Captain Harlock
Démocratie Participative
22 mars 2021
Les carnavals sont désormais des crimes contre l’Etat. Vous voilà prévenus, sales goyim.
Environ 6.500 personnes célébraient dimanche le carnaval dans le centre de Marseille, un rassemblement non autorisé et « pas responsable » car les gestes barrière pour lutter contre le coronavirus « ne sont pas respectés », a déploré la préfecture de police.https://t.co/70NYdh13MS pic.twitter.com/QhyKtdx9Et
— France 3 Provence (@France3Provence) March 21, 2021
Carnaval de la Plaine à Marseille, les forces de l’ordre sont intervenues sur le Vieux-Port pour disperser les festivaliers.
Environ 6.500 personnes ont participé à ce rassemblement non autorisé en raison de l’épidémie de Covid-19.https://t.co/70NYdh13MS pic.twitter.com/mVtDvnvmWr
— France 3 Provence (@France3Provence) March 21, 2021
❌ Ni déclaration en préfecture, ni masques, ni distanciation physique. Irresponsabilité totale des participants au carnaval de #LaPlaine à #Marseille en pleine crise sanitaire.
— Préfète de police des Bouches-du-Rhône (@prefpolice13) March 21, 2021
Le carnaval est une tradition blanche, les arabes y sont totalement étrangers. Sur les images, on voit essentiellement des Blancs.
Le carnaval remonte à l’antiquité européenne où le retour du chaos refondateur est ritualisé tous les ans.
Traditionnellement, les hiérarchies sont abolies et les puissants moqués.
Cette soupape était nécessaire pour éviter que les masses ne se révoltent réellement. Dans un système juif cependant, la dérision n’est pas tolérée car les juifs prennent toute forme de critique ou de moquerie comme le signe d’une rébellion générale contre leur exploitation.
Dans un système juif, un carnaval est écrasé par la force.
La République juive est désormais en guerre contre l’anthropologie même de la France, que ce soit en bouleversant son peuplement ou supprimant les expressions culturelles millénaires.
Il y a deux camps à présent : les zombies reprogrammés par la dictature sanitaire et les gens qui ont encore une âme. Les gens qui ont encore une âme organisent des carnavals sauvages pour défier l’ordre établi.