Le « fact checker » Antoine Daoust pris en flagrant délit de fabrication de désinformation pro vax !

La rédaction
Démocratie Participative
25 novembre 2022

 

Les propagandistes du fact-checking d’état rament.

L’un de leurs agents, le ci-devant Antoine Daoust de la publication « Fact and Furious », a été dénoncé par sa beurette comme un phénoménal manipulateur.

La vidéo d’Idriss Aberkane sur l’affaire :

Son passage chez Sud Radio :

Ce Daoust est un ancien militaire, simple soldat.

Quand les USA se sont effondrés en Afghanistan l’an dernier, ce type a surgi sur les médias pour expliquer que c’était une victoire des démocraties.

Il n’a pas été présenté pour son rôle ordinaire, uniquement comme « ancien militaire français engagé en Afghanistan ».

Cette affaire rappelle une autre similaire qui impliquait également un pigiste chargé de désinformer activement pour le compte de la presse.

C’est du cash, de la main à la main. Une partie déclarée, une partie au black.

Les antifas de Libération, du colonel du renseignement israélien Dov Alfon, font partie du réseau.

Le cash de ce réseau finançait notamment des articles contre Vincent Reynouard.

Pas besoin de chercher très loin (((d’où))) vient ce fric.

Ce qui est nouveau avec la propagande d’état, c’est qu’elle se présente désormais comme neutre et objective.

Le commissaire politique chargé par le régime de lutter contre toute forme d’opposition au régime est Christian Gravel, un client de Manuel Valls.

C’est aussi un associé de Rudy Reichstadt qui, avec le juif Tristan Mendès, filtre l’internet et les médias pour le compte de la juiverie organisée.

La structure d’agitation et de propagande étatique dont il a la charge est le Comité interministériel de prévention de la délinquance et de la radicalisation (CIPDR). C’est une structure rationnelle et très équilibrée qui considère que tous ceux qui doutent de la parole du gouvernement macroniste sont des assassins potentiels.

Ce réseau revendique ses méthodes, mais pas ses clients.

Sauf lorsqu’il s’agit des médias d’état.

La sous-traitance est au coeur de ce système.

Le gouvernement corrompt des influenceurs pour diffuser ses mensonges, jusqu’à créer un vaste écosystème de désinformation privée/publique. L’idée du régime est de se dissimuler derrière des figures grand public.

Soudain, vous voyez des go muscus débarquer à Auschwitz pour essayer de vendre cette idée étrange de chambres à gaz aux jeunes qui vont à la salle.

Et en parallèle, les articles contre Vincent Reynouard pleuvent, les mauvais goyim sont chassés des réseaux sociaux sur ordre des mêmes.

Christian Gravel est aussi à la tête de Miviludes, un faux nez du régime qui classe dans la catégorie de « sectes » tous les groupes qui posent problème au système.

Il y a bien sûr des illuminés, ou des sectes réelles, mais l’idée est de mélanger des opposants antivax, tendance hippie, à des sectes, pour les discréditer.

Et les jeter en prison.

Idriss Aberkane a accidentellement démasqué un des propagandistes d’un vaste système de désinformation oligarquo-gouvernementale dont le public ignore l’action.

Il s’agit pour le système d’imposer cette grille de lecture : l’hyperclasse dit toujours la vérité, la plèbe ment.

C’est pour cette raison que le « complotisme » est devenu un sujet en France : parce que c’est l’angle systématiquement utilisé par les cellules de propagande du régime pour imposer le discours officiel contre les opposants.

C’est vrai pour le Covid, la guerre en Ukraine, le réchauffisme, le mythe des chambres à gaz, etc.

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