Captain Harlock
Démocratie Participative
30 juin 2021
Une troisième dose, pour être sûr.
Ensuite, l’an prochain, on verra pour quatre doses par an.
BFMTV :
Face à la menace du variant Delta, plus contagieux et qui continue sa progression en France, une troisième dose de vaccin pourrait être injectée aux personnes âgées, a indiqué le ministre de la Santé ce mardi matin.
Alors que la progression du très contagieux variant Delta en France inquiète puisque celui-ci représente désormais 20% des nouveaux diagnostics, le gouvernement n’écarte pas une troisième injection chez les personnes âgées pour les protéger au mieux, a indiqué Olivier Véran sur France Info ce mardi matin.
C’est le juif Bourla à la tête de Pfizer qui l’avait annoncé il y a quelques mois.
Véran le commis se borne à faire connaître les décisions du Sanhédrin suprême à la plèbe.
Les vaccins protègent largement contre les formes graves de la maladie liées à ce nouveau variant mais, comme le souligne le ministre de la Santé, « les plus âgés, bien que vaccinés, sont susceptibles de présenter une forme grave ». « Avec un risque fortement réduit par le vaccin, mais quand vous avez 90-95 ans, votre système immunitaire répond moins bien », a précisé Olivier Véran.
Alors là, j’apprends quelque chose.
Les nonagénaires ont un système immunitaire qui répond moins bien ?
C’est l’occasion de leur injecter une troisième dose d’un faux vaccin aux effets secondaires massifs.
Quant à savoir qui pourrait être concerné par cette troisième dose de vaccin, Olivier Véran indique que la mesure viserait « uniquement les personnes âgées a priori, c’est ce que nous disent les scientifiques que je consulte beaucoup en ce moment ».
A PRIORI
« Ce que l’on sait pour l’instant, si je prends l’exemple d’un quadragénaire vacciné avec deux doses, si cette personne devait être contaminée par le Covid-19, déjà le risque est beaucoup plus faible, et si cette personne attrape le Covid-19, le risque de faire une forme symptomatique et encore plus une forme grave est extrêmement marginal », a expliqué le ministre pour illustrer son propos. « Le Covid peut passer par vous mais il ne vous terrasse pas, vous n’avez pas de séquelles et d’hospitalisation ».
C’est le problème : le virus circule car ce pseudo vaccin n’empêche pas d’être infecté, il ne fait que rendre asymptomatique. Les variants peuvent librement circuler, justifiant un cycle infini de restrictions et de dispositifs de contrôle des mouvements de populations.