Captain Harlock
Démocratie Participative
26 juin 2019
Après la déroute des Républicains aux élections européennes et la démission de Wauquiez, les caciques centristes peuvent revenir à leur grand projet : noyer la France de métèques pour garantir la retraite des Boomers.
En théorie du moins.
Xavier Bertrand, antifa du Grand Orient de France, s’est lancé dans une cour éhonté aux vieux en vue de 2022.
L’ancien ministre Xavier Bertrand a proposé ce mardi que le niveau de vie des retraités soit sacralisé par une inscription dans la Constitution. Il veut ainsi permettre aux retraités d’être protégé contre la réforme des retraites « universel » par points, qui présente un risque d’ajustement discret par le bas, a-t-il assuré.
Le président de la région Hauts-de-France, Xavier Bertrand, a proposé mardi de « sacraliser dans la Constitution le niveau de vie des retraités », afin d’éviter « une baisse généralisée des pensions » à cause de la réforme voulue par Emmanuel Macron. Le chef de l’État a promis de remplacer la multitude de régimes existants par un système de retraite « universel » par points, où « un euro cotisé donnera les mêmes droits à tous ».
« C’est une réforme que je suis prêt à accompagner, mais pas à n’importe quel prix », a déclaré Xavier Bertrand lors d’un colloque organisé par l’association Pro’Action Retraite, qui regroupe les caisses de retraite de six professions libérales.
Déjà, avant d’aller plus loin, méditez sur la gueule de ce type.
C’est devenu très à la mode pour ces politiciens de fourrer leurs marottes dans la constitution pour faire croire qu’ils foutent quelque chose et que c’est efficace.
Macron va y faire rentrer la baisse de la température, par exemple.
Il n’y a qu’une chose qui n’y entrera pas : la préservation de l’intégrité raciale de la France. Mais tout le reste, oui.
Dont le confort des Boomers.
Ils le méritent bien.
« Je suis pour qu’il y ait une garantie constitutionnelle », afin « qu’on puisse sanctuariser, sacraliser dans la Constitution le niveau de vie des retraités », a-t-il ajouté. L’ancien ministre de la Santé et du Travail, bien que « favorable au système par points », a toutefois prévenu que cela rendrait « terriblement facile d’ajuster les choses le plus discrètement possible en fonction de la valeur du point », avec « un risque d’une baisse généralisée des pensions de 10 à 20 % ».
« Sacraliser le train de vie des vieux », voilà le programme visionnaire de la bourgeoisie française et de ses porte-parole politiques.
LR n’est plus que la branche politique de l’assurance-vie au parlement.
Et l’assurance-vie veut des nègres en quantités illimitées « pour payer les retraites », c’est-à-dire maintenir le pyramide de Ponzi de l’Escroquerie du Millénaire que l’on appelle le système de retraite par répartition.
Pardon, « notre » système de retraite.
Raison pour laquelle « ce système par points doit être piloté de façon indépendante et en dehors du pouvoir politique », selon lui. Xavier Bertrand a aussi affirmé qu’une « réforme courageuse » devra augmenter l’âge de départ effectif. « En matière de retraites, l’équation est très simple : soit vous touchez moins, soit vous travaillez un peu plus longtemps », a-t-il expliqué.
L’équation est simple : soit vous faites trimer davantage les jeunes Blancs pour permettre à LR de conserver des voix, soit vous euthanasiez les soixante-huitards et Bertrand est chômage.
Le calcul est vite fait.
« Il y a deux façons de le faire : soit l’allongement de la durée de cotisation, soit le relèvement de l’âge légal », a-t-il poursuivi, exprimant sa préférence pour la première option, qui « dégage très clairement des marges de manœuvre beaucoup plus importantes ».
Pas convaincu par la piste d’un « âge d’équilibre » avancée par le gouvernement, qui pourrait se traduire par une décote-surcote au-delà de l’âge légal maintenu à 62 ans, Xavier Bertrand a ironisé en citant la maire PS de Lille, Martine Aubry : « Comme dirait quelqu’un de ma région : « quand c’est flou, c’est qu’il y a un loup » ».
Je propose une autre réforme : l’abolition du système de retraite socialiste au profit d’un système de retraite familial intergénérationnel direct.
Les enfants paient directement pour leurs parents. Plus il y a de gosses, plus il y a de revenus.
Système dont ne pourront pas bénéficier les Boomers qui seront déportés dans de gigantesques EHPAD gardés par des nègres agressifs armés que nous aurons conservé pour les besoins temporaires de l’opération.
Sous-alimentés, ils seront torturés jusqu’à ce qu’ils signent un document reconnaissant leur culpabilité individuelle et collective dans la destruction de plusieurs millénaires de patrimoine bio-historique en organisant l’invasion migratoire.
Après avoir fait des excuses publiques filmées, ils devront se mettre à genoux pour supplier d’être euthanasiés et leurs carcasses transformés en engrais pour les besoins de l’agriculture indienne.
Les vieilles peaux féministes seront livrées à des groupes de mercenaires cannibales du Libéria spécialement acheminés sur place pour dévorer leurs entrailles à vif.
Rien de plus, rien de moins.
C’est la seule solution humaine à la question des Boomers. J’invite à ne pas se livrer à une inutile surenchère dans le châtiment. Le strict nécessaire.
Entretemps, une autre réforme applicable immédiatement sans qu’elle ne coûte un seul centime aux contribuables serait l’interdiction des soins pour les personnes nées entre 1944 et 1960 convaincus d’avoir voté Chirac au second tour des élections présidentielles de 2002.
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