LCI invite un juif international dénommé Brody pour évoquer le futur tribunal de Nuremberg qui doit juger les dirigeants russes

La rédaction
Démocratie Participative
12 décembre 2022

 

Le système précise ses intentions avec son Nuremberg 2.

Ce « chasseur de dictateurs » est, de manière étonnante, juif.

C’est aussi un fils de bolchevique juif.

En résumé, c’est un prêtre très actif au sein du Sanhédrin qui entend châtier Vladimir Poutine et les membres de l’État russe.

L’argument de ce juif est que Vladimir Poutine n’a pas « discuté » de son opération militaire en Ukraine pour en finir avec le gouvernement trotskiste de Kiev dirigé par Zelensky.

C’est la première fois que j’entends dire qu’un chef des armées d’un état doit d’abord « discuter » pour savoir s’il peut entrer en guerre. Ce n’est certainement pas quelque chose que George W. Bush a fait avant d’envahir l’Irak.

Il n’est pas non plus poursuivi pour « crimes de guerre ».

Il peint.

C’est une façon volontairement floue de dire qu’un chef d’état n’a pas le droit d’employer son armée sans l’accord des juifs, pour servir les intérêts juifs.

En démocratie, on appelle les intérêts juifs « les droits de l’homme ».

La position préférée des juifs est celle de juge. Ils proclament détenir l’autorité morale sur les nations, disposer du droit souverain de décréter le bien du mal, le licite de l’illicite, créent des tribunaux rabbiniques et émettent ensuite des actes d’accusation contre les goyim qui refusent de les servir comme esclaves avant de les faire assassiner.

C’est une mentalité tout à fait particulière.

Le tribunal militaire de Nuremberg était monté sur le même principe.

Les goyim stupides n’ont pratiquement jamais contesté le caractère ignoble du tribunal de Nuremberg. Si les Alliés et les communistes avaient simplement fusillé les dirigeants nationaux-socialistes, cela aurait au moins été honnête. L’entreprise était différente et visait à diaboliser moralement l’Allemagne NS pour avoir refusé de se soumettre au système bancaire juif anglo-américain aidé des bolcheviques de Moscou.

L’idée est de dire que refuser de servir les juifs est « immoral » et criminel, avec toute la dramatisation judiciaire qui va avec.

Le projet que concoctent les juifs pour la Russie, puis la Chine et l’Iran, est le même. Ils ont la prétention de traîner les dirigeants de ces pays devant leurs tribunaux religieux au motif qu’ils refusent de se soumettre à la race juive.

J’observe que les Russes délaissent petit à petit la rhétorique « antinazie » du début de la guerre pour lui préférer une rhétorique religieuse.

C’est beaucoup plus juste et pertinent.

Les Russes ont peut-être commencé à réaliser que c’est le traitement des Nationaux-socialistes allemands qui les attend si les juifs parviennent à leurs fins. Raviver sans cesse l’antique propagande antifa de l’ère soviétique n’est ni pertinent, ni utile, voire même franchement contreproductif. C’est réactiver sans cesse l’argumentaire juif qui justifie leur terreur internationale.

Surtout quand vous avez les juifs qui nazifient la Russie depuis près d’un an.

Les juifs ont clairement annoncé leurs intentions : détruire l’État russe, arrêter ses dirigeants et, selon toute vraisemblance, faire exécuter Vladimir Poutine après un procès de cirque pour les masses des nations captives des juifs.

Les Russes n’ont pas d’autre choix que de gagner face à cette meute hébraïque écumante.

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