Captain Harlock
Démocratie Participative
29 septembre 2018
Les incels s’énervent.
Elle affichait sa liberté sur les photos qu’elle publiait sur les réseaux sociaux. La jeune blogueuse et mannequin de 22 ans a été abattue au volant de sa Porsche.
Elle changeait de coupe et de couleur de cheveux autant que de look, passant du t-shirt rock à la robe à dentelles en quelques photos postées sur son compte Instagram. La jeune mannequin Tara Fares, élue Miss Bagdad et Miss Irak en 2014, a été abattue jeudi en pleine rue de la capitale irakienne.
Faire des millions de dollars en faisant la pute dans un pays ravagé par 30 ans de guerres juives me semble parfaitement cool.
C’est le progrès.
Mon pays est pété lol, téma ma trousse
Et bouffer du sucre rapide et de la graisse à haute dose aussi. Sur du hip hop.
Génial.
Sur les réseaux sociaux, les messages d’hommage se multiplient, sans arriver à couvrir les critiques et la calomnie que la jeune femme de 22 ans subissait ces derniers mois. Tandis que nombre d’internautes lui reprochaient ses tenues osées, d’autres soupçonnent qu’elle a justement été assassinée pour avoir revendiqué cette liberté.
Putain ces ingrats.
Tara se pliait en quatre pour expliquer comment se maquiller comme une grosse traînée orientale et vous avez ces rageux qui crisent sous prétexte qu’ils visent dans des ruines ou des tentes à bouffer des rations de l’ONU.
Top.
Selon les médias locaux, l’influenceuse aux presque 3 millions d’abonnés sur Instagram – contre 1,8 million pour notre Miss univers tricolore Iris Mittenaere – a reçu trois balles alors qu’elle était au volant de sa Porsche décapotable aux fauteuils rouges étincelants. Elle était en compagnie de son petit ami, qui l’aurait conduit à l’hôpital de Bagdad avant de comprendre qu’elle était déjà morte.
Le patriarcat irakien en sueur.
Dans son pays, une société religieuse patriarcale, conduire une voiture de sport quand on est une femme peut déjà être très mal perçu. Enfourcher un vélo suffit même à choquer certains hommes. La féministe Marina Jaber, sans voile et en jean, s’y emploie par exemple depuis plusieurs années, serpentant les rues de Bagdad pour faire passer son message d’émancipation.
Oui, il faut libérer ces femmes arabes.
Tara Fares, elle, avait un temps séjourné en Europe après ses victoires de Miss. Puis la jeune femme était rentrée sur ses terres en important sa façon de vivre occidentale, et ses tatouages ! Ne s’affichant pas plus dévêtue que nombre de blogueuses françaises, mais parfois dans des positions sexy, elle s’était attiré les foudres de détracteurs masculins, mais également féminins.
Ok. On leur file le cancer juif, ils nous filent le cancer islamique.
On perd tout, les juifs gagnent.
Mercredi soir, la mission de l’ONU en Irak (Unami) s’est par ailleurs émue de la mort par balle de la militante des droits de l’Homme Souad al-Ali,a priori tuée dans des circonstances plus claires, par son mari, à Bassora, au sud du pays. La police ayant communiqué en invoquant un « différend familial », la mission des Nations Unies a réagi en rappelant « condamner tout acte de violence, en particulier contre les femmes, dont le meurtre, les menaces et l’intimidation, comme des actes totalement inacceptables ».
Les (((Nations-Unies))) peuvent compter sur les traînées comme vecteur du progrès.
Ce qui sauve l’Irak de la dégénérescence juive complète à ce stade, ce sont les Gardiens de la Révolution iraniens. S’il n’y avait pas ces quelques dizaines de milliers de types, dans 20 ans la patrie de Saddam Hussein sera remplie de nègres, de pédales sidaïques et de traînées tatouées pendant que les youpins d’Israël feront du tourisme dans les ruines de Babylonie.
Ce que je hais ces juifs.