Captain Harlock
Démocratie Participative
10 octobre 2018
Je ne voulais pas en parler parce que rien que de devoir mobiliser de l’énergie vitale pour parler des lunettes de Marine Le Pen me fait vieillir de 6 mois en une heure.
Mais je ne fixe pas l’actualité.
Les lunettes de Marine Le Pen étaient donc à Rome. Avec Marine Le Pen.
Honnêtement, je n’ai même pas regardé les extraits de cette conférence. Ce que peut dire cette horrible bonne femme n’a aucune espèce d’intérêt.
C’est un zombie.
Du point de Salvini, cette mise en scène est compréhensible. Il joue à un tout autre niveau. La finance juive internationale tente de l’abattre par tous les moyens et Macron a fait de sa confrontation avec le futur Empereur d’Italie l’alpha et l’omega de sa politique européenne.
Salvini doit donc rechercher des caisses de résonance, surtout en France, pour peser médiatiquement face à l’homo-négrophile de l’Elysée. C’est une attitude logique à quelques mois des élections européennes.
Mais, dans le fond, Salvini sait, tout comme nous, que cette dinde alcoolo-tabagique est finie au plan strictement franco-français et que seuls les nécromanciens juifs la font encore marcher pour leurs propres besoins face aux Blancs.
Au poker, si vous récoltez un huit de pique, vous ne pouvez pas simplement geindre jusqu’à ce qu’on vous donne un roi de trèfles.
Donc Salvini fait avec ce qu’il a. C’est-à-dire, en France, avec Marine Le Pen.
Il doit composer avec cette charogne morte-vivante tout en prenant soin de ne pas se laisser mordre, de peur d’être infecté.
Cette Le Pen en revanche pense pouvoir faire oublier le naufrage de 2017 et se refaire en paradant ici et là, le nez collé sur ses sondages.
Projection par départements du score par partis aux #Européennes 2019 (sondage Odoxa Septembre 2018)
LREM-MoDem 21,5%
RN 21%
LR 14%
FI 12,5% pic.twitter.com/ay2OhsJhfd— Johan Weylland ?? ?? (@Absolemdu83) 8 octobre 2018
Il est évident que, sans elle, les sondages seraient situés à 30% compte tenu de l’invasion de nègres et d’arabes qui n’en finit pas.
En 2014, le FN avait atteint 25% des voix lors des élections européennes et ça n’a eu aucune espèce d’utilité, sauf pour le gang lepéniste de pouvoir vider les caisses afin de se gaver de champagne.
Cette fois-ci, même s’ils faisaient le même score, ce serait le statu quo, c’est-à-dire de nouvelles valises de cash pour la SARL Le Pen, actuellement en quasi cessation de paiement. C’est tout ce qui importe à l’alcoolo-tabagique.
Mais le FN fera plus sûrement 21%.
Donc, ce score, pris en lui-même, ne fera que prolonger l’agonie au profit de Macron qui sait qu’il gagnera toujours contre Marine Le Pen. Toujours.
En France, la seule élection qui compte, c’est l’élection présidentielle. Celle qui consiste à rassembler 50,01% des suffrages exprimés au second tour. Dès lors que tout le monde sait qu’il est impossible que cette Le Pen puisse jamais l’emporter, la représentante de Marlboro en France ne peut plus être une inconnue dans l’équation politique.
C’est devenu une assurance, un gage de stabilité pour les juifs.
Salvini se sert de Le Pen à des fins strictement nationales, tout comme Macron a besoin de Le Pen comme fusible.
Ces élections européennes n’ont de toute façon pas d’importance concrète. Il s’agit plutôt d’une sorte de concours de popularité pour mesurer le rapport de force et tenter de modérer la virulence verbale des partis juifs aux ordres de Bruxelles. Mais en termes pratiques, le parlement européen n’est qu’une chambre d’enregistrement sans importance.
La seule institution de l’UE qui importe, c’est la Commission Européenne et elle est désignée par les gouvernements des 28 états membres. Les élections nationales restent absolument fondamentales.
Les partis juifs du parlement ne servent qu’à faire du bruit médiatique pour légitimer les décisions prises par la banque juive et ses technocrates bruxellois.