Le conspirateur hébraïque Sarközy annonce à la synagogue de Marseille son intention de tout faire pour maintenir la domination juive sur la France

Captain Harlock
Démocratie Participative
18 septembre 2018

La constante avec les rats, c’est que vous les chassez par la porte et ils reviennent par les égouts.

Le Figaro :

L’ancien chef de l’État a prononcé un discours ce lundi, devant plusieurs centaines de fidèles réunis dans la grande synagogue de Marseille, à l’invitation du Consistoire israélite de la ville.

À la veille de Yom Kippour, Nicolas Sarkozy a répondu à l’invitation du Consistoire israélite de Marseille. «Nous l’avons invité il y a quatre mois environ, il est un grand ami de notre communauté, explique au Figaro, Michel Cohen-Tenoudji, président du consistoire. C’est pour nous un honneur de l’avoir et un grand message d’amitié».

En d’autres termes, le juif Sarközy est de retour et ce retour a pour première étape, incontournable, de réitérer son appartenance au Kahal.

L’amitié, c’est assurément le fil rouge du discours de l’ancien chef de l’État prononcé ce lundi, devant plusieurs centaines de fidèles réunis dans la grande synagogue de Marseille. Rappelant comme il l’avait fait il y a sept ans, lors du discours annuel du Crif «la part juive de l’identité nationale», Nicolas Sarkozy a célébré dès le début de son discours les «racines chrétiennes et les racines juives» de la France. «La France doit être fière de ses racines», a-t-il appuyé, chaleureusement applaudi par la communauté.

Les racines chrétiennes, goy.

Aujourd’hui, cette histoire de « racines chrétiennes » en Europe est systématiquement utilisée par les juifs pour caporaliser les quelques églises qui existent, ici et là.

Tous les politiciens qui agitent encore la religion comme argument politique brandissent la croix pour mieux légitimer leur allégeance, au moins formelle, à la juiverie au nom de ce concept bancal de « judéo-christianisme ».

On peut même dire que, dans 95% des cas, les Chrétiens de ces églises, protestantes ou catholiques, sont les esprits les plus zombifiés par les juifs. Il n’est pour ainsi dire plus une seule église chrétienne en Europe de l’Ouest qui n’ait pas son rabbin officiel pour superviser ses activités.

Une manière d’aborder la question de la laïcité – «si mal comprise et si mal interprétée» – et de rappeler sa conception. «La laïcité, ce n’est pas une punition, ce n’est pas une interdiction, c’est la reconnaissance d’un droit pour chacun d’entre nous de croire ou de ne pas croire. Et si on croit, le droit de transmettre à ses enfants la religion que l’on tient de ses parents.

« La laïcité, c’est la reconnaissance d’une liberté», a-t-il détaillé. «Les religions ne sont pas l’ennemi de la République», a insisté Nicolas Sarkozy. «L’ennemi de la République c’est le fanatisme ; les ennemis de la République ce sont les fanatiques», a-t-il développé en rendant hommage aux représentants des autres cultes présents pour cette cérémonie de vœux.

Sarközy a échoué à revenir en 2017. Il est déterminé à réussir en 2022 et il est venu expliquer son projet : la société multiraciale sous clef juive qui veille à tenir en respect les islamistes les plus remuants.

Pour Nicolas Sarkozy, les juifs de France n’ont d’ailleurs pas «à choisir entre les deux». «Aimer Israël et rester en France, voilà ce que nous vous proposons», a-t-il expliqué implorant les juifs de France à ne pas quitter l’Hexagone.

L’ancien chef de l’État a aussi encouragé «chaque juif de la diaspora» à contribuer à la paix au Proche-Orient et «à aider Israël». «Vous avez une responsabilité», a-t-il martelé, «celle d’aider sur le chemin de la paix». Soulignant que «la sécurité d’Israël était consubstantielle à l’équilibre du monde», Nicolas Sarkozy a aussi appelé à créer «les conditions pour les Palestiniens d’un État palestinien en paix». «Qui mieux que vous qui avez lutté pour avoir cette terre, l’État hébreu, qui mieux que les Juifs de France, qui mieux que vous peut le comprendre?», a-t-il interrogé, en soulignant qu’il était venu parler en «ami».

Ha !

Voilà qui clarifie un peu les choses.

Ces fameux « Français » qui ont la « responsabilité » de lutter, depuis la France, « pour avoir cette terre, l’Etat hébreu ».

Une préoccupation éminemment française, en effet.

Notez que partout les juifs se considèrent comme seuls légitimes à régner. Ils peuvent ainsi dire, comme dans la vidéo ci-dessus, que le Proche-Orient sans la juiverie « ne serait plus le Proche-Orient » comme ils affirment sans cesse que la France, « sans les juifs », ne serait plus la France.

Naturellement, c’est exactement l’inverse : quand la France, l’Europe et le Proche-Orient auront été libérés des juifs, ils redeviendront ce qu’ils avaient toujours été.

Mais la voracité de ces juifs ne se connaît pas de limite.

Ce juif Sarközy nous apprend en outre que le maintien de la colonie de Palestine, d’une superficie équivalente à celle de la Normandie où vivotent 6 millions de juifs, détermine « l’équilibre du monde ».

Mais si d’aventure, nous disons que ces juifs veulent effectivement contrôler l’équilibre du monde, ils vocifèrent des insultes et des menaces.

L’arrogance délirante de ces juifs s’exhibe désormais outrageusement, présentant cette pornographie sémitique comme la manifestation la plus pure du patriotisme français.

À l’issue de son discours, Nicolas Sarkozy a encouragé les juifs de Marseille et au travers d’eux les juifs de France, à être «fiers» de ce qu’ils sont. «Soyez fiers de ce que vous êtes, soyez fiers de votre culture, soyez fiers de votre culte, soyez fiers de porter une kippa dans la rue», a-t-il développé alors que les fidèles se levaient pour l’applaudir chaleureusement. «Soyez fiers de votre histoire», a-t-il ajouté avant de conclure: «Je suis fier d’être votre ami. Vous n’êtes pas seuls, vous ne serez jamais seuls. Vous êtes au cœur de l’identité française».

La juiverie a, d’après le juif Sarközy, le privilège d’avoir un quartier général en Palestine tout en continuant de revendiquer un droit de propriété intégral sur la France. France dont l’identité, avec le bacille juif en son centre, serait, bien sûr, irrémédiablement sémitisée par les soins des nouveaux maîtres du pays.

C’est-à-dire abatardie jusqu’à ne plus pouvoir se posséder.

Rappelons-nous le témoignage de Patrick Buisson dans son ouvrage « La cause du peuple » au sujet des considérations relatives au « vieux sang pourri » des Français de race que formulait Carla Bruni, putain des juifs.

Cette pourriture hébraïque se roulant dans la pire proximité sexuelle tribale, s’échangeant femmes et filles dans un perpétuel circuit fermé à l’instar de la traînée Bruni, tonne, dans sa haine sourde, frénétique et obsédante, face à la permanence de la plèbe aryenne de Gaule.

Cet instinct de conservation de la paysannerie gauloise ne dit rien qui vaille à ces juifs qui y voient la base potentielle d’une révolution contre l’exploitation juive internationale.

Si la plèbe française zombifiée ne comprend pas les réalités raciales, le juif, lui, ne connaît que trop bien leur mécanique et mène en conséquence une guerre d’anéantissement biologique à tous les peuples ayant laissé cet ennemi de l’humanité pénétrer en leur sein.

Ce juif conspire

Pour en revenir au petit youtre Sarközy, celui-là voit, et les juifs avec lui, dans le jeu opportuniste de Wauquiez un précédent dangereux. Wauquiez, étant de race française, n’offrira jamais aux juifs toutes les garanties qu’ils attendent. C’est-à-dire, de combattre la plèbe blanche, quitte à perdre au profit d’un autre parti juif, celui de Macron.

Un Français pourra toujours, à un moment ou à un autre, même par accident, accepter de discuter avec des nationalistes si cela peut l’aider politiquement.

Jamais un de ces juifs.

Sarközy, en venant s’agiter dans sa synagogue marseillaise, répond précisément à cet appel : il ressort ce verbiage hébraïque sur la « laïcité » pour circonvenir la masse de la bourgeoisie enjuivée encartée dans ce parti tout en s’assurant qu’aucune jonction ne soit faite avec l’électorat populiste et raciste.

Le tout dûment diffusé par le journal juif Le Figaro qui sert de référence au barnum gaulliste.

BFMTV :

Selon nos informations, il en profitera pour déjeuner avec le président du Conseil régional de Provence-Alpes-Côte d’Azur, Renaud Muselier. S’il peut paraître logique pour Nicolas Sarkozy de s’asseoir à la table d’un responsable politique de premier plan, de surcroît encarté au même parti que lui, on note que Renaud Muselier est un proche de Valérie Pécresse, Christian Estrosi et Xavier Bertrand… pas tout à fait les meilleurs amis de l’actuel président des Républicains, Laurent Wauquiez.

De toute façon, c’est bien simple, selon cet ami de Nicolas Sarkozy, « ils viennent tous le voir ». Et ce « ils » inclue notamment les ministres « qui ont basculé », c’est-à-dire ces transfuges « Les Républicains » au sein du gouvernement.

« Son carnet de bal est à jour: les nouveaux gouvernants, il les connait », continue son fidèle partisan. « Il est posé, il est différent, il n’intrigue pas pour revenir », dit son ami mais « on ne sait jamais ce qui peut arriver en politique, un politique c’est jamais fini. (…) Il est comme le Bordeaux: il vieillit très bien. C’est un sage, pas un sage retraité ».

Sarközy mise sur l’usure de Macron mais, au delà, prépare la destruction de Wauquiez après les Européennes de 2019. Paralysé par sa direction judéo-centriste, avec ses Pécresse et Bertrand, le parti gaulliste ne pourra qu’arriver derrière l’ex-FN, aussi médiocre soit-il avec l’alcoolo-tabagique à sa tête.

Ce sera le prétexte pour purger Wauquiez et tout ce qui, contrairement aux ordres des juifs, auront envisagé, même à demi-mots, de se coaliser avec Marine Le Pen et Dupont-Aignan.

Le judéo-bolchevisme veille toujours à éradiquer toute direction politique indigène dans le pays où il opère. Sarközy a d’abord pour mission de sécuriser la domination juive sur l’aile droite du spectre politique.