Captain Harlock
Démocratie Participative
03 Mars 2020
La guerre biologique menée par l’armée turque contre les frontières de l’Europe se poursuit. Erdogan a fait armer des bandes de sous-hommes venus des pires recoins du monde islamique pour prendre d’assaut la Grèce.
L’armée grecque contient la vermine en tirant sur la partie turque.
Greek border guards and military fire warning shots against the migrants, protecting the sovereignty #Greece and the country’s borders.
Can’t tell whether it’s rubber bullets or live fire.#GreeceUnderAttack#IstandWithGreece pic.twitter.com/qUuyxGHkvw
— BasedPoland (@BasedPoland) March 3, 2020
L’armée turque quant à elle apporte son soutien tactique aux hordes du Mordor en tirant du gaz sur la partie grecque.
Migrants cheer as Turkish border guards join them and start shooting tear gas cannisters at the Greek border guards.
Unacceptable behavior by Turkish authorities.
All EU states must send help to #Greece!#GreeceUnderAttack#Greece_Turkey_Borders #IStandWithGreece pic.twitter.com/BPeYGF9Tbm— BasedPoland (@BasedPoland) March 3, 2020
Le premier ministre grec a visiblement décidé de ne pas céder.
Il a indiqué que la Grèce ne répondrait pas de ce qui arriverait aux bêtes sauvages qui essaieraient de pénétrer illégalement dans le pays.
«The message is clear: Do not try to illegal pass to #Greece . You won’t make it and you are responsible of your own choices» Loud and clear from @PrimeministerGR . #Greece_Turkey_Borders #GreeceUnderAttack #evros pic.twitter.com/6CYVfFjLco
— Panagiotis Lebesis (@LebesisP) March 3, 2020
Je ne pense pas que ce politicien soit particulièrement hostile à cette invasion. Mais c’est plutôt parce que la population grecque est au bord de l’insurrection générale qu’il a décidé de fermer les frontières.
Les fermiers arrivent sur place en force.
Video last night in #Evros in #Greece, of Greek farmers mobilizing their tractors to provide lights for the Greek military at the border region. pic.twitter.com/1ioZYTEQKd
— Sotiri Dimpinoudis (@Sotiridimp) March 3, 2020
Les soldats grecs tirent au dessus des têtes des envahisseurs.
And another video footage of Greek military shooting tracer rounds into the air to scare the illegal migrants over the border in #Turkey, who are near the border in #Evros in #Greece. pic.twitter.com/fZsWktb81V
— Sotiri Dimpinoudis (@Sotiridimp) March 3, 2020
D’ailleurs des renforts militaires grecs arrivent sur place pour militariser la frontière.
#Greek army deployed at #Turkish border as #migrants seek to enter Europe pic.twitter.com/48UGc8Kiiq
— RT (@RT_com) March 3, 2020
Un autre point peu connu : ce territoire est également protégé par la garde nationale grecque, composée de citoyens bénévoles qui disposent tous d’une fusil d’assaut à leur domicile. Comme en Suisse.
Des HK G3, très exactement.
Il est donc virtuellement impossible de distinguer soldats et habitants dans cette partie de la Grèce. Au moindre problème grave, tous ces hommes seront dehors, prêts à tirer dans le tas.
Les choses ont changé
En tout cas, le climat général est très différent de celui de 2015 lorsque la presse juive lança sa gigantesque campagne de terreur pour ouvrir les vannes de l’invasion des Syriens du Soudan.
Cette fois-ci, les gardes-côtes et les soldats grecs ont noyé plusieurs de ces rats sous les applaudissements de l’opinion publique européenne sur les réseaux sociaux.
Ce changement radical d’humeur a été rendu possible parce que depuis 5 ans, l’opposition raciste n’a eu de cesse d’exposer la réalité de l’invasion de ces violeurs et djihadistes du tiers-monde.
Entre les viols de Cologne, les couteaux de la paix et les mineurs de 28 ans syriens du Congo, les écailles sont tombées des yeux de nombreux Européens.
L’autre conséquence de la posture grecque soutenue cette fois par l’UE contre Erdogan, c’est que désormais repousser l’invasion afro-musulmane les armes à la main est validé au plus haut niveau européen.
Pourquoi ?
Parce que tous ces politiciens sont terrorisés à l’idée d’être merkélisés.
« Ceux qui cherchent à tester l’unité de l’Europe seront déçus » – Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, en Grèce #AFP pic.twitter.com/eqVQF2EPDx
— Agence France-Presse (@afpfr) March 3, 2020
Mme. von der Leyen s’est dite « aux côtés » de la Grèce et a promis à Athènes « toute l’aide nécessaire » pour faire face à l’afflux de milliers de migrants venant de la Turquie voisine, lors d’une visite au poste frontière de Kastanies, au nord-est du pays #AFP
— Agence France-Presse (@afpfr) March 3, 2020
Il y a cinq, Orban faisait – en plus soft – ce que font les Grecs. Toute l’UE appelait à exclure la Hongrie en représailles.
Désormais, l’UE annonce vouloir aider la Grèce à abattre des crouilles à ses frontières.
Tout cela n’aurait pas été possible si nous n’avions pas harcelé politiciens et médias sur les réseaux sociaux pendant des années. Désormais, ils doivent compter avec nous, la masse des opposants au remplacement de population.