Capitaine Harlock
Démocratie Participative
05 juillet 2017
Je pense que le gouvernement français doit effectivement s’excuser, mais auprès de la population française pour ce crime sans précédent dans l’histoire de France : la création de l’Algérie.
Le président algérien Abdelaziz Bouteflika a de nouveau demandé à la France d’admettre officiellement les « souffrances » infligées au peuple algérien sous la colonisation, dans un message à l’occasion des 55 ans, aujourd’hui, de l’indépendance de l’Algérie.
« Notre peuple exige toujours une reconnaissance de ses souffrances de la part du colonisateur d’hier, la France », a affirmé M. Bouteflika dans ce message diffusé par l’agence de presse officielle APS.
« Le partenariat d’exception » dont l’Algérie et la France ont engagé la construction depuis la visite à Alger fin 2012 du président français François Hollande, « gagnera en sérénité et en élan dans une reconnaissance des vérités de l’Histoire », a poursuivi le chef de l’Etat algérien. L’Algérie a par le passé réclamé que la France reconnaisse officiellement ses « crimes » en Algérie et s’en excuse, après 132 ans de colonisation française et une guerre d’indépendance sanglante.
L’impudence de cette sous-race est vraiment extraordinaire. Et cela de la part d’un vieillard, ex-terroriste et égorgeur de Pieds-Noirs, qui vient se faire soigner aux frais du contribuable français sur lequel il crache.
D’emblée, en plus des excuses dont j’ai parlé, j’ajouterais celles que ce régime de bougnoules infects doit aux Français pour les innombrables crimes commis sur le territoire métropolitain par les sauvages débarqués du bled en 50 ans. C’est-à-dire les viols, vols, meurtres, braquages, sévices divers et autres actes de barbarie, djihadisme, coût social exorbitant pour le contribuable français, etc.
Bref, j’exigerais de l’Algérie :
- La remigration immédiate et intégrale de tous les algériens présents en France, aux frais de l’état algérien.
- Le dédommagement pour les crimes commis par l’Algérie en France, dont j’estime le volume à environ 1000 milliards d’euros.
- La cession de l’intégralité des ressources énergétiques de l’Algérie à la France.
En cas de refus, l’armée française serait chargée de lancer des bombes nucléaires tactiques sur chaque ville algérienne, au rythme de une par jour, jusqu’à ce que les conditions soient acceptées. J’estime à environ 15 minutes le délai d’attente avant que la clique de pillards qui contrôle ce pays ne cède sur tout.
Ah oui, j’exigerais en plus que Bouteflika quitte son fauteuil roulant pour baiser mes chaussures, sur la plus grande place d’Alger où une grande banderole aura été installée, proclamant : « L’Algérie est un bordel peuplé de rats immondes ».