Captain Harlock
Démocratie Participative
28 juin 2018
D’après les juifs, affirmer que les races existent sera donc passible des pires persécutions.
Du moins, dès lors que ce seront les Blancs qui s’en rendront coupables.
Europe 1 :
L’alinéa modifié de la Constitution pourrait bientôt s’écrire : la France « assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction de sexe, d’origine ou de religion » au lieu de « sans distinction d’origine, de race ou de religion ».
Le président de la République a indiqué mercredi soir, lors d’un dîner avec des élus ultramarins à l’Élysée, qu’il souhaitait « voir aboutir » la suppression du mot « race » dans la Constitution, dans le cadre du projet de réforme constitutionnelle.
Revenant sur la réforme discutée actuellement en commission, le chef de l’État a souligné le combat de nombreux députés ultramarins : « Il y avait un sujet que vous avez porté avec force, que vous portez depuis longtemps et que je souhaite voir aboutir dans le cadre de cette réforme, c’est le sujet symbolique de la mention de la race, et je crois que nous devons le faire aboutir dans le cadre de cette réforme constitutionnelle », a-t-il dit aux élus. « La garde des Sceaux aura à mener ce chantier semé d’embûches mais sur ce point je crois que c’est conforme à de nombreux combats sur lesquels nous nous sommes collectivement engagés et que vous avez longtemps portés », a-t-il ajouté, sans en dire davantage.
Tous les groupes avaient déposé des amendements pour considérer que la persistance du terme « race », introduit dans la Constitution en 1946 pour rejeter les théories racistes après le nazisme, était aujourd’hui « mal comprise » et « infondée », alors qu’il est démontré qu’il n’existe pas de races au sein de l’espèce humaine.
Il est évident que les races n’existent plus puisque la constitution ne la mentionnera plus.
En fait, il suffisait d’y penser.