Le Coronavirus est exactement ce dont nous avions besoin

Captain Harlock
Démocratie Participative
12 Mars 2020

Le principal impact du Coronavirus n’est pas sanitaire mais systémique.

Et c’est un don de la Providence.

Médicalement

J’ai assez parlé ici de la pyramide de Ponzi des retraites qui justifie actuellement, aux yeux du système financier et politique, le remplacement de la population blanche à grande échelle.

Je ne crois pas du tout que ce virus soit suffisamment puissant pour tuer des millions de vieux en France. Mais parlons sans détour : ce serait un énorme soulagement. Nous avons actuellement des Boomers en retraite qui votent en masse et qui, avec le vote immigré, font systématiquement perdre la classe blanche active.

C’est une guerre d’anéantissement biologique, à la fois générationnelle et raciale, qui ne dit pas son nom parce que tous les médias juifs en cachent sa véritable nature.

Et le nombre de retraités ne fait que croître indéfiniment et c’est censé continuer ainsi jusqu’en 2070.

Ce n’est pas viable.

Ces Boomers sont un drain phénoménal et sans précédent. Ils comptent vivre encore 25 ou 30 ans aux frais de la Sécurité Sociale, c’est-à-dire aux frais des jeunes travailleurs blancs submergés par les métèques.

Il faut regarder les choses froidement : une nation qui se soucie plus de ses vieillards que de ses jeunes n’a pas d’avenir.

Or, c’est exactement ce qui se passe : pour sauver les pensions des vieux, le système importe massivement l’Afrique et le Moyen-Orient dans le monde occidental. Peu importe les conséquences à long terme.

Nous sommes censés subir une augmentation de +50% du nombre de retraités d’ici 10 ans. Sans parler des migrants et des Français de la CAF.

Médicalement, si ce virus devenait réellement létal, ce serait – partiellement – libérateur. Si demain 5 ou 10 millions de ces parasites, qui ont sciemment détruit leur pays et la vie de leurs descendants pour s’éclater, étaient soudainement vaporisés par ce virus, ce serait la meilleure chose qui puisse arriver.

Mais ça n’arrivera pas.

Systémiquement

En fait, là où ce virus devient réellement dangereux pour le système, c’est par la panique qu’il a entraîné avec une cascade de mesures de restriction.

Jusqu’ici, nous avions pour l’essentiel une populace dégénérée, accoutumée au confort, au gras et à l’absence de lutte pour survivre.

Livrée à ses pulsions par la société juive de consommation, elle semblait se rouler toujours plus dans sa fange.

Nous avions des larves qui se déguisaient en Schtroumpfs pendant que l’Asie islamique essayait d’envahir l’Europe par la Grèce.

Tandis que des pétasses se lamentaient de ne pas pouvoir voir une des créatures du show-biz que nous imposent les juifs.

Et puis soudain, tout est suspendu.

Le dîner du CRIF.

Des ministres et des députés dans leur palais se retrouvent soudainement isolés comme des pestiférés.

Les magasins sont dévalisés.

Les états balancent le sans-frontiérisme à la vitesse de l’éclair de peur de traverser de sanglantes révolutions nationalistes.

Même les élections, pilier de l’escroquerie démocratique, sont en jeu.

Cette société putréfiée se désarticule en quelques semaines.

Ce qui compte, ce n’est pas de sauver les gens mais de sauver ceux qui en valent la peine. La France – et le monde – est trop peuplée. Elle se porterait mieux avec 30 millions d’habitants.

Si ce système suivait tranquillement son cours encore 50 ans, notre civilisation finirait dans une flaque marron sous les rires du juif.

La masse des gens, contrairement à ce que prétend la démagogie de gauche, est déterminée par le plus petit dénominateur commun : l’égoïsme matérialiste et le m’enfoutisme.

La souffrance est ce qui grandit un peuple.

En vérité, il nous faudrait dix solides épidémies dévastatrices et une guerre civile pour commencer à remettre un peu de plomb dans le crâne de la basse humanité qui a remplacé nos ancêtres. Elle a la vie trop douce et trop facile, elle en est totalement pourrie, orgueilleuse, vaine.

Entre Godefroi de Bouillon et ses guerriers mangeurs de gruau qui conquièrent Jérusalem à pieds et ces sales faces de sodomites camés, un univers.

Ce bastringue afro-sémitisé doit disparaître et avec lui tout ce ramassis d’abrutis du tertiaire qui voient le monde par leurs vacances au ski et leur festival de reggae annuel.

Toutes ces poufs blanches et leurs ateliers de danse africaine.

Bref, toute cette lie devrait finir soit dans une fosse soit dans un camp de travail en régime sévère.

Donc, pas d’humanitarisme ici, pas de pathos. Pas de gémissements sur le sort des vieux. Ni sur celui des jeunes. Une bonne vraie leçon de vie, la plus saignante possible, pour dérouiller cette graisse Netflix, ces métis homosexuels.

Retrouver le sens de la présence de la mort pour agir.

La raison fondamentale de la vie, c’est le combat.

La paix est une maladie qui mène à la mort.

Le Créateur n’a pas fait surgir ces virus et ces bactéries par fantaisie mais bien pour purger l’organisme vivant de ses êtres les plus faibles et régénérer l’homme en permanence.

Au reste, vous avez au moins une liste de dix personnes en tête que vous aimeriez voir crever du Coronavirus.