Singapour : l’application de traçage du Covid désormais utilisée par la police pour « lutter contre le crime »

Captain Harlock
Démocratie Participative
05 Janvier 2021

Vous vous souvenez de l’application StopCovid dont les médias juifs nous assuraient que jamais elle ne servirait à la police pour traquer et réprimer la population ?

Et bien c’est exactement à ça qu’elle sert désormais.

Marianne :

Le gouvernement de Singapour a annoncé ce lundi 4 janvier que les données de l’application TraceTogether seraient exploitables par la police dans les affaires criminelles ou lorsque la « sécurité des citoyens » est menacée.

Un point de plus pour Big Brother. La police de Singapour peut désormais utiliser les données de son application de traçage des cas contacts Covid-19 dans le cadre des enquêtes criminelles, comme l’a annoncé ce lundi 4 janvier le ministre de l’Intérieur de la cité-Etat, Desmond Tan, devant le parlement local.

Comme le rapporte le média local Channel News Asia, l’exploitation des données personnelles par la « Singapour Police Force » était déjà autorisée par le code pénal : le ministre Desmond Tan a annoncé que les données de TraceTogether, application de traçage vantée pour son efficacité – et devenue source d’inspiration de StopCovid – jusqu’à ce qu’une deuxième vague de Covid-19 n’impose à l’Etat de décider un confinement généralisé, ne feraient pas exception. TraceTogether a été téléchargée par 4,2 millions de personnes, soit environ 78 % des citoyens de Singapour.

« Nous n’empêcherons pas l’utilisation des données de TraceTogether dans des circonstances où la sécurité des citoyens est ou a été affectée, et cela s’applique à toutes les données », a indiqué Desmond Tan.

Reste à savoir ce que le gouvernement, qui détourne de son usage l’application sanitaire pour en faire un outil de surveillance de masse, perçoit comme une menace envers la « sécurité des citoyens ». Pas de quoi s’inquiéter, à entendre le ministre de l’Intérieur : « Le gouvernement est le gardien des données personnelles transmises par les citoyens et des mesures strictes sont ainsi mises en place pour les protéger », assure-t-il. Selon lui, seuls certains officiers autorisés pourront accéder aux données dans des buts spécifiques, et ces dernières seront stockées sur une plateforme sécurisée.

Le ministre a par ailleurs affirmé qu’un fonctionnaire qui divulguerait ou exploiterait ces données sans autorisation, volontairement ou par négligence, s’exposerait à une amende de 5 000 dollars ainsi qu’à une peine de prison de deux ans. « En dehors des enquêtes criminelles, ou des besoins de la sûreté et de la sécurité de nos citoyens, les données de TraceTogether ne seront en effet utilisées que pour le dépistage des cas contacts et le combat contre le Covid-19 », insiste Desmond Tan. Puisqu’on vous dit que ça ne craint rien…

C’était évident.

Il fallait être un idiot complètement lobotomisé par la propagande juive pour croire que cette application pouvait être autre chose qu’un des outils de la surveillance de masse que le système essaie de mettre en place.

Une fois la police en mesure de tracer en temps réel toutes les interactions de la population, elle peut instaurer un quota de sorties, de rencontres, etc..

Ce que le système appelle « une bulle sociale » mais qui est en réalité une cloche antisociale placée sur chaque individu par l’Etat.

Ce truc s’inscrit dans la stratégie de collectivisation des moyens de transports décrétée par les marxistes internationaux de Davos et de l’ONU, sous prétexte d’empêcher la température de monter.

Le but du système est de contrôler totalement les mouvements des individus, partout.

L’ex-anarchiste juif Cohn-Bendit reconverti dans l’écolo-socialisme est un ardent partisan de ce futur système policier intégral dont les juifs seraient les maîtres.

Avec la résistance passive à la vaccination de masse qui se produit en France, Macron ne va pas longtemps pouvoir jouer la montre vis-à-vis de Klaus Schwab, Bill Gates ou Soros.

Cette application est la base du futur passeport sanitaire que la police aura la charge d’administrer.

Elle ne restera pas longtemps optionnelle.

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