Captain Harlock
Démocratie Participative
23 mars 2021
Ministre français, 2021
Peu importe que la France s’enfonce à une vitesse effrayante sous une dette abyssale, que son économie soit en dépression et qu’un million de BAC -8 et d’islamistes en provenance d’Afrique et d’Orient se soient établis en France depuis l’élection de Macron en 2017, le gouvernement français a d’autres priorités : civiliser le reste du monde.
Après la Birmanie début mars, la Chine cette semaine, c’est au tour de la Pologne d’être menacée par notre belle république juive.
Le cyclope du Cap Vert Elisabeth Moreno – qui est ministre, si vous l’ignoriez – a annoncé l’envoi prochain d’un proconsul en Pologne pour y établir des embryons d’émirats homosexuels où les enfants pourront être piqués aux hormones afin de se faire éjaculer dans l’anus par des invertis.
Ça, c’est pour le constat. Concrètement, que peut faire le gouvernement pour améliorer leur inclusion et lutter contre le harcèlement scolaire?
La première chose à faire est d’aider le corps enseignant à se saisir de ces questions, c’est ce à quoi nous nous attelons avec Jean-Michel Blanquer. Il y a encore dix ans, on ne parlait pas ou peu des questions LGBT+ à l’école. Certains professeurs n’ont jamais entendu parler de ces sujets dans leur formation et ne savent pas comment s’y prendre. Il faut donc trouver les bons outils pour parler sereinement de ces questions, sans choquer. Le ministère de l’Éducation nationale va créer un site internet dédié “Éduquer contre les LGBTphobies” à destination du corps enseignant pour la prochaine année scolaire.
Nous avons également décidé de rédiger un guide d’accompagnement dédié aux personnes trans. Après le drame de Lille (où une collégienne trans s’est suicidée en décembre dernier, NDLR) et face à la souffrance des enfants trans à l’école, il faut se rendre à l’évidence: l’école n’est pas suffisamment équipée.
Êtes-vous favorable à ce que les élèves trans puissent utiliser leur prénom d’usage à l’école, au collège et au lycée?
Personnellement, je pense que nous devons permettre aux élèves trans d’utiliser leur prénom d’usage, sans qu’il soit nécessaire de toucher à l’état civil, que ce soit à l’école, au collège et au lycée et c’est ce qui est d’ailleurs prévu dans le cadre de notre plan LGBT+. Montrer à la personne qu’on la reconnaît et qu’on accueille sa transition, c’est aussi lui donner la possibilité d’utiliser son prénom d’usage. Beaucoup de collèges et de lycées se demandent si les enfants sont capables de reconnaître leur identité de genre à cet âge-là. Mais on parle d’un prénom, pas d’un changement d’état civil.
Votre collègue Clément Beaune n’a pas pu se rendre dans une des 80 zones dites “sans idéologie LGBT+” en Pologne. L’accompagnerez-vous la prochaine fois?
Oui, nous irons en Pologne ensemble dès que ce sera possible. Cela a fait partie de mes premiers échanges avec lui et c’est l’une de mes priorités. En ce qui concerne les droits humains, nous ne pouvons pas accepter en Europe de recul. Si le gouvernement polonais ne respecte pas les libertés, les droits et les valeurs de l’Union européenne, il faut regarder comment sanctionner, notamment financièrement.
Et last but not least, le rappel du serment de fidélité au suzerain juif.
D’ailleurs, avez-vous eu gain de cause sur la panthéonisation de Gisèle Halimi?
Pas encore, mais je suis quelqu’un de très optimiste. Je n’abandonnerai pas parce que je trouve que c’est juste. Sur les 80 personnes au Panthéon, il n’y a que cinq femmes. Je crois que c’est assez parlant.
Tout le monde ignorait que lors de sa fondation en 1993, le but de l’Union Européenne serait de piquer des enfants avec des produits pour ensuite les faire sodomiser par des homosexuels séropositifs quelque part en Pologne.
Je n’en avais pas été informé à l’époque. Ni d’ailleurs les Français, lors du référendum sur Maastricht où rien ne figurait à propos de « valeurs » consistant à faire sodomiser des petits garçons déguisés en petites filles.
Les Polonais n’en avaient pas non plus été informés lorsqu’ils ont rejoint l’UE en 2004.
C’est typiquement ce qui se produit lorsque vous signez un pacte avec les juifs : vous découvrez des tas de clauses que viennent vous présenter des avocats avec des faciès d’arabe et des noms en -berg.
Les Polonais découvrent donc un système où des délégations du gouvernement français composées de nègres, de juifs et d’hommes qui éjaculent dans l’anus d’autres hommes s’apprêtent à débarquer dans leurs villes pour y créer une administration parallèle.
Il faut dire que l’administration de la France fait l’admiration du monde et qu’après avoir excellé ces dernières années, elle a désormais suffisamment de temps pour administrer d’autres nations.
En tout cas, nos bataillons de noirs et d’homosexuels sont déjà sur le pied de guerre, prêts à pousser l’idée républicaine toujours plus à l’est.
Vous me direz que la Pologne est aussi une république mais en réalité, ce n’est pas tout à fait exact. Ces sauvages polonais ignorent qu’une véritable république est dirigée par des juifs, administrée par des sodomites sidaïques et repeuplée de nègres musulmans. Sur ces trois critères, ces Slaves ont échoué.
Je n’aurais aucun mal à convaincre du bien fondé de cette mission civilisatrice. Il suffit de comparer les rues des deux pays.
Si d’aventure ces Polonais s’obstinaient à résister à la venue de nos envoyés coloniaux, il faudrait recourir à l’arme de l’embargo économique.
A défaut de livrer leurs enfants volontairement, ils y consentiront par la misère et le chômage, deux valeurs fondamentales de l’Union Européenne.
Commentez l’article sur EELB.su