Captain Harlock
Démocratie Participative
30 août 2021
Depuis 18 mois nous sommes entrés dans une réalité parallèle où toute notion de réalisme pratique a disparu.
Le ministre de la Santé Olivier Véran met au point des stratégies pour priver les gens de soins à l’entrée des hôpitaux, le ministre de l’Education Michel Blanquer met au point des stratégies pour exclure les élèves des établissements scolaires et la ministre du Travail Elisabeth Borne met au point des stratégies pour priver les travailleurs d’emploi.
Tout s’est inversé.
La valeur de l’argent telle qu’elle était comprise a disparu, tout comme les idées élémentaires qui gouvernaient traditionnellement l’économie.
Pour mettre en place cette nouvelle société covidiste, le gouvernement a décrété qu’il pouvait imprimer des centaines – puis à terme des milliers – de milliards d’euros et les déverser aux partisans du covidisme total.
Sans ce cash, la société serait déjà en révolution. Nous avons donc des secteurs en faillite qui continuent de fonctionner, comme le cinéma.
Interrogée sur les conséquences du pass sanitaire sur la fréquentation des lieux culturels et des cinémas, la ministre concède que « le secteur du cinéma est le plus impacté. Il y a eu suite à cette obligation du pass sanitaire une chute en moyenne d’environ 30% de la fréquentation dans les salles cinémas, avec néanmoins des films qui ont bien marché », comme Kaamelott ou OSS 117. Le film Titane, Palme d’or à Cannes, est quant à lui « un film moins facile, peut-être, qui n’a pas immédiatement trouvé son public. Mais on ne peut pas juger film par film ».
Kaamelott est un échec relatif. Il aurait pu faire 5 millions d’entrées dans un environnement normal compte tenu de l’attente de la fanbase autour du film et il se traîne à 2,5 millions d’entrées.
Mais au delà de ça, Kaamelott et OSS 117 sont devenus les deux franchises associées à la validation du cauchemar sanitaire. Vous avez ces machins à gags qui sortent alors que des juifs en blouses blanches piquent les enfants dans une ambiance lunaire et vous êtes censé rire.
Astier et Dujardin incarnent maintenant les cautions beaufisantes de l’animation culturelle juive au service de l’horreur sanitaire. Surtout Astier dont la prétention croit proportionnellement à la platitude de sa production. Ce mec a franchi son pic créatif il y a au moins une décennie et tout ce qu’il fait n’est plus qu’à contretemps. Il n’y a rien de pire que de se croire pertinent quand on ne parvient pas à s’extraire d’une époque révolue.
C’est comme quand NTM a essayé de faire du rap après la fin des années 90.
La valeur de ces gens est totalement découplée de ce qu’ils faisaient il y a 15 ans et dépend aujourd’hui de l’inflation de la nouvelle économie covidiste.
Comme le gouvernement a besoin de normaliser ce cauchemar, il soutient financièrement ces comiques pour faire croire que tout continue commavant.
Roselyne Bachelot assure suivre la situation des cinémas, assurant que l’Etat a « toujours soutenu le cinéma français pendant toute cette crise. Il y a déjà dans les mesures de soutien un milliard 200 millions d’euros qui ont été donnés« . La ministre rappelle que le masque reste conseillé dans les salles de cinéma, alors que le pass sanitaire est obligatoire, il s’agit là d’une « marge de liberté et de responsabilité ».
1,2 milliard d’euros pour le cinéma séfarade et tout ce petit monde hurle pour 50 millions de pertes.
On ne peut même pas savoir ce qu’est devenu ce milliard.
Pratiquement personne ne le sait.
C’est comme tous ces restaurateurs hurlant à la faillite qui ont accumulé des masses invraisemblables de cash grâce à l’argent gratuit qu’a fait pleuvoir sur eux Macron. Ils n’ont jamais fait autant de profits que depuis qu’ils sont fermés. Et plus ils font d’argent, plus ils geignent dans les médias. Mais rares sont ceux qui ont mis la clef sous la porte en près de deux ans de terrorisme sanitaire gouvernemental.
Une réunion avec notamment les acteurs du cinéma français est prévue lundi autour du ministre de l’Économie pour décider de la suite des aides. « On va faire du sur-mesure » selon les secteurs, prévoit Roselyne Bachelot, car « les mesures générales s’adaptaient à des structures culturelles qui étaient complètement fermées. Là, on est dans une période de reprise, dans un système où on s’adapte. Il y a des festivals qui ont très, très bien marché, d’autres moins ». Elle prend aussi l’exemple du spectacle vivant qui reprend dans les salles fermées : « Nous avons un panel de structures culturelles qui nous permet de suivre en temps réel l’évolution de la crise. »
Le projet covidiste repose intégralement sur l’impression monétaire juive via les banques centrales. Sans cet argent imaginaire créé par des mains juives, aucun « plan » de soutien n’aurait été possible en échange de l’adhésion de ces secteurs au programme de réduction en esclavage de la population.
L’effet apparent, c’est que tout semble tenir en dépit du dystopisme ambiant.
Cette impression d’argent imaginaire durera tant que la démocratie tiendra, c’est-à-dire tant que les politiciens achetés par les juifs avec leur argent imaginaire presseront les goyim comme des citrons pour rembourser cette dette imaginaire.
La réalité économique en tant que telle n’a plus d’importance. Les médias juifs ont remplacé la réalité par une illusion dans laquelle évoluent les goyim. Cette illusion est administrée au quotidien par des démocraties aux mains des juifs et la fonction de ces démocraties est de remplir les coffres des financiers juifs qui parviennent à faire croire aux goyim que cette hallucination est la réalité grâce à leurs médias.
Cette hallucination est parachevée par la pandémie mortelle de Cohen19 qui, comme l’argent juif, est une construction imaginaire.
Nous sommes entrés dans l’ère du mensonge juif intégral et comme toujours avec les juifs, ceux qui dénoncent leurs mensonges sont accusés de mentir.
VIDÉO – Vaccination obligatoire contre le coronavirus : « Ça peut venir à un moment », déclare Attal #LeGrandJury https://t.co/zB2oUI8cEC
— RTL Politique (@RTLPolitique) August 29, 2021
Tout peut s’arrêter si les goyim cessent de croire à la dette imaginaire, à l’holocauste imaginaire, à la pandémie imaginaire.
C’est comme allumer un bouton : « J’arrête de croire les juifs »
C’est exactement ce que les juifs redoutent : que les goyim cessent de les croire.
Sinon ils ne patrouilleraient pas dans les rues pour surveiller ce que les goyim croient.