Le canal Telegram « Français Deter » qui organisait des « ratonnades » infiltré par des Musulmans, les identités des participants données à la presse juive

La rédaction
Démocratie Participative
03 avril 2023

 

Quelle riche idée de :

1/ Utiliser Telegram

2/ Rejoindre un canal RadiKal

3/ Parler de flingues et organiser des ratonnades

4/ Donner toutes les infos personnelles nécessaires pour se faire remonter en 10 minutes

Vous allez avoir mal à la tête.

Ce réseau était à l’évidence infiltré par la DGSI. Quelques flics doivent être particulièrement frustrés de voir l’opération qu’ils préparaient tomber à l’eau à cause de bicots trop bavards.

La police laissait ce groupe gagner en confiance, comme les flics le font toujours, pour qu’il morde clairement la ligne rouge. L’attaque prévue contre une mosquée, le 13 avril, correspondait parfaitement à ça. Personne ne sait d’ailleurs s’il ne s’agissait pas d’un provocateur payé par les flics.

C’est toujours la même chose. Un ministre de l’Intérieur a besoin d’avoir sous la main une liste de types à faire arrêter dans les 48 heures pour donner l’impression de faire quelque chose à propos d’un thème donné. Ses conseillers en communication décident quand c’est opportun. Les flics alimentent donc constamment son bureau avec des cibles susceptibles de remplir cette fonction.

Maintenant que tout est éventé, une action de police générale n’aurait pas le même impact médiatique. S’il y avait des descentes de flics, cela donnerait l’impression que ce sont les Musulmans qui étaient à l’initiative et que le ministère de l’Intérieur se contente de suivre péniblement.

Le plus probable est que le ministère va laisser le truc mourir et se limiter à quelques arrestations isolées.

C’est assez mystérieux de voir les gens persister à utiliser des plateformes aussi compromises que Telegram, c’est encore plus mystérieux de les voir y organiser en clair des actions violentes contre des allogènes. Surtout selon un schéma pyramidal.

Il y a des gens très fâchés contre l’anonymat, la décentralisation et la prudence.

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