Captain Harlock
Démocratie Participative
25 mai 2018
L’illusion collective créée par les juifs d’Hollywood
Les juifs d’Hollywood vont non seulement être à court de producteurs mais également de nègres magiques pour incarner des rôles de généraux, présidents et autres dieux germaniques.
Selon une enquête de CNN, huit femmes déclarent avoir été victimes de harcèlement sexuel ou de comportements inappropriés de la part de l’acteur américain.
Les faits auraient eu lieu en privé et en public. Selon une enquête de CNN (en anglais), huit femmes affirment avoir été victimes de harcèlement sexuel ou de « comportements inappropriés » de la part de l’acteur américain Morgan Freeman. Huit autres femmes affirment avoir été témoins des faits.
Une femme raconte à la chaîne américaine que le comédien l’aurait soumise à des attouchements non désirés, à des commentaires sur sa silhouette et sur ses vêtements lors du tournage de Braquage à l’ancienne, à l’été 2015. « Freeman a posé sa main sur le bas de mon dos, ou me massait le bas du dos« , affirme-t-elle.
Un jour, l’acteur, âgé de 80 ans, aurait même tenté de soulever sa jupe et lui aurait demandé si elle portait des sous-vêtements. Finalement, Alan Arkin, l’un des partenaires à l’écran de Morgan Freeman, « lui a dit d’arrêter, il a paniqué et ne savait pas quoi dire ».
Selon CNN, une membre de l’équipe de production du film Insaisissables a aussi déclaré que l’acteur l’aurait harcelée sexuellement avec une assistante, en faisant des commentaires sur leurs corps.
Nous savions que lorsqu’il venait, nous ne devions pas porter de hauts qui laisseraient voir nos seins, rien de moulant. citée par CNN
Et les faits ne se limiteraient pas au cinéma. Selon CNN, trois journalistes auraient subi des remarques inappropriées lors de reportage ou d’événements cinématographiques, où l’acteur était présent.
Contacté par CNN, e-mail à l’appui détaillant la liste des accusations, le porte-parole de Morgan Freeman n’a d’abord pas donné suite aux sollicitations de la chaîne. Son associé Lori McCreary au sein de la société de production Freeman Entertainment n’a pas non plus répondu aux demandes de la télévision américaine.
Mais l’acteur a fini par réagir après la publication de l’enquête de CNN. « Quiconque me connaît ou a travaillé avec moi sait que je ne suis pas une personne qui offenserait ou mettrait quelqu’un mal à l’aise volontairement », a-t-il écrit dans un communiqué. Et de conclure :
Je présente mes excuses à toute personne s’étant sentie mal à l’aise ou non respectée. Cela n’a jamais été mon intention. dans un communiqué.
C’est vraiment inattendu.
Le syndrome Bill Cosby.
Morgan Freeman est vraiment l’archétype du nègre censé dominer la race blanche du haut de sa sagesse acquise au fil de sa lutte pour l’égalité.
Il est censé incarner le monde tel qu’il devrait idéalement être, une fois la révolution juive planétaire parachevée.
Du moins, c’est ce que les juifs ont toujours voulu imprimer dans le cerveau des Blancs.
Car quand vous mourrez, un nègre avec la main sur le cul d’une Blanche viendra vous voir pour vous dire : « Dieu est noir sale raciste ».
Non je rigole, ça c’est le paradis tel que se le représentent les nègres.
Quoiqu’il en soit, aux USA, les juifs ont passé des décennies à créer des demi-dieux nègres manipulés génétiquement pour développer chez les Blancs un sentiment inconscient d’infériorité. Physique, avec des bêtes hirsutes sous amphétamines que sont les rappeurs, ou moral avec des bamboulas dotés de superpouvoirs, notamment celui de discuter directement avec Dieu.
Avec des conséquences inévitables.
Le monde des juifs repose sur leur capacité à mentir, c’est à dire à créer une illusion que tout le monde pensent être vraie.
Hélas, plus le mensonge est énorme, plus il est difficile de le faire croire dans la durée. Tôt ou tard, les choses apparaissent pour ce qu’elles sont.
Et donc le nègre apparaît pour ce qu’il est.
Par ailleurs, chacun peut mesurer la stupidité abyssale de ces juifs qui n’ont jamais pu saisir ce principe élémentaire. En créant des archétypes de nègres omnipotents, le public aryen en vient, au bout d’un temps, à être rongé par une forme d’impatience : « où est cette surhumanité négroïde qui va me sauver de ma misérable condition raciale et de ma culpabilité ? ».
Et les Blancs finissent par vivre dans un univers double où d’une part ils ont les nègres magiques du Wakanda à la télé et des dealeurs de crack au coin de leur rue.
Ce qui a pour conséquence, à long terme, de faire exploser le racisme, conséquence d’une frustration croissante.