Captain Harlock
Démocratie Participative
05 mars 2020
L’angoisse étreint le Kahal médiatique à mesure que les goyim comprennent les ressorts de la traite des Blanches orchestrée par les gros juifs du show-biz. Et partant, comment la race élue se protège grâce au contrôle total qu’elle exerce sur les démocraties occidentales.
Après des jours d’imprécations et de menaces à peine voilées suite aux attaques furieuses des réseaux sociaux contre le violeur de shiksas Polanski, c’est le yid Enthoven qui a finalement avoué sa race.
Quand le juif est acculé, il recourt toujours à sa dernière carte : le culot. La c’houtzpah. Espérant que son aplomb sidère le goy, le voilà qui d’accusé se pose en accusateur, d’autant plus impérieux et bruyant qu’il est coupable.
#Bruel, #Weinstein, #DSK, #Epstein…
Est-ce être paranoïaque, que de voir de l’antisémitisme dans cette énumération ? #cesars2020 #Foresti ?— Raphaël Enthoven (@Enthoven_R) March 5, 2020
A première vue, oui. Il faut être parano pour accuser d’antisémitisme #FlorenceForesti, dans la mesure où les « puissants » dont elle donne les noms, certes juifs, se sont tous au moins rendus coupables d’agression.
— Raphaël Enthoven (@Enthoven_R) March 5, 2020
Observez le serpent juif approcher de sa victime.
Pour renverser le rapport de force, alors que la liste des pointeurs levantins est toujours plus interminable, le juif commence par placer Foresti en état d’accusation par une interrogation toute de perfidie, feignant l’ingénuité.
« Foresti serait antisémite ? Non, grotesque, non… comment oserais-je soupçonner… non… rumeur ! ceci dit… en regardant d’un tout petit peu plus près… vraiment près, l’oeil bien fixé… comment dire… non… mais, disons… ah ! Madame… c’est bien peiné que je consents à un infime mais angoissant doute… Seriez-vous… ha, le dirais-je ?, antisémite ? »
Le crime n’est plus le viol, mais le lèse-majesté à l’endroit de la race élue.
Voilà les bourreaux qui se lamentent en victimes, couteau sorti.
De même qu’il eût été ignoble d’accuser Foresti de racisme si, par le plus grand des hasards, elle n’avait cité que 4 agresseurs noirs, n’est-ce pas ? ?
— Raphaël Enthoven (@Enthoven_R) March 5, 2020
Le problème de son énumération, c’est le dénominateur commun.
Bruel est acteur, Weinstein était producteur et Epstein était pourvoyeur pour producteurs.
Tous sont proches du monde du cinéma.
Mais pas DSK. Alors, pourquoi lui ? Pourquoi DSK, le soir des César ? Quel rapport ?— Raphaël Enthoven (@Enthoven_R) March 5, 2020
BLAM !
Le juif sort le lapin du chapeau, sans mégoter, d’un seul coup d’un seul. Il le flanque dans devant le nez du goy.
« Le dénominateur commun » qu’il dit. C’est-à-dire le juif.
Ne pouvant nier, reste au youpin à faire l’idiot.
Le juif espère prendre les devants et faire de la seule information qui compte, l’origine juive des violeurs du show biz, son acte d’accusation contre les goyim qui murmurent.
« Un secret, quel secret ? Mais enfin, on ne voit que cela ! Uniquement des juifs, absolument tous ! Dissimuler quoi, Christian, moi qui te parle droit dans les yeux ? Moi-même juif, qui ne le cache pas, je le dis d’emblée, c’est bien une preuve de ma totale impartialité, inaccessible aux motivations tribales ! Presque goy, tel que tu me vois ! Serais-tu de ceux qui oseraient dire qu’un juif serait nécessairement affairé à aider des bandits, au seul motif qu’ils soient tout aussi juifs ? Serais-tu de ces antisémites haineux, vindicatifs, imaginaire de charnier, pour le penser ? Es-tu une ordure tout à fait ? Non ?! Je le savais ! Pas toi, Christian. Toi, tu es un chic type. Bien, alors aide-moi à dénoncer ces mauvaises langues rongées par le racisme et la haine qui disent tant de mal de ce pauvre Polanski et encore de bien d’autres juifs qui, au fond, n’ont rien fait de bien méchant et certainement bien moins que d’innombrables goyim cruels. Je te cite en témoin de moralité, Christian, tu l’es plus que moi, avec tous mes défauts. Tu parleras pour nous, Christian, je veux dire, pour moi et encore quelques autres personnes de mon peuple, encore très remuées par toute cette injustice… Car dans toute cette affaire, les seules victimes, en vérité, sont les juifs. »
Et voici le « dénominateur commun » – le fil juif – miné par l’hébreu qui n’attend plus qu’à accuser.
Le but de Foresti est-il de dénoncer les prédateurs dans le monde du cinéma ?
Auquel cas la présence d’un ancien ministre, qui n’est ni acteur ni producteur, est tout à fait incongrue.— Raphaël Enthoven (@Enthoven_R) March 5, 2020
Ou son but est-il de dénoncer les prédateurs en général ?
Mais alors pourquoi s’en tient-elle (ou presque) au monde du cinéma ?
Et pourquoi, dans ces conditions, ne cite-t-elle que des juifs ?
Comme l’avarice, Madame, l’agression sexuelle n’est pas le monopole des juifs !— Raphaël Enthoven (@Enthoven_R) March 5, 2020
« Mais quel rapport entre nos gros violeurs juifs et le viol, Madame Foresti ?! Le viol, dans tout ça, est bien secondaire, indolore. Le véritable sujet, c’est l’antisémitisme. L’antisémitisme tue ! Le viol, lui, est bien moins lourd de sens criminel… »
Voici notre hébreu tout ragaillardi, encore plus narquois qu’à l’avant-veille, alors qu’il était au bord du pogrom.
Il a déjà revêtu son habit de commissaire bolchevique. Il dresse des listes de noms.
Alors, on en revient à la même question : pourquoi DSK ?
Si l’enjeu est de dénoncer la culture du viol dans le monde du cinéma, pourquoi ne pas citer #Kechiche ? Il fait du cinéma, lui ! Et plutôt très bon, d’ailleurs. Et qu’il faut aller voir ! https://t.co/NCni9FxBYW— Raphaël Enthoven (@Enthoven_R) March 5, 2020
Et si l’enjeu est de dénoncer, en général, la violence envers les femmes, pourquoi pas #Ramadan ? Ou même @ladjLY qui, dans une autre vie, avant de percer, n’était pas un violeur mais le complice d’un type qui frappe sa sœur et séquestre son amant ?
— Raphaël Enthoven (@Enthoven_R) March 5, 2020
Il est injuste, bien sûr, de faire aux gens le procès de ce qu’ils n’ont pas dit. Reste que, soit Foresti ne parle que du cinéma et DSK n’a rien à faire dans sa liste.
Soit elle parle du viol en général, et alors, il est très étrange, et saugrenu, qu’elle ne cite que des juifs.— Raphaël Enthoven (@Enthoven_R) March 5, 2020
« C’est étrange ! »
« Quel rapport entre les juifs et les juifs ? »
Il est désormais temps pour Enthoven de sortir le violon terroriste yiddish et de jouer l’air de la Liste de Schindler, préambule à l’accusation suprême de tout tribunal juif : avoir pactisé avec Adolf Hitler par destination.
(Au passage, le juif que je suis continue-t-il de montrer les films de Disney, malgré ce qu’on sait désormais, de ses opinions, de son racisme, de son refus de la guerre avec l’Allemagne et de ses liens avec Leni Riefenstahl ? Oui. Cent fois oui.)
— Raphaël Enthoven (@Enthoven_R) March 5, 2020
Ou bien le moins connu « Mélodie du Sud » de Disney – qui n’est pas antisémite mais spectaculairement raciste
https://t.co/vWVpYfXF1S— Raphaël Enthoven (@Enthoven_R) March 5, 2020
Peut-être Mme Foresti ignorait-elle tout cela ?
Auquel cas je lui recommande de regarder (chez elle, sans le dire) « Le Pianiste » de Polanski, qui a reçu la Palme d’or à l’époque où l’on savait déjà tout. ?— Raphaël Enthoven (@Enthoven_R) March 5, 2020
« Alors Madame Foresti ? Hein ? On mégote ? Et les 6 trillions ? Cela ne vous dit rien ? Nous vous invitons fermement à regarder les films de Polanski sur l’Hologramme si vous tenez à prouver votre bonne foi. »
Ensuite, il faut trouver un juste parmi les nations dans ce procès hébraïque où le juif s’établit en autorité morale, déplaçant sa quincaille folklorique sur sa charette de cirque.
Il serait injuste et scandaleux, enfin, de faire à Jean-Pierre #Darroussin un procès en antisémitisme alors que, s’il a feint de ne pas déchiffrer le nom « Polanski », c’est probablement pour manifester sa désapprobation sans prendre le risque d’une critique ouverte.
— Raphaël Enthoven (@Enthoven_R) March 5, 2020
Maintenant, Nuremberg.
Reste que… Le sens du projet génocidaire nazi était de faire disparaître jusqu’au souvenir des « juifs dégénérés » et de nier leur qualité d’être humain. Et l’une des étapes majeures de cette entreprise était, dans les camps, de remplacer leur nom par un numéro.
— Raphaël Enthoven (@Enthoven_R) March 5, 2020
Aucun procès d’intention, ici. Mais quel dommage qu’à cause de la prudence d’un acteur ignorant, qui préfère laisser entendre son désaccord au lieu de le dire, les #cesar2020 aient aussi, entre autres sanies, reproduit symboliquement ce geste innommable.
— Raphaël Enthoven (@Enthoven_R) March 5, 2020
Et voilà !
Notre juif parade, sûr d’avoir solidement menacé Foresti et tous ceux qui seraient tentés de suivre son impulsion.
Le juif, roi du mensonge, est une ordure.
En pareil cas, quand le juif se livre à son chantage à l’antisémitisme, qu’il faut redoubler d’accusations contre la juiverie, le désigner avec fureur à la vindicte populaire.
Le juif ne peut opérer que tant qu’il est masqué aux yeux du public, dissimulé derrière ses mensonges.
Mais une fois accusé en tant que juif, le youtre s’évapore comme par enchantement : il n’y a plus de goyim pour lui sauver la mise.