L’Algérie au bord de la révolution suite au cinquième mandat de la momie Bouteflika

Captain Harlock
Démocratie Participative
25 février 2019

 

Apparemment, ce trou à rats qu’est l’Algérie est au bord de la révolution.

Ces maghrébins n’ont pas l’air très inspirés par la reconduite de la momie qui leur sert de chef de l’état à la présidence.

Le concept même d’état pour parler de l’Algérie est très exagéré.

Il s’agit d’une cage à poule islamique tenue d’une main de fer par des razzieurs sans merci.

Les appels au calme n’ont pas de grandes chances d’aboutir.

D’ailleurs, je pense que vous savez tous que nous sommes nous-mêmes concernés puisque nous avons la chance d’être une semi-colonie algérienne.

Quelle bonne idée que de repeupler la France avec ces beurs.

A la moindre révolution dans leur trou à rats, les heurts commencent à se multiplier dans nos rues.

Les CRS qui se plaignent des Gilets Jaunes risquent de devoir traiter cette clientèle avec tous les égards qui lui sont dus.

D’un côté, vous avez bien sûr ceux qui pensent qu’une révolution dans un pays islamique produit des miracles.

Et puis de l’autre vous avez  les bougnoules.

Lorsque les bougnoules commencent à avoir carte blanche pour faire ce qu’ils veulent dans les rues, ce n’est pas le développement durable ou la libération des beurettes qui est au rendez-vous.

C’est le djihad.

L’Obs :

C’était début février. Nous demandions à un haut responsable français ce qui inquiétait le plus Emmanuel Macron. Une nouvelle crise financière ? Une cyberattaque massive des Russes ? Des frappes américaines sur l’Iran ? « Vous n’y êtes pas », a répondu ce personnage central de la macronie. « Le cauchemar du président de la République, c’est l’Algérie. C’était aussi celui de ses prédécesseurs. Les plus hautes autorités de l’Etat sont terrifiées par la perspective d’une grave déstabilisation de notre ancienne colonie après la mort de Bouteflika [président depuis 1999]. »

Cette confidence date de plusieurs jours avant les manifestations de la jeunesse algérienne contre un cinquième mandat du président grabataire. On imagine donc aisément qu’aujourd’hui l’Algérie est plus que jamais le sujet numéro un des préoccupations de l’Elysée. Une grave crise politique dans ce pays si proche – à la suite d’une révolte de la jeunesse et/ou d’une disparition de son président – risque, en effet, de poser des problèmes considérables à la France.

Quatre raisons à cela :

  • l’Algérie est l’un des principaux fournisseurs d’énergie de la France (10% du gaz importé) ;

  • en cas de déstabilisation profonde du pays, des centaines de milliers de jeunes (les moins de 20 ans représentent la moitié des 42 millions d’Algériens) pourraient tenter de rejoindre la France par tous les moyens, y compris avec des bateaux de fortune, ce qui, à l’évidence, poserait un défi politique majeur au gouvernement français ;

  • d’autant que l’immigration algérienne en France et sa descendance est nombreuse et attentive à ce qui se passe de l’autre côté de la Méditerranée ;

  • enfin, la précédente crise politique algérienne à la fin des années 1980 a ouvert la voie aux djihadistes qui ont semé la terreur dans le pays pendant une décennie et menacé la France à plusieurs reprises. Autant de perspectives qui évidemment inquiètent Emmanuel Macron au plus haut point.

La perspective de voir des millions d’algériens arriver en France me remplit de joie.

Il va sans dire que nous en prendrons, d’emblée, au moins 3 ou 4 millions en guise de hors d’oeuvre. Au nom des droits de l’homme, de la colonisation, etc..

Des Houria Bouteldja par milliers pour réclamer la décapitation des Blancs.

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