L’agent du Diable Bergoglio veut abolir 2000 ans de tradition chrétienne pro-peine de mort

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
12 octobre 2017

 

Cet envoyé de Satan n’a de cesse de répandre son venin dans les esprits.

Info Catho :

« La condamnation à la peine de mort est une mesure inhumaine qui blesse la dignité personnelle ». Le Pape François s’est exprimé ce 11 octobre 2017 à l’occasion du 25ème anniversaire du Catéchisme de l’Église Catholique promulgué par Saint Jean-Paul II le 11 octobre 1992. Devant les participants à cette rencontre organisée par le Conseil Pontifical pour la Promotion de la Nouvelle Évangélisation dans la salle du Synode au Vatican, le Saint-Père a réaffirmé l’évolution de la position de l’Église sur la peine capitale : « la peine de mort est inadmissible car elle attente à l’inviolabilité de la personne ».

La peine capitale est « un remède extrême et inhumain » dicté « par une mentalité plus légaliste que chrétienne » qui faisait ainsi « disparaître le primat de la miséricorde sur la justice » a déploré le Saint-Père qui assume la responsabilité de ce passé. Mais aujourd’hui, « le développement harmonieux de la doctrine demande cependant d’abandonner des prises de position liées à des arguments qui apparaissent désormais réellement contraires à une nouvelle compréhension de la vérité chrétienne ». Car la Tradition de l’Église est une réalité dynamique, toujours vivante, qui progresse. « La Parole de Dieu ne peut être conservée dans la naphtaline comme s’il s’agissait d’une vieille couverture dont il faudrait éloigner les parasites ! » a lancé le Pape, qui appelle, non pas à changer la doctrine, mais à changer de lecture sur la doctrine, en adoptant une « religieuse écoute » de l’Église d’aujourd’hui pour la faire avancer.

L’hérétique communiste Bergoglio, toujours activement engagé dans la subversion de l’enseignement chrétien pour perdre les masses au profit de leurs ennemis, a annoncé qu’il annulait deux millénaires d’enseignement sur le sujet, de par sa seule volonté.

Il n’y a rien de plus grave que de dire que la Parole divine serait périmée et qu’un homme pourrait la réviser pour répondre aux attentes des loges maçonniques qui, par ailleurs, valident l’avortement.

L’amour comme fondation du Catéchisme de l’Église Catholique. C’est à partir de cette explication, que le Pape François a souhaité aborder le sujet de la peine de mort. « Un thème qui devrait trouver dans la Catéchisme de l’Église Catholique, un espace plus approprié et plus en adéquation avec cette finalité ». Car jusqu’à aujourd’hui, cette sentence n’était pas formellement exclue par l’Eglise. En effet, dans le Catéchisme de l’Église Catholique de 1992, il est stipulé : « L’enseignement traditionnel de l’Église n’exclut pas, quand l’identité et la responsabilité du coupable sont pleinement vérifiées, le recours à la peine de mort si celle-ci est l’unique moyen praticable pour protéger efficacement de l’injuste agresseur la vie des êtres humains » (Catéchisme de l’Église Catholique, IIIè partie. La vie dans le Christ – deuxième section. Les dix commandements – chapitre 2 “Tu aimeras ton prochain comme toi-même ” – article 5. Le cinquième commandement – I. Le respect de la vie humaine – alinéa 2267).

L’article l’admet : la peine de mort est licite et parfaitement intégrée dans l’enseignement traditionnel chrétien.

Dès lors, des deux propositions, soit celle de Bergoglio est juste et tous les Saints, papes et Pères de l’Eglise ont menti depuis 2000 ans, soit c’est ce jésuite qui ment.

Le Pape François, dans ce discours, réaffirme ainsi l’évolution de la position de l’Église sur la peine capitale. Après Saint Jean-Paul II et Benoît XVI, François veut redire « avec force que la condamnation à la peine de mort est une mesure inhumaine qui blesse la dignité personnelle, quel que soit son mode opératoire ». Décider « de supprimer une vie humaine » est « inadmissible », « quelque puisse être la gravité de la faute commise » a répété avec fermeté le Saint-Père, car c’est une décision par elle-même contraire à l’Évangile. Seul Dieu peut se faire « le véritable juge et le garant » de cette vie sacrée, d’autant que pas même le meurtrier ne doit perdre sa dignité personnelle, « car Dieu est un Père qui attend toujours le retour du fils qui, conscient de ses erreurs, demande pardon et commence une nouvelle vie ».

L’Église Catholique tient les Saintes Écritures pour infaillibles par définition. Et celles-ci ont toujours été limpides sur cette question.

Ainsi de la Genèse (9:6), « Si quelqu’un verse le sang de l’homme, par l’homme son sang sera versé; car Dieu a fait l’homme à son image »,

des Actes (25:11), « Si j’ai commis quelque injustice, ou quelque crime digne de mort, je ne refuse pas de mourir; mais, si les choses dont ils m’accusent sont fausses, personne n’a le droit de me livrer à eux. J’en appelle à César »,

des Romains (13:4), « Le magistrat est serviteur de Dieu pour ton bien. Mais si tu fais le mal, crains; car ce n’est pas en vain qu’il porte l’épée, étant serviteur de Dieu pour exercer la vengeance et punir celui qui fait le mal »,

ou encore des Nombres (35:33), « Vous ne souillerez point le pays où vous serez, car le sang souille le pays; et il ne sera fait pour le pays aucune expiation du sang qui y sera répandu que par le sang de celui qui l’aura répandu. ».

Cet anti-pape est clairement un envoyé du Diable et ce n’est pas un hasard s’il donne la main aux juifs.