La rédaction
Démocratie Participative
19 août 2022
Je suis un grand ami de l’Algérie.
Certes, nous commentons ici et là les faits divers dont parlait le réalisateur Mathieu Kassovitz par allusion aux Français innocents assassinés par des immigrés maghrébins, mais c’est un point de détail de la Remigration.
🔴 Mathieu #Kassovitz ose dire à Véronique #Monguillot que le meurtre de son mari, frappé à mort à #Bayonne, est un « fait divers ».
Quid du meurtre d’Axelle Dorier ?
Quid du meurtre d’Adrien Pérez ?
Quid du meutre de Thomas Michelin ?TOUS ont été tués par la racaille ! pic.twitter.com/WnmwQ5kumh
— Jean-Lin Lacapelle (@jllacapelle) May 11, 2021
Le fait central demeure : l’Algérie est porteuse d’une très haute civilisation. Du moins, c’est ce que l’on m’a dit et j’ai hâte de la découvrir.
En attendant, j’ai fait la découverte du Professeur Khelifa, avocat, écrivain, spécialiste de la question juive dans le monde arabo-musulman d’expression française. J’ai eu le privilège tout à fait exceptionnel de voir sa dernière intervention synthétique intitulée : « La victimisation du lobby juif et son racisme envers les non-juifs ».
J’aurais, effectivement, pu signer le titre moi-même.
Interlude musical :
Nous sommes d’accord que les juifs sont des gens horribles.
Monsieur Khelifa contribue positivement au dialogue islamo-chrétien pour rapprocher les deux rives de la Méditerranée et je m’en félicite.
J’ai toujours cru à la contribution positive de l’Algérie à un antisémitisme plus pratique que l’antisémitisme intellectuel français, qui a certes ses mérites, mais qui manque de pep’s depuis que les ingénieurs allemands sont interdits d’aborder la question.
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