L’ancienne présidente marxiste brésilienne Dilma Roussef débarque à la Sorbonne pour appeler à renverser Bolsonaro

Captain Harlock
Démocratie Participative
18 septembre 2019

 

Macron a l’air de vouloir faire de Paris le quartier général du communisme mondial.

La Sorbonne a accueilli l’ancienne terroriste rouge Dilma Roussef, ex-présidente du Brésil renversée après avoir trafiqué les comptes de l’Etat, pour « exiger » la libération du bolchevique Lula da Silva, lui-même emprisonné pour blanchiment d’argent et détournement de fonds publics.

Je ne sais pas qui compose cette meute endiablée mais ces gens sont apparemment demandeurs d’un coup d’état au Brésil.

Je ne crois pas que Roussef soit sorti de sa retraite dorée pour venir parler à Mélenchon ou aux cocos.

Du moins, pas principalement.

Le Monde a ouvert ses colonnes à une interview particulièrement complaisante de Da Silva depuis sa prison, décrit comme une sorte de président révolutionnaire en exil.

En parallèle, Lula va jusqu’à voler au secours de la rombière de Macron.

Le plus probable, c’est que Macron et sa bande ont contacté Roussef pour l’aider à renverser Bolsonaro.

Un tel coup passe par une remise en question de l’élection même de ce dernier. En essayant d’accréditer l’idée en Europe que l’incarcération du rouge Lula est une fabrication, Macron veut sous-entendre qu’il a été illégitimement empêché de se présenter aux élections.

Macron espère alimenter la haine des marxistes brésiliens qui ne vont pas manquer de se sentir soutenus depuis l’étranger.

En continuant de divaguer sur l’apocalypse climatique, Macron peut aussi compter sur les écolo-communistes pour grossir la cohorte des sympathisants d’une révolution.

Tout cela démontre que Macron et les juifs qui tirent les ficelles derrière lui veulent faire de l’UE, et surtout de la France, un foyer d’incubation révolutionnaire doublé d’un camp retranché contre une série d’états dont l’évolution leur paraît dangereuse.