L’assassin du Christ Saviano entre en guerre contre Salvini pour avoir endigué l’invasion islamique

Le Libre Panzer
Démocratie Participative
23 juin 2018

Les médias ont trouvé un nouveau porte-drapeau pour mener l’agitation contre Matteo Salvini.

La presse juive française, désespérée, n’en a rien loupé.

France Info :

« Tu crois que je dois avoir peur de toi? » L’écrivain italien Roberto Saviano, auteur du livre Gomorra, qui dénonce la mafia napolitaine, tire à boulets rouges, vendredi 22 juin, contre le ministre italien de l’Intérieur Matteo Salvini. Le patron de la Ligue (extrême droite) a indiqué jeudi sur une radio qu’il serait utile d’évaluer si Roberto Saviano a encore besoin de sa protection policière. Celle-ci a été accordée en 2006 après la sortie de Gomorra et les menaces de mort d’un clan de la Camorra, la mafia napolitaine.

Roberto Saviano, très critique de la Ligue et de sa politique anti-immigration, a d’abord répliqué dans une vidéo postée sur Facebook. « Bouffon », lance-t-il dans cette vidéo, reprise et traduite par Loopsider sur Twitter. « Salvini a pour ennemi les immigrés, (…) les Roms« , ajoute-t-il, se disant « heureux d’être parmi ses ennemis ».

L’écrivain poursuit ses critiques dans la presse italienne. Vendredi, dans un entretien avec le Corriere della sera, il dénonce le climat « fétide » dans lequel les intellectuels vivent désormais en Italie.

« Et si moi et les immigrés pour Matteo Salvini sommes des objectifs vers lequels canaliser les pires pulsions, celui qui se croit à l’abri se trompe. Hier les immigrés, aujourd’hui moi, demain ce sera vous », assure-t-il dans cet entretien.

Ce Saviano semble particulièrement concerné.

Wikipédia :

Né à Naples le 22 septembre 1979, d’un père médecin, Luigi Saviano et d’une mère institutrice, Miriam Haftar, juive originaire du nord du pays, Roberto Saviano a étudié la philosophie dans sa ville d’origine à l’université « Frédéric II » où il fut l’élève de Francesco Barbagallo4. Saviano est surtout influencé par la pensée de Giustino Fortunato, Gaetano Salvemini, Errico Malatesta, Mikhaïl Bakounine et Rocco Scotellaro. Il collabore ensuite notamment avec L’Espresso et La Repubblica. Il est publié dans Nuovi Argomenti, Lo Straniero, Nazione Indiana, Sud, et dans plusieurs anthologies, comme Best Off, il meglio delle riviste letterarie italiane (Minimum Fax 2005), et Napoli comincia a Scampia (L’Ancora del Mediterraneo 2005).

Bien qu’officiellement l’Italie ne compte que quelques dizaines de milliers de juifs, c’est encore suffisant pour fournir des cadres à l’agitation bolchevique locale.