Captain Harlock
Démocratie Participative
16 septembre 2020
La confrontation se poursuit au sein du régime pour déterminer lesquels, des islamistes ou de la résistance blanche, doit être la cible prioritaire de la répression d’état.
Suite à notre article démontant l’opération lancée par le cartel médiatique de Patrick Drahi pour occulter le rôle crucial des néo-conservateurs juifs dans la planification du 11 septembre 2001, le député LREM pro-musulman Bothorel s’en est une nouvelle fois pris à notre média, insistant sur la nécessaire alliance sémitique entre juifs et musulmans contre les populations blanches.
Ce que Bothorel nomme « ce séparatisme-là ».
Comme expliqué récemment, quand des Blancs refusent de finir submergés par les migrants d’Afrique et d’Orient, la bourgeoisie macroniste les catalogue comme des Nazis.
Lire : Si vous êtes blanc et que vous ne voulez pas être grand-remplacé, vous êtes Nazi, que ça vous plaise ou non
Et à des « séparatistes » désormais.
Le régime se retrouve donc, petit à petit, dans une guerre sur deux fronts, entre allogènes musulmans et indigènes blancs.
C’est ce
qu’a confirmé Marlène Schiappa ces derniers jours pour le compte du ministère de l’Intérieur. La nomenclature de la future loi « anti-séparatiste » est pensée pour être très plastique et inclure de plus en plus nettement les Français de souche.
Mais la nouveauté, c’est la criminalisation de la cause blanche.
De peur d’être accusé de stigmatiser une religion, Emmanuel Macron veut élargir à d’autres domaines. À l’Elysée, on cite les dérives de ces « établissements scolaires catholiques qui nient le pacte républicain ». À Bercy, on étrille « les ultra-riches qui pratiquent l’évasion fiscale, autre forme du séparatisme ». Place Beauvau, on montre du doigt « les suprémacistes blancs ». Au risque de diluer le message initial…
Comme vous le voyez, chaque clique y va de ses obsessions : le Grand Orient veut bouffer du curé en dépit de l’évaporation complète du Catholicisme, les bandits rouges du fisc sont à la recherche de fonds et les juifs du ministère de l’Intérieur n’ont qu’une priorité : éradiquer la race blanche en France. C’est cet attelage que l’on appelle « la République ».
Il y a une constante en France : la versatilité des politiciens. Constamment sous l’influence contradictoires de bandes aux intérêts divergents, aucune grande politique ne peut être menée. L’activité du régime se limite en conséquence à tenter de maintenir cet équilibre précaire entre factions à coups de concessions d’opportunité, ce qui empêche l’Etat d’adopter une stratégie d’ensemble sur la longue durée. Les tensions internes n’ont donc pas fini de traverser le régime agonisant.
En réalité, c’est la bourgeoisie cosmopolite macroniste qui est séparatiste. C’est elle qui organise sa sécession territoriale, économique et politique du reste de la France historique en édifiant de véritables forteresses attaliennes dans les 10 grandes métropoles hexagonales où seuls les cadres supérieurs et leur main d’oeuvre immigrée sont admis. Mais pour séparatiste qu’elle soit, elle entend micro-manager ses colonies intérieures.
D’ici peu, nous serons policés comme les montagnards afghans par l’US Air Force.
Cette offensive contre le « séparatisme » est une gigantesque inversion accusatoire. Les « séparatistes blancs » que sont les Français de souche en France ne se séparent de rien, au contraire, ils refusent de se séparer de la terre de leurs ancêtres que bradent à la pouillerie du tiers-monde les élites intégrées dans l’empire judéo-financier global. Ce sont ces élites vagabondes et parasitaires qui combattent la sédentarité blanche, pas l’inverse.
Mais s’il est question de rompre avec cette république antiblanche contrôlée par les juifs qui administre la France, alors oui, nous sommes bel et bien des séparatistes blancs. D’où ce grand projet
d’état séparatiste blanc dit de « Grande Bourgogne ». Cette idée est nouvelle, elle doit patiemment mûrir dans les esprits avant de produire ses premiers effets. Comme l’implosion de l’Etat Français en sous-blocs ethniques et religieux est désormais inéluctable, il fallait formaliser cette idée nouvelle. Il suffira d’un choc pour que l’actuelle fragmentation du corps social ne se traduise en termes territoriaux et politiques.
En ce troisième millénaire, nous devons totalement repenser le nationalisme en France pour le recentrer sur la matière biologique dont procède une nation : la masse vivante du peuple comme communauté de filiation, donc de sang. Le débat stérile sur les instances au détriment de la substance ne peuvent mener à rien. Nous ne ressusciterons pas l’état-nation français. Encore moins par l’exercice électoral. C’est une illusion, un fantôme. Une telle attitude de protestation stérile rendra ceux qui s’en revendiquent aussi impuissants que les monarchistes de jadis : bruyants, ponctuellement marquants, mais sans prise sur la marche des événements. Il faut donc bâtir un nationalisme sur la base de la nouvelle réalité dialectique et s’émanciper des formes et des réflexes du passé.
Si les Blancs en France n’ont plus d’état en propre, alors il faut bâtir cet état. Un état racial par et pour les Français de race blanche ayant renoué avec leur conscience de groupe. C’est paradoxalement une opportunité historique : solder irréversiblement 1789, en finir avec l’imposture égalitaire et rétablir l’ordre aristocratique sur une base qui transcende les différences à savoir le sang. Si un tel sursaut n’a pas lieu, l’obscurité raciale s’étendra partout et les derniers éléments blancs disparaîtront dans la boue islamo-mulâtre.
Nous devons préparer ce qui succédera à cette république une fois sa dissolution finale consommée, de telle sorte que les conditions les plus favorables pour la constitution de républiques blanches soient réunies.