Le discours de la veuve du gendarme tué à Mougins suscite de vives réactions

La Rédaction
Démocratie Participative
29 août 2024

 

Faute de gouvernement, personne au ministère de l’intérieur n’a pensé à envoyer une équipe spéciale coacher la veuve du gendarme tué à Mougins.

Du coup, ça a été le désastre médiatique comme chacun l’a vu.

Le malaise est palpable au sein de certains segments de la population. Les larges narines de Twitter s’émeuvent de cette tentation répressive.

On en oublierait presque le front républicain de juin dernier quand les deux tiers des électeurs français ont voté en bloc pour les mélenchonistes et les macronistes afin de garantir aux étrangers multirécidivistes le droit de récidiver.

 

« Français, vous avez vraiment la mémoire courte » comme disait le Maréchal Philippe Pétain.

Fort de ce soutien électoral, la gauche radicale rompt elle aussi l’harmonie.

Le consensus à droite est de dire qu’il est particulièrement odieux de tuer un flic.

Apparemment, ce serait moins grave quand un Français de base se fait assassiner par un allogène que lorsqu’il s’agit d’un flic.

Ce besoin de vénérer l’État et ses représentants traduit la profonde incompréhension de la nature de cet état par les plébéiens de souche. Les autochtones croient encore que cet état est « leur » état et que ses flics sont « leurs flics ».

Cet état veut leur peau depuis l’avènement de la république et l’Affaire Dreyfus, mais ils persistent à s’aveugler.

Il y a toute une éducation à faire à ce sujet.

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