Captain Harlock
Démocratie Participative
18 avril 2019
L’ennemi de la France éternelle, le youtre infernal Pierre Haski
Je parlais de haine sémitique plus chauffée à blanc que jamais depuis l’incendie de Notre Dame de Paris. Cette haine se déverse tout naturellement dans les médias juifs.
Le juif Pierre Haski s’exprime.
L’attention planétaire reçue par le drame de Notre Dame, et les sommes considérables recueillies pour sa reconstruction font grincer des dents dans les pays du Sud qui y voient un signe de domination de plus en plus mal vécu.
J’aurais dit que c’était la voracité de la finance juive new-yorkaise qui faisait grincer les dents des peuples victimes de sa sauvage prédation.
Mais je me trompais : c’est ce milliard d’euros, essentiellement d’origine française, qui excite la colère du « Sud » d’après le juif Haski.
Un journaliste sud-africain a fait hier la comparaison : plusieurs centaines de millions d’euros pour Notre Dame réunis en quelques heures ; mais en six mois, le musée national du Brésil, qui a brûlé dans des circonstances similaires l’an dernier, n’a trouvé que 15 millions. Et le Sud-Africain de commenter : « j’imagine que c’est ce qu’on appelle le privilège blanc ».
Observez la façon de procéder de ce juif. Haski se garde bien de déclarer haut et fort, en son seul nom et en sa qualité de juif, ce qu’il pense de cet effort financier, français pour l’essentiel, pour réparer ce chef d’oeuvre de l’esprit médiéval franc.
Avec une perfidie caractéristique, Haski cite un nègre quelconque d’Afrique du Sud rongé par la haine et la jalousie.
Ce pays où le miracle du marxisme juif mêlé au racisme noir produit ce qu’il y a de meilleur.
Il n’est pas venu à l’idée de ce nègre que ces sommes ne tombent pas du ciel mais qu’elles sont le fruit d’un travail.
Il n’est pas davantage venu à l’esprit de ce brave cafre que si le Brésil s’est montré incapable de mobiliser ses propres capitaux, tout comme son « peuple », cela en dit plus long sur cet état mulâtre que toutes les accusations pouvant être portées contre lui.
En revanche, le juif Haski a bien compris tout cela.
D’instinct, face à cette manifestation de vigueur spirituelle autour d’une cathédrale édifiée par les monarques francs au nom du Christ crucifié par les juifs, le sémite éternel a immédiatement entrepris de cracher son venin, faisant tout ce qui est en son pouvoir pour stopper cet élan spirituel qui renforce celui qu’il veut tuer : l’homme blanc.
Comment ? En vomissant son juifisme sur France Inter, radio occupée par la bête hébraïque.
En France, certaines voix se sont élevées pour regretter que tant d’argent soit trouvé en si peu de temps pour la cathédrale, mais qu’il n’y en ait jamais pour l’urgence sociale. Mais la même critique existe au plan international, entre les pays surexposés du Nord, et le monde émergent et encore marginal.
Le juif ne change pas. Il n’aime pas le Nord, terre du labeur et de la droiture, lui le rat puant des déserts du Proche-Orient où l’on vit en attaquant les caravanes.
Et ce ressentiment contre le Nord, il le porte jusque dans nos esprits, en occupant nos médias, notre état, pour glorifier son désert mental. Nous l’imposer en sémitisant les masses par le terrorisme.
Son arme unique contre l’homme blanc non plus ne change pas : la culpabilisation.
Et puisque le juif Haski parle de privilège, en voilà un bien réel qu’aucun goy ne lui a jamais reconnu : être l’accusateur du monde, fort d’une autorité morale autoproclamée qui se transmet par le sang.
Peu importe, dit le juif, puisque ce pouvoir d’accuser, le juif prétend le détenir de Yahvé, de Marx ou de Freud ou de quelque autre pseudo prophète de sa race.
En revanche le juif ne tolère pas d’être lui-même accusé pour ses crimes.
C’est pourquoi je rappelle régulièrement l’urgence d’accuser ces juifs insolents afin de les ramener à leur juste place sur l’échelle raciale et morale, prélude à l’instruction de leur procès final.
Tous les Pierre Haski de cette terre
Haski, le juif incendiaire, maquille sa soif de destruction derrière le verbe mensonger de la philanthropie internationale, du grand cas qu’il fait des populations du tiers-monde.
Ces juifs-là sont les pires.
Après son Sud-africain fantomatique, cet hébreu agite, en France même, des « pauvres » au nom de « l’urgence sociale » dont on devine déjà qu’ils sont essentiellement composés de nègres et de mahométans clandestins. C’est-à-dire les auxiliaires que la juiverie introduit dans le monde blanc pour mener sa guerre d’éradication contre l’humanité blanche.
Vous voyez, quand vous connaissez le fonctionnement élémentaire d’une cervelle hébraïque, vous ne pouvez plus jamais être trompé par le juif. Vous lisez en lui comme dans un livre ouvert.
C’est à ce moment-là que le youtre brandit son accusation : « antisémitisme ! ». Cette accusation est en fait un aveu.
Le cas du Brésil est en effet exemplaire : le Musée national installé dans un palais de Rio de Janeiro, était une institution vieille de deux siècles, contenant plus de 20 millions d’objets sur l’histoire de l’Amérique latine. Le 2 septembre, le feu a pris accidentellement dans le Palais de Saint Christophe, détruisant 90% des œuvres, une perte incalculable pour tout un continent.
Depuis, le directeur du Musée fait le tour du monde pour réunir des fonds pour la reconstruction : il n’a trouvé que 15 millions, mais certainement beaucoup de sympathie.
Haski omet sciemment de dire que le directeur n’a visiblement pas fait le tour de l’Amérique Latine, première concernée.
Peut-être, parce qu’en premier lieu, l’idée même de culture dépasse ce continent, affligé par la blessure irréversible qu’est la négrification du sang.
Il ne s’agit pas ici de comparer la place respective de Notre Dame et du Musée brésilien dans l’histoire et l’identité de chaque peuple, ça n’aurait pas de sens ; mais de reconnaître qu’il existe encore d’immenses différences de traitement entre les pays, reflet d’un ordre international qui est de moins en moins bien accepté.
Nous y venons.
Le juif Haski a de bonnes raisons de ne pas vouloir admettre l’évidence : la hiérarchie des races qu’exprime leur talent créatif respectif.
Et pour cause. En 4,000 ans, les juifs n’ont rien édifié. Il n’est pas jusqu’à leur seul et unique temple qui ne soit le fruit du travail d’autres peuples.
Cette peuplade orientale, à part son fanatisme, sa cruauté, son avarice et sa soif de destruction, n’a rien laissé à l’humanité.
Ce n’est pas une synagogue que visitent les dizaines de millions d’étrangers qui viennent à Paris mais une cathédrale sorti du génie racial de la monarchie germanique édifiée il y a 9 siècles. Et ça, ce sémite rongé par la haine et la jalousie, ne peut tout simplement pas l’admettre.
Cela le ramène, lui la blatte glaireuse de son ghetto de Tunisie, à sa juste mesure de coulure anale, exotique et bouffonne, de Palestine.
La lumière de l’ordre aryen créateur contre les ténèbres sémitiques destructrices
Ce bédouin délavé n’a que son désert pour patrimoine culturel à nous opposer.
Le juif doit abaisser pour être grand, c’est pour cela qu’il est de la race des despotes orientaux et c’est pour ça qu’il hait l’Aryen et tout ce qu’il façonne de sa main.
C’est seulement une fois sa haine excitée que le juif cherche un prétexte à l’appel au meurtre. Au génocide.
La machine médiatique a sa part de responsabilité. Les grands moyens d’informations du monde entier se sont mis lundi en breaking news, exceptionnel pour un incendie accidentel sans victimes. Hier encore, la BBC a interrompu ses programmes pour diffuser en direct la conférence de presse d’Édouard Philippe…
Certains, sur les réseaux sociaux, déplorent depuis deux jours que le même traitement n’ait pas accompagné la destruction par les autorités chinoises, d’une mosquée aussi vieille que Notre Dame, dans sa guerre aux Ouigours musulmans dans la province chinoise du Xinjiang. Trop complexe ? Trop loin ? Pas d’images ? Le fait est qu’on n’en a pas parlé.
Ainsi, si l’Occident a perdu son monopole des affaires du monde, il reste dominant dans l’inconscient collectif planétaire. Une hiérarchie des sentiments qui est vécue, dans le monde non-occidental, comme un reliquat de colonialisme dépassé, comme le montre la réaction du journaliste sud-africain.
Ca se traduit en émotions collectives immédiates, en identification simple et rapide avec des monuments qui sont imprimés dans tous les esprits, qu’on les ait visités ou pas ; et en avantages sonnants et trébuchants quand c’est nécessaire.
C’est cette différence de traitement qui est ressentie de plus en plus difficilement. Certains y verront la montée du politiquement correct, d’autres la fin d’un privilège historiquement daté. En attendant, rien n’arrêtera l’émotion suscitée par Notre Dame, pas même la mauvaise conscience.
Observez bien, une nouvelle fois, la perfidie meurtrière de ce sale juif. Comment il convoque les mahométans du globe, au besoin, pour attaquer tout ce qui s’érige face au sémitisme, asiatisme inclus.
Car le monde asiatique est aussi un monde de travail, certes différent du nôtre, mais non moins laborieux et bâtisseur. Il ne recevra pas plus de bienveillance de la part du sémitisme parasitaire et fanatiquement destructeur.
Est-ce un hasard si, justement, le gouvernement japonais, en plus du gouvernement russe, s’est déclaré prêt à aider la France au besoin dans ses travaux ?
Evidemment non : seules les races qui travaillent et qui construisent peuvent apprécier le travail et la construction. Et ce sont ces races qui viennent en France pour admirer la beauté dont elle recèle et qui est désormais éclipsée, dans l’esprit de nombreux Français, par le travail d’empoisonnement incessant des juifs.
Comment la race juive, qui a édifié son empire sur le vol et le mensonge, pourrait apprécier ce qui dément si brutalement ses prétentions ?
Quand le juif parle de « privilège racial », il avoue ce qu’il commet : le passe-droit permanent obtenu par le mensonge et l’escroquerie.
S’il y a un privilège racial injustifié sur cette terre, c’est celui du juif.
Ce que prédateur errant qualifie de privilège n’est rien d’autre que le fruit du travail, valeur qui lui est totalement étrangère et le restera pour toujours. Derrière cette accusation se cache l’accusation réelle : celle que le juif porte contre le travail et le sacrifice, ces deux choses qu’incarnent une cathédrale édifiée à la main par les ancêtres des Français.
Et surtout, comme un jugement démentant ses propres mensonges, comment la juiverie pourrait-elle tolérer que les créations de la culture de l’aryanité français soient reconnues comme supérieures par l’humanité elle-même alors que cette race juive tente, en ce moment même, d’anéantir la race blanche dont procède cette culture ?
Cette bouche menteuse de Haski ne commet pas son crime par hasard.
Ce juif, établi et prospérant en France, trouve qu’il anormal voire odieux que la France bénéficie d’une aide internationale grâce à l’admiration que son histoire suscite encore auprès des nations étrangères.
Est-ce que cela vous semble être, de la part de Haski, la manifestation d’un amour de ce pays, d’un patriotisme naturel et sincère ?
Ou bien au contraire, n’est-ce pas la preuve que, jusque dans les moments les plus difficiles, cet élément étranger et inassimilable, sous un vernis d’assimilation trompeur, agit par tous les moyens contre le peuple qui a eu la faiblesse de l’accueillir ?
C’est la plus belle démonstration de ce que le juif ressent en sémite, pense en sémite, agit en sémite, parasite hostile rongé par la jalousie et la haine qu’il maquille sous une mensongère commisération pour les races de couleur dont il excite la haine contre l’homme blanc.
Il n’y a cependant là rien qui soit étonnant. Le juif agit selon sa race. C’est son rôle de destructeur.
Pour qu’une langue puante comme Haski puisse souiller de sa salive putride les esprits, le blâme en revient aux Français qui continuent de faire preuve d’une coupable faiblesse en laissant le bacille juif empoisonner, au vu et au su de tous, l’esprit des masses, livrant le pays à l’incendie, semant la division et la démoralisation, disséminant le soupçon, cultivant l’abaissement.
Le moment est largement venu, pour les Français, d’accuser le juif et de le traîner par les cheveux jusque dans le prétoire pour qu’il y entende son jugement final.
Il n’y aura pas de renaissance aryenne en France, de renaissance française en France, tant que ce germe de destruction y aura droit de cité.