Captain Harlock
Démocratie Participative
20 mars 2019
J’ai écrit samedi dernier un assez long article sur la situation depuis qu’Erdogan s’est manifesté ce week-end suite au truc de Christchurch. Comme je ne veux pas me répéter, vous pouvez le lire pour voir ma perspective sur le contexte général dans lequel nous nous trouvons.
Donc, en l’état actuel des choses, l’insignifiante île que l’on appelle la Nouvelle-Zélande est dans cet état là :
Une province du califat administrée par une traînée féministe en hijab se mettant en scène en train d’avoir des émotions.
Une vidéo a peu circulé, c’est celle du coup de téléphone d’Erdogan à cette éponge à foutre halal.
Ce n’est pas vraiment un coup de téléphone. C’est le PDG d’une multinationale qui donne une série d’ordres assortis de menaces au délégué du personnel d’une de ses enseignes.
C’est en anglais, si vous comprenez, cela vaut la peine.
Ce type ne demande rien. Après avoir indiqué qu’il parle au nom de tous les musulmans de la terre, il notifie à Ardern le nombre de kilomètres de bite orientale qu’elle va devoir avaler.
Entre autres choses, il indique à cette idiote que ses « spécialistes » vont arriver avec son Vice-Président. Les spécialistes, c’est le MIT, les services secrets turcs.
Et cette femelle exhibitionniste, après avoir écarté les cuisses pour le Calife égorgeur de kouffars et grand promoteur de la charia pour les traînées, se mettait ensuite en scène en train de cracher à la gueule de Trump.
« Pour les gontils misilmons »
Le Point :
Comme le Premier ministre canadien Justin Trudeau, son militantisme contre le changement climatique et pour l’égalité des genres l’a marquée du sceau de « l’anti-Trumpisme ».
Mme Ardern ne fait pas mystère de son hostilité face à certaines politiques de Donald Trump et se sert du manque de popularité du président américain en Nouvelle-Zélande pour renforcer la sienne.
Quand le locataire de la Maison Blanche l’a appelée pour lui proposer son aide après l’attaque des mosquées, Mme Ardern n’a pas hésité à rendre la conversation publique.
« Il a demandé ce qu’il pouvait faire, et je crois que j’ai juste fait passer le ressenti qu’on a ici en Nouvelle-Zélande. Mon message était un message de sympathie et d’amour pour toutes les communautés musulmanes« .
Oui.
Non.
Cette idiote croit que son numéro de cirque halal va durer jusqu’aux prochaines élections et qu’elle est en bonne voie pour recevoir le Prix Nobel de la Paix.
Les félicitations de Macron et de Trudeau pour avoir été capable d’avaler, en une seule fois, 18 bites de bédouins circonscises, ont dû particulièrement la renforcer dans cette conviction.
Sauf que ce que cette pute va découvrir dans les jours qui viennent, c’est que son pays est une colonie américaine et non pas une colonie islamique.
Les mâles blancs ont déjà commencé à reprendre les choses en mains. C’est-à-dire les Australiens.
Ardern croit que l’enjeu consiste à avoir des émotions. Elle va comprendre que l’enjeu, c’est le pouvoir.
Un truc d’hommes donc.
Et quand les Américains et les Australiens ont vu le renseignement turc fourrer son nez en Nouvelle-Zélande tandis qu’Erdogan se proclamait légitime propriétaire de l’île, le ton a changé instantanément.
Le chef du gouvernement australien a répondu aux propos du président turc Recep Tayyip Erdogan qui avait fait lundi une comparaison entre l’attentat de Christchurch en Nouvelle-Zélande et la bataille de Gallipoli, pendant la Première Guerre mondiale.
Le Premier ministre australien Scott Morrison a jugé mercredi « irréfléchis », « ignobles » et « offensants » des propos tenus par le président turc Recep Tayyip Erdogan après l’attentat d’un extrémiste australien dans des mosquées de Christchurch, en Nouvelle-Zélande.
M. Morrison a exigé le retrait des propos de M. Erdogan et a averti que « toutes les options sont sur la table » en ce qui concerne les relations entre l’Australie et la Turquie.
M. Erdogan avait déclaré lundi que l’attentat de Christchurch s’inscrivait dans le cadre d’une attaque contre l’islam et la Turquie. « Ce n’est pas un acte isolé, c’est quelque chose d’organisé », avait affirmé M. Erdogan lors d’un discours de campagne prononcé dans l’ouest de la Turquie deux semaines avant des élections locales. « Ils sont en train de nous tester avec le message qu’ils nous envoient depuis la Nouvelle-Zélande, à 16 500 kilomètres d’ici ».
Le président turc avait en particulier lancé que les Australiens qui seraient hostiles à l’islam subiraient le même sort que les soldats australiens tués par les forces ottomanes lors de la bataille de Gallipoli, pendant la Première Guerre mondiale.
Dans une référence à la présence pendant ce conflit de contingents australiens et néo-zélandais engagés contre les forces ottomanes, il avait lancé : « Il y a un siècle, vos aïeuls sont repartis à pied ou dans des cercueils. Si votre intention est la même que la leur, nous vous attendons ».
Une nuance : Erdogan affirme que ses djihadistes nous attendent, oui, mais chez nous.
L’Australie n’a pas menacé la Turquie. Il n’y a qu’un sénateur australien, Fraser Anning, qui s’est contenté de dire que les djihadistes faisaient le djihad et qu’éviter de laisser les djihadistes s’installer en Occident aurait pour effet de limiter les attaques djihadistes.
Ce qui me semble, après relecture, exact.
La Nouvelle-Zélande, même sur une carte retravaillée sur photoshop, n’a pas de frontières communes avec la Turquie. Ni même avec un état islamique.
Donc, quand Erdogan affirme que lui et ses cafards turcs « attendent les Australiens » et les Blancs en général, c’est bel et bien en Nouvelle-Zélande. Et en fait, partout où se trouvent des rats musulmans chez nous.
C’est pour cela que dans son appel à Ardern, il commence par se présenter comme le porte-parole des mahométans de la planète et, à ce titre, en droit d’exercer sa souveraineté sur le moindre pays comptant un seul musulman.
Ce que l’on appelle communément la conquête islamique.
En outre, l’Australie est l’allie le plus fidèle des USA.
C’est simple, les Australiens ont fait toutes les guerres américaines, peu importe où et quand. L’Australie est un pivot majeur pour l’Armée US et un allié majeur de l’Otan.
Et si vous l’avez oublié, ces djihadistes turcs sont également membres de l’Otan.
Donc Erdogan menace ses « alliés ».
« Des propos ont été tenus par le président turc Erdogan que je considère extrêmement offensants pour les Australiens et extrêmement irréfléchis dans l’environnement très sensible dans lequel nous sommes », a dit M. Morrison.
Désolé Morrison, ces commentaires sont très réfléchis.
Erdogan sait exactement ce qu’il fait et ce qu’il veut et vous savez parfaitement qu’il sait ce qu’il dit et ce qu’il veut : prendre la tête du califat global.
C’est exactement ce qu’il vous dit.
Le Premier ministre a notamment qualifié d’« ignobles » des commentaires faits par le président turc sur les réactions de l’Australie et de la Nouvelle-Zélande après l’attentat de Christchurch, où un suprémaciste blanc australien a tué 50 fidèles dans deux mosquées.
M. Morrison a fait sa déclaration après avoir convoqué l’ambassadeur de Turquie et avoir rejeté les « excuses » qui avaient été présentées. « J’attends, et j’ai demandé, que ces propos soient clarifiés, soient retirés », a déclaré le chef du gouvernement australien.
« J’attendrai de voir ce que sera la réaction du gouvernement turc avant de décider d’autres mesures, mais je peux vous dire que toutes les options sont sur la table », a insisté M. Morrison.
Il a appelé les Australiens qui se rendraient en Turquie à la prudence et a précisé que les autorités australiennes étaient en train de réexaminer leurs conseils aux voyageurs dans ce pays.
Vous voyez, c’est la différence entre les Australiens et ces fiottes progressistes de Kiwis néo-zélandais gouvernés par une rombière marxiste en hijab prête à livrer son pays au Califat après un seul coup de téléphone d’Erdogan.
Vous devez toujours réparer les conneries des bonnes femmes qui fourrent leur nez dans les affaires sérieuses. C’est-à-dire les affaires que seuls les mecs peuvent gérer.
Les Australiens doivent donc maintenant récupérer le dossier pour mettre un terme aux conneries d’Ardern qui menace de faire de la Nouvelle-Zélande une province officielle de l’Empire Ottoman.
L’Australie, comme le Canada, la Nouvelle-Zélande et la Grande-Bretagne, sont dirigés en réalité par leurs services de renseignement qui ne sont que des départements régionaux de la CIA et du Pentagone. Ils s’appellent entre eux les « Five Eyes ».
Leurs politiciens « élus » sont autant de micro-leaders régionalistes que Washington laisse divertir leurs électorats respectifs en guise d’écran de fumée.
Mais toutes les véritables décisions stratégiques sont prises par les Américains. Plus exactement, la CIA et le Département de la Défense.
Ardern est en route pour un très brutal atterrissage.
Elle vient d’être mise sur la touche par les Américains et les Australiens au profit d’une personne capable de comprendre quelque chose et de faire preuve de rationalité. Un homme donc.
Elle devra désormais se contenter de faire des photos avec des bougnoules appelant à exécuter des infidèles au nom du vivre ensemble. Et c’est déjà trop compliqué pour cette gourde.
Les choses sérieuses, elles, sont désormais entre les mains du premier mec du gouvernement néo-zélandais.
Les déclarations de M. Erdogan ont également suscité la colère de la Nouvelle-Zélande. Dès lundi, le vice-Premier ministre néo-zélandais Winston Peters a protesté contre l’utilisation politique par le président turc du massacre de Christchurch.
Cette utilisation est « totalement injuste » et « menace l’avenir et la sécurité du peuple néo-zélandais et de nos citoyens à l’étranger », a-t-il déclaré.
M. Peters a annoncé mardi qu’il se rendrait en Turquie cette semaine à la demande d’Ankara pour assister à une réunion spéciale de l’Organisation de la coopération islamique (OCI).
Voilà la meilleure partie.
Peters – un populiste – le dit clairement : Erdogan va faire exécuter des Blancs d’Australie et de Nouvelle-Zélande pour assouvir ses masses de mahométans surexcitées.
Cette histoire de convocation du gouvernement néo-zélandais devant les états islamiques sur ordre d’Erdogan est énorme. Je ne sais pas si ça va réellement se faire.
Mais c’est du niveau de l’occupation des Balkans par cette race infernale que sont ces turcs à l’haleine fétide.
En tout cas, tout ce que fait et dit Erdogan démontre que le manifeste de Brenton Tarrant n’est pas uniquement une oeuvre de fiction. Il ne suffit pas d’abattre quelques dizaines de pelés pour mettre en mouvement la totalité des états islamiques à l’initiative de la Turquie djihadiste.
Pour que cela se produise, c’est que l’élément déclencheur est intervenu dans un contexte plus large, parfaitement compréhensible pour qui sait s’extraire de la bouillie émotionnelle vendue par la presse judéo-gauchiste actuelle.
Personnellement, je compare Brenton Tarrant à Gabrielo Princip.
Notez que le nationaliste slave Princip, mort de mauvais traitements en prison après avoir abattu l’Archiduc François-Ferdinand à l’été 1914, était considéré officiellement comme héros dès 1920 par les états libérés de la tutelle austro-hongroise.
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