La rédaction
Démocratie Participative
12 juillet 2022
L’empereur juif Zelensky est déterminé à reprendre quelques champs de patates aux Russes.
Pour cela, il se dit prêt à faire hacher un million d’hommes raflés dans tout le pays et dûment équipés par ZOG.
BFMTV :
Dans une interview accordée au quotidien britannique The Times, le ministre ukrainien de la Défense Oleksiy Reznikov a indiqué que le pays était en train de mettre sur pied une armée d’un million d’hommes, équipés d’armes occidentales, pour recapturer les territoires occupés du sud.
C’est Volodymyr Zelensky qui est à l’origine de cette initiative, les territoires ukrainiens situés au bord de la mer Noire étant vitaux pour l’économie du pays.
« C’est nécessaire pour le pays. Le président a donné l’ordre au commandement militaire de mettre sur pied des stratégies. Ensuite, l’état-major a fait ses devoirs et a listé les besoins nécessaires à la réalisation de cet objectif », a souligné Oleksiy Reznikov.
Cette démarche nécessite l’obtention de nouvelles armes venues de pays occidentaux. Ainsi, le ministre ukrainien de la Défense a indiqué qu’il était en train de s’adresser aux pays partenaires de l’Ukraine, afin de leur présenter « pourquoi nous avons besoin de ces armes ».
J’ai déjà lu cette histoire.
Actuellement, le Mordor (l’Occident) s’achemine vers la mobilisation totale de ses ressources pour ce qui sera à terme sa troisième et dernière guerre mondiale, celle qui doit détruire la Russie et permettre l’isolement de la Chine.
L’Ukraine en l’état ne peut pas gagner.
C’est largement admis par la presse anglophone pro-Zelensky. L’Ukraine a suffisamment d’esclaves en réserve, mais pas d’armes. Les livraisons doivent très massivement s’accroître pour parvenir ne serait-ce qu’à la parité en termes de puissance de feu.
Unherd :
Un nouveau rapport du RUSI, basé sur des recherches originales sur les lignes de front de l’est de l’Ukraine et un excellent accès aux commandants ukrainiens de haut rang, décrit le défi avec des détails qui donnent à réfléchir. L’armée russe, piquée au vif par ses échecs opérationnels au cours des premières semaines de la guerre, a adapté sa façon de faire la guerre, abandonnant ses premières tentatives de grands encerclements au moyen de colonnes blindées se déplaçant rapidement. Elle s’appuie désormais sur l’artillerie pour réduire les positions défensives et la capacité de résistance de l’armée ukrainienne, puis sur des masses d’infanterie et de blindés en fer de lance localisé pour s’emparer des ruines avec une force écrasante, dépassant actuellement les défenseurs ukrainiens en nombre de 7 contre 1. Cela permet aux « forces russes de progresser davantage dans les combats urbains, les taux de pertes parmi les unités russes et ukrainiennes étant actuellement proches de la parité, bien que les Russes soient généralement à l’offensive ». Comme me l’a dit un commandant ukrainien sur la ligne de front, « tout ce que nous pouvons faire ici est de ralentir l’avancée des Russes ».
Au cœur des succès locaux de la Russie dans le Donbass se trouvent les vastes avantages de Moscou en matière de puissance de feu de l’artillerie, qui compensent la qualité médiocre de son infanterie, qui a suscité les moqueries – et peut-être alimenté un dangereux excès de confiance – des observateurs occidentaux plus tôt dans la guerre. Homme pour homme, les Ukrainiens restent de meilleurs soldats, mais ils sont maintenant tués en nombre insoutenable sans jamais voir l’ennemi.
Dans une note d’avertissement urgente, le rapport avertit que « plusieurs avantages russes et faiblesses ukrainiennes conduisent à un conflit d’attrition qui risque de se prolonger et de favoriser la Russie ». Tout d’abord, la puissance de feu de l’artillerie russe est efficace non seulement pour réduire les points forts ukrainiens, mais aussi pour empêcher les forces ukrainiennes de se regrouper en vue de contre-attaques. La Russie « tire environ 20 000 obus d’artillerie de 152 mm par jour, contre 6 000 pour l’Ukraine », en puisant non seulement dans la nouvelle production, mais aussi dans les stocks soviétiques, dont « selon certaines estimations, il reste encore l’équivalent de plusieurs années de réserves ». Pour ajouter à cette disparité, les frappes de missiles russes à longue portée détruisent l’infrastructure de défense de l’Ukraine, érodant la capacité du pays à soutenir ce qui pourrait devenir une guerre de plusieurs années.
ZOG entend à présent mobiliser l’économie de ses satellites pour qu’elles passent en économie de guerre.
Mais comme le soulignent les auteurs du rapport du RUSI, « l’ampleur et la longévité du soutien dont l’Ukraine a besoin sont considérables et mettront à rude épreuve de nombreux alliés occidentaux. Ces besoins ne peuvent être satisfaits par le don de stocks existants, mais nécessiteront au contraire la production de nouvelles munitions. » C’est précisément ce que notre nouveau chef d’état-major général (britannique) préconisait lorsqu’il a averti la semaine dernière qu’en raison des « taux de dépenses en munitions qui épuiseraient les stocks combinés de plusieurs pays de l’OTAN en quelques jours », la Grande-Bretagne et d’autres nations européennes doivent lancer un programme urgent de production de munitions en temps de guerre, non seulement pour le bien de l’Ukraine, mais aussi pour le nôtre. Comme il l’a prévenu : « Nous ne pouvons pas allumer les fours des usines à travers la nation à la veille de la guerre ; cet effort doit commencer maintenant si nous voulons empêcher qu’une guerre [européenne plus large] ne se produise. »
Le chef d’état-major britannique est Sir Patrick Sanders.
C’est un partisan fanatique de la croisade anale globale contre la Russie.
Il reste deux ans avant que ZOG ne passe à l’offensive générale contre la Russie.
Unherd :
La guerre en Ukraine n’est pas une brève et sanglante prise de bec dans un pays lointain dont nous savons peu de choses. Au contraire, comme l’a prévenu le nouveau chef d’état-major général, le général Sir Patrick Sanders, dans un discours historique prononcé aujourd’hui à la RUSI, « c’est notre 1937 », car « nous vivons une période de l’histoire aussi profonde que celle que nos ancêtres ont vécue il y a plus de 80 ans. »
L’aide militaire américaine est nécessaire aujourd’hui, mais à moyen terme, il appartiendra à l’Europe de garantir sa propre sécurité : les Américains seront bientôt distraits par leur propre grande confrontation dans le Pacifique, et nous devrons compter sur nous-mêmes pour relever le grand défi qui nous attend. Comme le prévient Sanders, « ce sera un travail difficile – un effort générationnel », mais « c’est notre moment. Saisissez-le ». Les avertissements et les conseils ne peuvent être plus clairs : c’est maintenant au tour du gouvernement de montrer qu’il peut relever le défi des années troublées qui se précipitent vers nous tous.
L’Ukraine est la Pologne du 21e siècle.
Nous n’avons rien appris en 80 ans.
C’est principalement à cause du fait que nous n’avons toujours pas compris le rôle des juifs et de leur régime démocratique.
L’Ukraine comme la Pologne sert d’os à ronger que les démocraties juives jettent à la Russie pour disposer du temps nécessaire à l’offensive qu’elle prépare à grande échelle.
Cela implique de faire durer le carnage aussi longtemps que possible et cela ne peut devenir une réalité qu’en basculant dans une économie de guerre. Les rationnements inévitablement liés permettront de surarmer des millions de goyim destinés à conquérir la Russie pour y imposer l’anal à l’école.
On peut faire confiance aux Anglais pour jouer le rôle de chiens enragés des juifs et pour déclencher autant d’incendies que possible sur le continent.
La note d’espoir, c’est que les sociétés occidentales sont atteintes de dégénérescence avancée et ne peuvent donc pas endurer ce que les générations précédentes de Blancs ont enduré pour les buts de guerre des juifs.
Imaginez demander au joueur du grenier de tenir une journée dans une tranchée pilonnée au rythme d’un obus toutes les dix secondes.
Il faudra compenser les déficiences de recrutement avec des Sandrine.
On verra si elles accepteront de mourir pour imposer la domination vaginale sur la Russie.