Landerneau : un nègre du Mali ayant mis en cloque une Bretonne régularisé parce que des profs de gauche lui ont donné des notes truquées

Captain Harlock
Démocratie Participative
07 juillet 2021

Le véritable but de Barkhane est de permettre aux maliens d’aller en France sauter des Blanches en toute sécurité

Je n’en peux plus.

Physiquement.

France 3 Bretagne :

La cour administrative d’appel de Nantes a sommé le préfet du Finistère de délivrer une carte de séjour temporaire à un élève malien du lycée de l’Elorn, à Landerneau, menacé d’expulsion en dépit de son parcours scolaire « couronné de succès » depuis son arrivée en France.

Les lois ne s’appliquent plus si des sales profs de gauche décident de monter des dossiers de notes truqués pour des clandestins.

Est-ce que Vladimir Poutine pourrait lancer une bombe nucléaire tactique sur le ministère de l’EdNat ?

Le jeune homme âgé de 20 ans, avait d’abord été scolarisé en troisième au collège Anna-Marly de Brest, avant d’obtenir à Landerneau son CAP d’ébéniste en juillet 2018 puis son BEP en juin 2019. Pour l’année scolaire 2019-2020, le jeune sans-papiers avait poursuivi ses études en terminale professionnelle, toujours au lycée de l’Elorn.

« Il justifie ainsi d’une progression constante et d’un cursus régulièrement couronné de succès », souligne la cour administrative d’appel.

Oui, Monique, militante socialiste, justifie de sa progression constante en surnotant Mamadou tandis qu’elle regarde d’un sale air les autres Blancs de la classe.

On connaît les profils de ces Blanches.

D’autant qu’en France, le moindre clandestin peut s’inscrire dans n’importe quel établissement sous le regard bienveillant des femmes blanches.

« Il ne ressort par ailleurs d’aucune des pièces du dossier que ce monsieur – qui n’est pas retourné dans son pays d’origine depuis son installation en France – aurait maintenu une relation étroite avec sa famille au Mali. » L’Etat a été condamné au passage à verser 1.500 € à son avocate brestoise, Me Agnès Saglio.

Ces magistrat(e)s rouges osent tout.

Elles disent que ce clandestin malien n’a plus de liens avec sa tribu (« sa famille ») alors que c’est la raison même de la présence de tous ces nègres d’Afrique en Europe.

Leur voyage est payé par la famille élargie en échange d’un large retour sur investissements à coups de virements bancaires au pays, aux frais de la CAF.

C’est-à-dire aux frais des Blancs.

Croyez-moi bien que le village de ce cafres fait la fête en ce moment, sous la protection de l’armée française déployée sur place.

Cette victoire judiciaire a pourtant été longue à se dessiner pour ce jeune homme « bien inséré dans la société française » et père d’un enfant né de sa relation avec une Française. Le préfet du Finistère lui avait imposé de quitter le territoire le 8 avril 2019, décision qui avait été validée par le tribunal administratif de Rennes.

Fatalement.

Evidemment.

Il fallait qu’une Bretonne écarte grand les cuisses devant un cafre stupide ayant fui le Mali pour commettre un mulâtre monstrueux qui dealera du shit et du crack dans moins de dix ans dans les rues de Brest.

D’ici là, le nègre magique se sera évaporée, ayant trouvé une autre Blanche à sauter.

Toutes ces putes qui collaborent horizontalement avec la submersion veulent ruiner l’ordre social pour se faire sauter par des nègres. Elles veulent détruire tout ce que nos ancêtres ont bâti pour ça. C’est l’unique moteur de cette énième infiltration négroïde : des traînées blanches avides de phallus noir – des profs aux magistrates en passant des traînées locales – ont tout fait pour s’assurer qu’un envahisseur puisse en sauter un maximum.

Nous ne sortirons pas de ce cycle infernal sans dresser ces femmes.

C’est tout simplement impossible.

Venez me dire que vous ne voulez pas appliquer la méthode islamique aux putes à nègres et on en reparle.

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