La rédaction
Démocratie Participative
22 novembre 2022
MAJ
C’est officiel.
Le fat shaming est de retour.
Le mètre cube de mafé Yseult a été dégagé de Twitter pour avoir agressé les usagers avec sa GRAISSE atrocement noire.
La grossophobie est désormais la politique de Twitter.
Je soutiens ce concept. Je soutiens tout ce qui peut faire disparaître les négresses obèses de mon champ de vision numérique.
La représentante noire de la francophonie à l’échelle mondiale aura donc mis 48 heures à se faire dégager pour exhibitionnisme lipidique.
Une franche réussite pour Macron.
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La francophonie, le grigri colonial du Quai d’Orsay, a enfin trouvé sa forme finale.
Je dois avouer que je n’aurais pas rêvé mieux.
Emmanuel Macron a couronné la reine noire Yseult (…) impératrice du français dans le monde.
À Djerba avec les membres du réseau Jeunes Ambassadeurs Francophones engagés pour défendre la Francophonie à travers le monde. Avec @YseultOfficiel, notre marraine pour 2024, nous allons continuer à promouvoir notre si belle langue ! pic.twitter.com/tXgeQG6c1T
— Emmanuel Macron (@EmmanuelMacron) November 19, 2022
Yseult désignée par Macron Maraine de la francophonie.
Cette femme ne nous représente pas. Elle n’a rien avoir avec l’histoire de France et du peuple français.
Comme français je ne lui reconnais aucun droit de me représenter.@CNEWS #SoirInfoWE pic.twitter.com/dAs3EHMmNF— Pierre Gentillet (@Pierre_GTIL) November 21, 2022
Pourquoi la France se sent obligée de donner raison au Troisième Reich ?
L’impératrice a immédiatement adapté son profil Twitter à ses nouvelles fonctions officielles.
•Nouveau single “I LOVE YOU” disponible sur toutes les plateformes : https://t.co/8s4sCsvKZY 🖤
— Y (@yseultofficiel) November 17, 2022
Du boudin nègre, par quintaux.
Et oui, ce truc est ce qui s’exporte le mieux musicalement en langue française (vers la négraille US).
— Y (@yseultofficiel) November 21, 2022
Je ne sais pas pourquoi personne ne relève que la culture (aryenne) française a disparu. Littérature, musique, sculpture, cinéma, peinture, tout s’est volatilisé. Il ne reste que du bruit nègre mis en scène par des juifs.
Ce silence est aussi spectaculaire que le phénomène en lui-même.
Il suffit de visiter n’importe quel musée français pour voir ce qu’a été la créativité et la productivité françaises jusqu’au début du XXe siècle.
Ensuite, après 1945, plus rien.
Le vide.
Imaginez que des gens ont pris le décorateur de cuisine Pierre Soulages pour un peintre français majeur.
Klein était déjà anecdotique et c’était dans les années 1960.
Test facile : on repère une connasse cultureuse quand elle aime les trucs chialeux de Niki de Saint Phalle.
Après, Macron est un snob avec des goûts de beauf, donc il est à l’image de ce retour au nihilisme négromorphe en vogue à Paris.
Macron adore le bruit visuel nègre.
On hésite entre l’intention de saccager l’Élysée et le goût de merde inconscient de lui-même.
Franchement, on se demande où va tout le pognon qu’engouffre l’Élysée quand on voit des trucs posés au hasard comme ça.
Et les machins géométriques des années 70, c’est carrément la catastrophe.
Vous savez, c’est les motifs de tapisserie de chiottes qu’on retrouve dans les vieux bistrots de cambrousse.
C’est révélateur du caractère abscons, pédant et hyper cérébral de ce connard dénué d’émotions.
Le type pense s’être appliqué esthétiquement.
Quelle insignifiance pointilleuse.
C’est le progrès, paraît-il.
Je ne crois pas.
Le peintre en bâtiment autrichien qui, d’après la vulgate juive était un sagouin dans le domaine des arts, me semble avoir quelques arguments en matière de décoration intérieure.
Bref, des nègres, des nègres, encore des nègres, toujours des nègres, une couche après l’autre, par tranche de millions.
Et Macron, rayonnant, sur ce désastre civilisationnel.
Cette face de faux derche, seul Trudeau peut rivaliser
Cette fin du monde est aussi interminable que prévisible et merdique.