtant acquis à la juiverie admettent qu’il n’y a rien.
En dépit de deux années d’investigation diligentée sur ordre des juifs pour trouver le moindre élément susceptible de corroborer cette histoire d’antisémitisme, le dossier reste désespérément vide. Il ne s’agit que d’un meurtre aussi glauque que banal.
Qu’à cela ne tienne, les juges ont simplement décrété que le meurtre était antisémite car les juifs ont décidé qu’il l’était.
« Je me réjouis de voir l’analyse du parquet en substance partagée par les juges d’instruction et que plus rien ne s’oppose maintenant au renvoi des deux meurtriers devant la cour d’assises, réagit Me Gilles-William Goldnadel, avocat de la famille Knoll. La justice française s’est conduite comme elle devait se conduire, de façon normale et équitable, à l’égard de tous. Nous avons toujours pensé que Mireille Knoll est morte parce qu’elle était trop vieille pour se défendre et parce qu’elle inspirait une détestation particulière. »
Que l’avocat qui représente des extrémistes juifs déterminés à chasser la France des terres qu’elle possède en Palestine soit de la partie ne surprendra que les naïfs.
Le droit français est désormais organisé sur le principe de la supériorité raciale des juifs vis-à-vis du reste de l’humanité.
Contrairement aux centaines de Français assassinés chaque année dont les meurtres sont considérés comme relevant du simple droit commun, tout juif qui meurt dans les mêmes conditions est désormais automatiquement considéré comme la victime d’un crime plus grave du seul fait de son origine juive : le « crime antisémite » par défaut qui a pour fonction d’aggraver mécaniquement la moindre mort d’un juif.
Ce n’est que la traduction légale du principe fondamental du judaïsme suprémaciste selon lequel une vie juive vaut plus que la vie d’un goy. En droit français, la vie d’un juif vaut donc explicitement plus que celle d’un goy.
C’est aussi la restauration du régicide, crime considéré comme plus grave que le simple assassinat en raison de la qualité de la victime, c’est-à-dire le monarque. Les juifs étant les véritables maîtres de la France, la restauration du régicide devait mécaniquement suivre. C’est tout l’objet de ce futur procès : orchestrer un numéro de vengeance exhibitionniste où le tyran hébraïque se présentera comme l’épicentre de l’humanité injustement persécuté par des goyim décrétés arbitrairement coupables de rébellion sacrilège contre l’élection divine de la race juive.
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