L’ancien patron de la CIA annonce que l’OTAN attaquera l’armée russe si elle défend son territoire contre les hordes de Zelensky avec ses armes nucléaires

La rédaction
Démocratie Participative
04 octobre 2022

ZOG ne prend plus vraiment de chemins détournés pour vendre sa guerre mondiale.

The Guardian :

Les États-Unis et leurs alliés détruiraient les troupes et les équipements de la Russie en Ukraine – et couleraient sa flotte de la mer Noire – si le président russe, Vladimir Poutine, utilisait des armes nucléaires dans le pays, a averti dimanche David Petraeus, ancien directeur de la CIA et général quatre étoiles à la retraite.

M. Petraeus a déclaré qu’il n’avait pas parlé au conseiller à la sécurité nationale, Jake Sullivan, de la réponse probable des États-Unis à une escalade nucléaire de la part de la Russie, réponse qui, selon les responsables de l’administration, a été communiquée à plusieurs reprises à Moscou.

Il a déclaré à ABC News : « Pour vous donner une hypothèse, nous répondrions en menant un effort de l’Otan – un effort collectif – qui détruirait toutes les forces conventionnelles russes que nous pouvons voir et identifier sur le champ de bataille en Ukraine et aussi en Crimée, ainsi que tous les navires en mer Noire. »

Cet avertissement intervient quelques jours après que M. Poutine a exprimé des opinions que beaucoup ont interprétées comme une menace de guerre plus large entre la Russie et l’Occident.

À la question de savoir si l’utilisation d’armes nucléaires par la Russie en Ukraine entraînerait l’Amérique et l’OTAN dans la guerre, M. Petraeus a répondu qu’il ne s’agirait pas d’une situation déclenchant l’article 5 de l’alliance, qui appelle à une défense collective. En effet, l’Ukraine ne fait pas partie de l’OTAN. Néanmoins, une « réponse des États-Unis et de l’OTAN » serait nécessaire, a déclaré M. Petraeus.

L’Ukraine ne fait pas partie de l’OTAN, mais l’Ukraine fait quand même partie de l’OTAN.

Ne reste plus qu’à solliciter quelques avocats juifs pour coucher ça par écrit.

M. Petraeus a reconnu que la probabilité que les radiations s’étendent aux pays de l’OTAN sous le parapluie de l’article 5 pourrait peut-être être interprétée comme une attaque contre un membre de l’OTAN.

« Vous pouvez peut-être avancer cet argument », a-t-il déclaré. « L’autre argument est que c’est tellement horrible qu’il doit y avoir une réponse – cela ne peut pas rester sans réponse ».

Pourtant, a ajouté M. Petraeus, « vous ne voulez pas, encore une fois, vous lancer dans une escalade nucléaire. Mais vous devez montrer que cela ne peut en aucun cas être accepté ».

Néanmoins, alors que la pression s’accroît sur Poutine après les gains ukrainiens dans l’est du pays en vertu de la déclaration d’annexion de la semaine dernière et que la résistance aux efforts de mobilisation en Russie s’intensifie, Petraeus a déclaré que le dirigeant de Moscou était « désespéré ».

« La réalité du champ de bataille à laquelle il est confronté est, je pense, irréversible », a-t-il déclaré. « Aucune mobilisation désordonnée, qui est la seule façon de la décrire, aucune annexion, aucune menace nucléaire, même voilée, ne peut le sortir de cette situation particulière.

« À un moment donné, il va falloir le reconnaître. À un moment donné, il va falloir qu’il y ait une sorte de début de négociations, comme l’a dit le président [ukrainien] Zelenskiy, ce sera la fin ultime. »

Mais, a averti M. Petraeus, « la situation peut encore empirer pour Poutine et pour la Russie. Et même l’utilisation d’armes nucléaires tactiques sur le champ de bataille n’y changera rien du tout. » Pourtant, a-t-il ajouté, « il faut prendre la menace au sérieux ».

Ce niveau de talmudisme est prodigieux.

L’objet de cette discussion absurde consiste à entrer en guerre sans entrer en guerre.

Le gang juif de Washington a décidé d’intervenir directement, mais il s’interroge encore sur la date et le prétexte.

Ce débat sur l’évitement de « l’escalade nucléaire » tout en ripostant à une « escalade nucléaire » n’a aucun sens militaire. Dès lors que les États-Unis attaqueraient directement l’armée russe, ce serait une guerre mondiale qui finirait rapidement en confrontation nucléaire entre la Russie et les États-Unis.

Ce Petraeus, qui a supervisé le désastre afghan, affirme vouloir détruire la flotte russe en Mer Noire. Cela nécessiterait d’attaquer Sébastopol pour anéantir ses forces nucléaires sous-marines.

La Russie ne laisserait pas ses sous-marins nucléaires couler sans riposter à grande échelle.

La juiverie belliciste américaine cherche un moyen d’entraîner l’intervention directe de l’OTAN en Ukraine car c’est juridiquement impossible puisque cet état factice n’est pas membre de l’OTAN et que l’OTAN est théoriquement une alliance défensive.

Mais l’Ukraine est en fait déjà membre de l’OTAN parce qu’elle est dirigée par un président juif.

Les questions de paperasses n’ont plus d’intérêt.

Il faut bricoler un truc, si possible avec le mot « nucléaire » dedans, ou « chimique » – notamment « gaz » (les juifs adorent les phrases avec le mot « gaz ») – pour mener le troupeau démocratique à l’abattoir.

La question à présent, c’est de savoir quand l’armée française sera entraînée dans cette confrontation directe. Ou plutôt, quand ses unités déployées face aux Russes grilleront sous les radiations.

La canaille démocratique du parlement français a reçu tous les transferts de fonds nécessaires et aboie à présent contre la paix.

L’argument est le plus vieux en usage : les goyim qui refusent cette guerre mondiale sont des traîtres.

Les plus hystériques bellicistes de ce troupeau aux ordres des juifs le sont parce que le système dispose sur eux de dossiers accablants.

Le refrain sur les « valeurs » démontre que Thiériot est un atroce adepte de l’anal, probablement sur des enfants.

Mieux vaut s’habituer à ces attaques, car au nom de cette guerre barbare contre l’humanité, les cannibales juifs et leurs chiens d’attaque démocrates vont chercher à justifier toutes les mesures d’exception.

L’effondrement financier de l’UE est en cours, il ne reste que quelques années avant le défaut de paiement général et la fin de la pyramide de Ponzi du système socialisé occidental. Le système globaliste le sait et seule une guerre peut détourner la plèbe d’une révolution, par nature contresémite puisque ce système est juif de part en part.

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