Captain Harlock
Démocratie Participative
09 septembre 2020
Plus le temps passe et plus je réalise à quel point nous, fascistes, sommes les derniers vrais défenseurs de la liberté. Nous n’envisageons même pas d’interdire aux gens le centième de ce que les juifs et les démocrates nous interdisent quotidiennement avec une insolence à peine croyable.
Nous sommes une nouvelle fois la cible du harcèlement combiné du parti macroniste et du conglomérat médiatique juif. Tous les médias du milliardaire israélien Patrick Drahi se déchaînent contre nous depuis hier.
Sur demande du député Eric Bothorel (LREM), Google France a décidé de supprimer de ses résultats de recherche la nouvelle adresse internet du site d’extrême droite Démocratie participative, spécialiste de l’outrance raciste et des attaques ordurières contre des personnalités publiques. Mais pas sûr que cela soit suffisant.
Google France vient de décider de déréférencer de son moteur de recherche le site raciste – sans doute l’un des plus abjects de l’Internet francophone – et très influent dans la fachosphère Démocratie participative. Les mots-clés correspondant ne renvoyaient plus vers le site ce mardi.
Ma foi, on ne prête qu’aux riches, j’imagine.
Démocratie participative est un site qui se proclame ouvertement raciste, antisémite et homophobe. Sa violence n’a que peu d’équivalences même dans les sphères haineuses les plus virulentes, au point que ses outrances lui ont déjà valu d’être interdit d’accès en France par une décision du tribunal de grande instance (TGI) de Paris rendue en novembre 2018 suite, fait rare, à une demande du parquet. Les opérateurs internet avaient alors été contraints à rendre impossible la connexion à «tout site comportant le nom democratieparticipative.biz».
Ces plumitifs salariés par l’oligarque juif Drahi ont décidément toutes les audaces. Déjà parce que la rédaction de Libération qui se déchaîne contre nous et notre racisme est d’un blanc immaculé. Il y a littéralement plus d’allogènes au RN que dans ce journal.
Photo de gauche: un article de Libération.
Photo de droite: la rédaction de Libération.Délicieux. pic.twitter.com/rEGGAr6Rga
— Antoine Lévèque (@Antoine_Lvq) September 23, 2016
L’antiracisme que professent ces bourgeois au visage pâle n’est qu’un instrument de suprématie morale et culturelle conçu pour justifier leur domination politique sur le prolétariat blanc avec son train de mesures coercitives. Ce sont des loups déguisés en moutons.
Du haut d’un pays criblé de dettes, submergé démographiquement par le tiers-monde, rongé par l’islamisme et qui se trouve au beau milieu de la plus grave crise économique de l’histoire, ces journalistes trouvent encore le moyen de protester contre le fait que des petits Blancs refusent de subir en silence ce déchaînement de violence de la part du système juif. Et comble de l’arrogance, ils accusent les victimes de « violence sans équivalence ».
J’ai certainement des souvenirs de violences autrement plus réelles que ces fadaises sémitiques.
Tous ces juifs – car dans cette affaire, les journalistes ne sont que les marionnettes du ventriloque juif – ont effectivement tenté de censurer notre site. Techniquement parlant, il l’a d’ailleurs été avec une brutalité et un fanatisme sans équivalent dans l’histoire de France. Jamais l’Etat Français n’avait employé autant de moyens pour écraser un média indépendant, en toute illégalité. Car cette censure n’a pas le moindre début de légalité constitutionnelle. En 2018, outre la totalité des pseudopodes de la juiverie organisée, la charge était menée au tribunal par l’ancien premier ministre Bernard Cazeneuve en personne, moins de 6 mois après son départ de Matignon.
Deux ans plus tard, ces juifs constatent qu’on ne peut pas censurer l’internet, ce qui les plonge dans un état de prostration complet. D’où ces attaques renouvelées contre la liberté d’expression à travers Democratie Participative.
La plateforme attribuée au néonazi Boris Le Lay, qui s’est expatrié au Japon pour fuir la justice française, a pourtant rapidement trouvé la parade en changeant son nom de domaine. Une opération réitérée plus d’une demi-douzaine de fois (avec des variantes comme «.me» ou encore «.club») pour contourner la chasse menée contre le site.
« Chasse » est effectivement le bon terme. En France, les gens sont pourchassés s’ils expriment leurs opinions.
Le déréférencement de ce mardi est une nouvelle étape pour rendre effective la décision du TGI de Paris, mais qui ne vaut donc pas blocage définitif. Nouvelle parade : depuis quelque temps, le site renvoie systématiquement vers le forum «Europe Ecologie les Bruns», qui n’en est en réalité qu’une extension comme Libération l’a démontré en mai dernier. Un espace de discussion tout aussi ordurier que la plateforme originale.
Ces gens qui se revendiquent sans cesse de Charlie Hebdo n’aime pas trop l’ironie quand ils en deviennent l’objet. C’est ce qu’ils sous-entendent avec l’emploi récurrent du mot « ordurier » : ils n’aiment pas être critiqués. Habitués à faire les procès des autres en sorcellerie, ils découvrent avec horreur qu’ils peuvent aussi se faire traîner dans la merde quotidiennement.
Surpris par cette nouvelle réalité, ces « esprits voltairiens » élaborent des plans pour faire taire ceux qui ne rentrent pas dans le rang.
#JeSuisCharlie
Et y a pas de « mais » … https://t.co/xcrAkUMmSg— eric bothorel ⌨️ (@ebothorel) September 1, 2020
« Le site raciste Démocratie participative déréférencé par Google »
Je remercie celles et ceux qui ont oeuvré à ce résultat. Partiel ( il manque l’espace Forum).
Le reste (blocage FAI), il appartiendra à la justice de le dire, le moment venu.https://t.co/zQ7W27UtR5 via @libe— eric bothorel ⌨️ (@ebothorel) September 8, 2020
Ils ne tolèrent pas davantage que des jeunes rebelles blancs puissent échanger sur un forum comme Europe Ecologie Les Bruns.
Ce double langage est typique du néo-soviétisme dont le parti macroniste est le masque.
Je suppose que ces journalistes auraient pu éviter cette spirale dont ils se plaignent en ne se comportant pas comme les chiens enragés des juifs jusqu’au point de célébrer la persécution de leurs propres compatriotes. Mais à quoi pourraient bien servir des journalistes en démocratie s’ils n’étaient pas les chiens fous de la juiverie ? Poser la question, c’est y répondre.
Nombre de personnalités de tous bords ont été victimes de Démocratie participative, autoproclamé «site des jeunes blancs décomplexés» où se côtoient apologie du IIIe Reich, séparatisme d’extrême droite, fantasmes de guerre raciale et plus globalement le racialisme, l’antisémitisme, et la lgbt-phobie les plus crasses.
Que voulez-vous que nous disions du Troisième Reich, cette tentative héroïque de libérer l’Europe de la mort raciale qui, si elle avait été victorieuse, nous aurait offert un monde dont nous ne pouvons plus que rêver aujourd’hui, ensevelis que nous sommes sous les décombres de nos nations ?
N’importe quelle personne honnête intellectuellement ne peut parvenir qu’à une seule et unique conclusion : Adolf Hitler n’a vraiment rien fait de mal. Nous n’allons tout de même pas cracher ici sur le Saint Jean Baptiste du monde européen pour complaire à ces démons à forme humaine que sont les juifs.
Comme le Christ, Adolf Hitler est mort en martyr des juifs au terme d’une lutte sans équivalent dans l’histoire qui inspirera de nombreuses générations à venir. Personnellement, je pense souvent à l’Homme avec émotion. J’aborde fréquemment les différents problèmes en me demandant comment il aurait approché les choses. Si les musulmans ont le droit de le faire en se référant à Mahomet, je ne vois pas pourquoi nous ne pourrions pas le faire en nous référant à Adolf Hitler. D’autant qu’Adolf Hitler était un rationaliste aux antipodes de toute forme d’obscurantisme ou de fanatisme. J’estime à cet égard que nous sommes privés de notre droit à la liberté de conscience, énième basse attaque des juifs contre nos libertés.
Récemment, le site publiait par exemple des attaques contre le «journal juif Charlie hebdo», dont le procès de l’attentat vient de s’ouvrir, ou se félicitait de l’agression à Nice de «terroristes antifas» (en réalité des syndicalistes étudiants de gauche) par des militants d’extrême droite radicale (qualifiés de «gentlemen»).
Je l’avais déjà dit mais je suis heureux que ces gens l’avouent : la thématique « anti-séparatiste » n’est qu’une façon déguisée de la part du régime d’occupation de criminaliser les millions de Blancs qui refusent de devenir minoritaires en France, cernés de soudanais et d’afghans haineux sous le regard satisfait des hébreux du CRIF. Tous ceux qui croient que cette entreprise vise les musulmans feraient bien de rapidement revenir sur terre.
La République, parce qu’elle est indivisible, n’admet aucune aventure séparatiste. pic.twitter.com/Vd8OQkGOO3
— Emmanuel Macron (@EmmanuelMacron) September 4, 2020
Par ailleurs, comment sommes-nous censés décrire Charlie Hebdo dont le mentor est désormais un intervenant régulier de la chaîne israélienne I24, également propriété de Patrick Drahi ?
« @manuelvalls n’a jamais brandi de glaive, il a juste rappelé la loi, il a juste rappelé comment marchait le vivre-ensemble » Philippe Val dans #Conversations pic.twitter.com/h3CCvj66xm
— i24NEWS Français (@i24NEWS_FR) May 29, 2018
Danièle Obono représentée en esclave dans Valeurs Actuelles: « Ce n’est pas malin car on en fait une héroïne française alors qu’elle a tenu des propos indéfendables » Philippe Val, dans Conversations avec @BPetrover pic.twitter.com/mCGx3QRWfS
— i24NEWS Français (@i24NEWS_FR) August 31, 2020
#PARISJAFFA
« le peuple israélien réagit avec décence depuis tant d’années face aux attentats terroristes » Philippe Val ex #CharlieHebdo pic.twitter.com/LZ4JTepGFC— i24NEWS Français (@i24NEWS_FR) January 9, 2017
Nous n’allons quand même pas dire de Charlie Hebdo qu’il est une publication champenoise au motif que le cartel médiatique aux mains du milliardaire juif Drahi s’en offusque.
C’est ici que la liberté est intrinsèquement un combat antisémite : jamais le juif ne peut voisiner avec des Aryens libres. C’est ce qui explique la nature destructive et parasitaire du juif. Pour survivre en tant que corps étranger dans une société, il doit réduire en esclavage le peuple qu’il entend exploiter grâce à son arme de prédilection : le mensonge. C’est par le mensonge qu’il enchaîne les goyim. Le mensonge permet au juif de plonger les goyim dans la confusion, ces derniers ne sachant plus qui ils sont ni quels sont leurs véritables intérêts. C’est dans cette ambiance de guerre fratricide qu’il alimente sans cesse que le juif est à son aise pour régner en maître. Soustraire le juif de l’équation, c’est ramener instantanément la concorde et la confiance publiques au sein d’une société. Je l’ai déjà expliqué par le passé, l’antisémitisme n’a rien de politique. C’est une mesure d’hygiène élémentaire. L’antisémitisme est aussi élémentaire que de se laver régulièrement les mains. En consultant Democratie Participative, c’est ce que font nos lecteurs : ils se lavent les mains pour se prémunir de la pandémie du sémitisme. Quoi de plus normal que de voir le virus juif protester contre une pédagogie qui enseigne l’hygiène qu’il redoute tant ?
Imaginez à présent si au lieu du juif Drahi, c’était nous qui contrôlions BFMTV. Je sais qu’en démocratie imaginer un média contrôlé autrement que par des juifs est difficile, mais essayez tout de même. En moins d’un mois, l’ambiance changerait du tout au tout en France avec des conséquences terribles pour les forces diaboliques qui sont actuellement à l’oeuvre contre le peuple. Il faudrait retenir avec grande difficulté les masses pour qu’elles ne réclament pas vengeance.
Contacté, le député LREM Eric Bothorel, qui s’est mobilisé pour faire intervenir Google France et qui a lui aussi été pris pour cible par ce site, explique avoir agi par conviction. «Je me suis toujours engagé contre la diffusion des discours de haine, dit-il. C’est une longue et difficile lutte, sans cesse renouvelée, mais qui doit être menée».
Ce laquais de la juiverie, qui apparemment est rien moins que vice-président de la Commission de l’Assemblée Nationale pour le numérique, devrait commencer par maîtriser un clavier. Notre média est censuré depuis tout le temps par Google, Facebook et Twitter.
Nous n’avons jamais compté sur Google ou sur les réseaux sociaux pour construire notre lectorat. Nous préférons la vérité. Le juif, roi du mensonge, a du mal à comprendre que la vérité puisse avoir une valeur quelconque. Pourtant, tout comme le mensonge est le fondement de tout média hébraïque, la vérité est le fondement de tout média aryen. Si vous voulez nous aider dans cette entreprise, n’hésitez pas à nous soutenir en nous envoyant quelques shekels.