Captain Harlock
Démocratie Participative
14 juin 2018
Enfin, nous nous rapprochons de ce que nous aurions dû mettre en place depuis 40 ans : des camps de concentration.
L’Autriche planche avec quelques Etats de l’UE sur l’établissement de centres d’accueil de migrants à l’extérieur de l’Union pour « héberger et offrir une protection mais pas une vie meilleure », a indiqué mardi soir le chancelier Sebastian Kurz.
Interrogé par la télévision publique ORF sur l’existence d’un tel projet, le chef du gouvernement a confirmé que « des efforts sont en cours pour créer en dehors de l’Europe des centres de protection où nous pourrons héberger les réfugiés, offrir une protection mais pas une vie meilleure en Europe centrale ».
Sebastian Kurz, un conservateur qui gouverne avec l’extrême droite, n’a pas précisé à qui seraient destinés ces centres mais son homologue danois Lars Lokke Rasmusen avait indiqué la semaine dernière discuter avec certains pays, dont l’Autriche, de la création de « centres communs » destinés aux migrants ne pouvant prétendre à l’asile dans l’UE ou ayant été déboutés.
« C’est un projet sur lequel nous travaillons avec un petit nombre d’états de façon très confidentielle (…) pour en accroître la faisabilité », a ajouté M. Kurz sur ORF. Parmi les pays susceptibles d’accueillir ces centres, le nom de l’Albanie a été avancé ces derniers jours dans la presse autrichienne. « Nous verrons », a répondu mardi soir le chancelier.
« Centre d’accueil », « camp », peu importe, le concept est le même. J’utiliserais probablement le même terme. « Centre d’accueil ».
Comme les centres d’accueil allemands.
Tous les envahisseurs arabo-nègres seront parqués dans de gigantesques camps d’où ils ne ressortiront plus.
Je suppose que leur seule option sera de retourner vers leurs pays maudits. Ou d’y crever du Sida ou de la lèpre. Dans les deux cas, cela revient du pareil au même.
Malheureusement, il est possible que Macron, sous la pression des pédés et des femelles xénophiles de la presse de gauche, n’organise l’ouverture totale du territoire français à ses sous-hommes. La jurisprudence Aquarius semble en attester.