Captain Harlock
Démocratie Participative
10 juillet 2021
Les médias juifs à 100% pour les coupeurs de route
Plus vite la démocratie sera abolie, plus vite nous pourrons régler la question raciale sans nous embarrasser de cette obscène farce que sont les tribunaux républicains.
Détenu depuis quatre ans et demi, il a toujours clamé son innocence. Bagui, le frère d’Adama Traoré, mort en 2016 lors de son interpellation par les gendarmes, a été acquitté, vendredi 9 juillet, par la cour d’assises du Val-d’Oise. Il était jugé pour son rôle présumé dans les émeutes urbaines qui avaient suivi la mort de son frère. Au terme de ce procès entamé le 21 juin, l’avocat général avait requis l’acquittement : « Je ne suis pas là pour faire des hypothèses, je n’ai pas de preuves. Et quand on n’a pas de preuves, on en tire les conséquences ».
Bagui Traoré faisait partie de cinq personnes jugées depuis le 21 juin à Pontoise pour des tirs d’armes à feu sur les forces de l’ordre à Persan et Beaumont-sur-Oise, au cours de violences urbaines particulièrement intenses les nuits qui ont suivi la mort de son frère, le 19 juillet 2016. Outre Bagui Traoré, son ex-compagne ainsi qu’un homme accusé d’avoir été l’un des tireurs ont été acquittés. Deux hommes ont été en revanche condamné à 12 ans de réclusion criminelle et huit ans d’emprisonnement dont un an avec sursis pour tentatives de meurtre sur des gendarmes.
En somme, les tueurs de ce gang de nègres seront libres d’ici quelques années.
Je connais des gens qui ont pris des peines bien plus lourdes par des magistrats autrement moins regardants « pour les pièces du dossier » dès lors qu’on avait mal parlé de ces nègres.
Les robes noires ne sont pointilleuses que lorsqu’il s’agit de prêter main forte à ces sous-races qui nous colonisent.
« La justice ne peut pas se passer de preuves, or c’est ce qu’il s’est passé dans le cas de Bagui Traoré », a déclaré le président de la cour Marc Trévidic en lisant la motivation du verdict, prononcé après une trentaine d’heures de délibération dans ce dossier « hors normes » aux 13 000 pièces cotées et quelque 90 parties civiles.
Ce Breton Trevidic est un évêque de gauche dans ce qu’il y a de plus répugnant.
La même gueule de diarrhéique que les pires faux jetons du cléricalisme de jadis.
A Kerguelen !
L’ancien juge antiterroriste a eu des mots particulièrement durs pour l’enquête de police qui a désigné Bagui Traoré comme tireur ou donneur d’ordres lors des émeutes et a abouti, au terme de cinq ans de procédure, à son renvoi devant les assises. « Personne, ni dans la procédure ni à l’audience, n’a indiqué l’avoir vu tirer sur des forces de l’ordre ou même s’être tenu à proximité d’un tireur. De même, personne ne l’a entendu donner des consignes ou avoir fourni une arme à feu, a-t-il détaillé. L’enquête en était restée aux simples hypothèses et un débat sur de simples hypothèses a certainement sa place dans un bureau d’enquêteurs mais pas devant une cour d’assises« .
Dans une guerre raciale, les hypothèses suffisent.
Je n’ai pas besoin de voir des milliers de pièces pour savoir qu’un sale nègre est un sale nègre et qu’un état digne de ce nom doit faire tomber la plus dure répression sur tout ce qui ressemble à un nègre à 30 kilomètres à la ronde autour de Beaumont-sur-Oise.
Quand il s’agissait de fusiller 20,000 communards pour garantir sa survie, cette république n’a pas hésité.
Nous devons réapprendre à être durs et impitoyables avec l’ennemi et ne réserver notre bienveillance qu’à ceux de notre peuple.
Dans une guerre raciale, la riposte est collective et indiscriminée. C’est la seule chose que le cerveau primitif d’un nègre peut comprendre. Une justice individuelle n’est légitime qu’au sein du groupe racial blanc où les individus sont génétiquement régis par une norme morale commune dont ils comprennent les buts de civilisation.
Ces animaux ne comprennent que la force la plus brutale.
Ces magistrats bourgeois décadents et leur prétention à parader moralement au beau milieu d’une invasion apocalyptique doivent être écartés de tous les tribunaux. Ce qu’il faut, ce sont des révolutionnaires qui n’ont qu’un principe : éradiquer l’ennemi racial sans faire de détails.
Nous n’avons pas besoin de juges, nous avons besoin de bourreaux.
Dans ses plaidoiries mercredi, la défense de Bagui Traoré a pour sa part fustigé un « naufrage » de l’institution judiciaire et accusé les enquêteurs de l’avoir ciblé pour « faire diversion » à la mort de son frère Adama. Un drame toujours en cours d’instruction et dont l’ombre a hanté tout le procès.
« Mon frère est fatigué, mon frère a crié pendant cinq ans. Aujourd’hui mon frère est libre », a déclaré Assa Traoré à la presse sur les marches du tribunal de Pontoise, quelques minutes après le prononcé du verdict. « Cette décision est bonne mais nous avons besoin d’avoir une confiance totale en la justice, donc le chemin n’est pas encore fini », a ajouté la militante, en référence à l’instruction toujours en cours sur les circonstances de la mort d’Adama et dont elle a fait le combat de sa vie.
Le combat de ma vie, c’est de nettoyer ethniquement avant que nos enfants soient nettoyés ethniquement.
Les chances sont de mon côté.