Captain Harlock
Démocratie Participative
13 août 2018
La canaille judéo-socialiste récemment arrivée au pouvoir à Madrid a reçu un avertissement après avoir annoncé vouloir profaner la tombe du Général Franco.
Euronews :
Fait exceptionnel en Espagne depuis la mort du général Franco en 1975, un groupe de hauts gradés monte au créneau pour défendre la mémoire du dictateur. Ces militaires sont à la retraite, il est vrai, mais ils sont nombreux, 181 en tout, et pas des moindres : selon des journaux espagnols, on compte parmi eux un amiral, 29 généraux, 105 colonels, 15 lieutenants-colonels, ainsi que des commandants et des capitaines de la marine.
Les nostalgiques de l’ordre franquiste adressent une lettre ouverte au gouvernement socialiste, datée du 31 juillet, sur le site internet d’un organe controversé intitulé Asociación de Militares Españoles. Ils attaquent bille en tête « la campagne de la gauche politique et de tous ses médias affidés » qui vise, selon eux, à dégrader l’image du général depuis juin dernier. Les officiers retraités vont jusqu’à dénoncer « une obstination viscérale de revanche afin d’effacer un demi-siècle de notre histoire ».
Ce qui fait sortir du bois ce groupe de militaires pro-Franco est sans nul doute la volonté du gouvernement de Pedro Sanchez, récemment affirmée, d’exhumer les restes du dictateur du mausolée de la « Valle de los Caidos » pour les transférer dans un cimetière. Francisco Franco avait pris soin de faire construire ce monument pharaonique à San Lorenzo del Escorial, à environ 50 kilomètres au nord de Madrid, dans le but de veiller à sa gloire à titre posthume.
Les membres de l’Asociación de Militares Españoles réclament aux dirigeants socialistes de « cesser la campagne infâme qui a la prétention perverse d’exhumer les restes » du général. Depuis la fin de son édification en 1958, le mausolée de la « Vallée de ceux qui sont tombés » – si l’on traduit en français – n’a jamais cessé de créer la polémique en Espagne et de diviser la société. Mi-juillet dernier, quelques dizaines de nostalgiques du franquisme ont encore manifesté devant le monument pour protester contre le transfert annoncé de la dépouille de leur « Caudillo ».
Franco a certainement permis d’éviter que l’Espagne ne devienne un avant-poste du bolchevisme, mais je ne peux pas dire que son héritage politique soit à citer en exemple. Surtout après la trahison de la Phalange au profit des cercles de la réaction espagnole, poussant dans les bras des marxistes et des socialistes des millions d’Espagnols.
Et c’est encore à lui que l’on doit la restauration de la monarchie anglophile, une lubie d’un autre temps qui a démontré, s’il en était besoin, que jamais la réaction ne pourra être une alternative.
Nous avons ce monarque qui s’affiche avec des pépitos d’Amérique du Sud et des mahométanes voilées.
En tout cas, ces officiers espagnols ont l’air déterminé à empêcher le gouvernement judéo-socialiste de détruire ce qu’il reste de patriotique en Espagne.
Notre mouvement doit méditer sur la détermination des rouges. Jamais ces gens ne changent d’idées. Ils sont animés d’une authentique haine pour leurs ennemis. Ils peuvent nourrir des plans de vengeance pendant un siècle s’il le faut.
Ces violeurs de nonnes ne se calment que lorsqu’ils sont brutalement réprimés par les fascistes.
Nous souffrons de l’influence délétère des cercles de la droite bourgeoise qui cherchent toujours à se concilier la gauche quand il faut, au contraire, la traquer avec fanatisme. En ce sens, nous sommes beaucoup plus proches des communistes que de ces réactionnaires qui préfèrent transiger pour garantir l’intégrité de leurs comptes bancaires.
J’ai toujours adopté une seule attitude face aux rouges : une haine et une intolérance implacables. C’est la seule chose qui fasse reculer ces héros du prolétariat.
A la moindre hésitation, ces terroristes relèvent la tête.