Capitaine Harlock
Démocratie Participative
20 mars 2018
Vous avez d’une part ce que les juifs disent d’eux-mêmes : le petit peuple persécuté, bienfaiteur de l’humanité.
Et puis vous avez la réalité : la clique de tyrans dénués de scrupules, persécutrice des nations.
Alors que l’ancien président de la République Nicolas Sarkozy, a été placé en garde à vue, mardi 20 mars, dans le cadre de l’enquête sur le financement libyen présumé de sa campagne présidentielle victorieuse en 2007, Edwy Plenel, a expliqué, mardi sur franceinfo, qu’il s’agit pour les juges d’instruction de le confronter aux éléments rassemblés. « Ce ne sont pas de potentielles supputations, ce sont des faits », a déclaré le co-fondateur de Mediapart, qui avait révélé les premiers documents liés à cette affaire en 2011.
Les cinq années d’enquête ont permis aux juges d’instruction de reconstituer une partie du puzzle, « de plus en plus complet », selon Edwy Plenel, pour qui « oui, il y a bien eu une promesse de financement libyen la campagne présidentielle de 2007 de M. Sarkozy. Oui, il y a bien eu un début de versement ».
Selon Edwy Plenel, les juges d’instruction s’intéressent notamment à « l’élément nouveau » révélé dans cette enquête : « Ils ont trouvé qu’il y avait beaucoup de liquide qui a circulé pendant la campagne de 2007. » Cette affaire est une « histoire énorme, probablement le plus gros scandale politico-financier de la Ve République, d’un candidat à la présidence qui va être élu en étant soutenu et financé en partie par un dictateur », a lancé Edwy Plenel.
Le co-fondateur de Mediapart s’est ensuite interrogé sur l’intervention militaire française en Libye, en 2011. « Est-ce que lors de la guerre de 2011, M. Sarkozy a été plus loin que le mandat de l’ONU en renversant un régime et en faisant en sorte que le leader lui-même, M. Kadhafi soit assassiné ? Est-ce que cette guerre n’avait pas une dimension privée ? », s’est demandé Edwy Plenel, soulignant que cette guerre était « au cœur de nos troubles d’aujourd’hui, car tout l’arsenal libyen a été dispersé dans le Sahel, et ce sont les jihadistes qui en profitent ».
Le criminel de guerre juif Sarközy a bien sûr éliminé Kadhafi parce que ce dernier avait financé Nosferatu.
Faire affaire avec le juif, c’est faire affaire avec le Diable.
Et le Diable ment.
Il ment tout le temps, comme le juif.
Regardez l’aplomb du juif : il sort son plus beau violon, celui du ghetto et se met à pleurer plus fort que le plus musulman des imams de cette terre sur le « massacre de 8,000 musulmans ».
Si cela est connu de tous, il est toujours bon de demander au juif Lévy : « pourquoi ? ».
« Parce que je suis juif ».