Captain
Démocratie Participative
05 mai 2018
Désolé, mais tu comprends, il faut donner une 24ème chance à Yannis
Avant de commencer, précisons que le « Y. » en question est un bougnoule qui s’appelle Yannis.
La cour d’assises a retenu, vendredi, l’excuse de minorité en condamnant celui qui avait sauvagement frappé l’étudiant à Lyon en 2016.
Au terme des trois jours de procès, la cour d’assises des mineurs de Lyon (Rhône) a condamné vendredi soir l’agresseur de Marin à sept ans et demi de prison. Y., alors âgé de 17 ans seulement, avait tabassé, le soir du 11 novembre 2016, cet étudiant à coups de béquilles au point de le laisser handicapé à vie. Vendredi, l’accusé a bénéficié de l’excuse de minorité. Cette disposition, qui peut s’appliquer à un mineur, permet de diviser par deux la peine maximum encouru par un adulte.
Quelques heures plus tôt, le parquet avait pourtant demandé à la cour de ne pas retenir cette fameuse excuse de minorité et de condamner l’accusé à 14 ans de réclusion criminelle. Dans son réquisitoire, le magistrat avait insisté sur « la gravité des faits », considérant que l’on était dans cette affaire « dans l’antichambre de la tentative d’homicide » et en présence « de violences extrêmes ».
Cette « peine exemplaire », requise par le parquet, était également espérée par Marin et sa famille. Après le verdict, ils n’ont pas caché leur déception. « Marin et sa famille attendaient une réponse pénale forte », a reconnu leur avocat, Me Frédéric Doyez. « Ils sont déçus, ils espéraient voir écarter l’exception de minorité car cette histoire est une histoire exceptionnelle. » La famille de Marin ne semble pourtant favorable à un appel du parquet.
Me Anne Guillemaut, avocate de l’accusé, a quant à elle poussé un ouf de soulagement en pleine audience à l’annonce de la peine. « Y. prend le maximum prévu pour un mineur, c’est donc une sanction lourde, mais juste. La justice a été rendue, considère-t-elle. Il est soulagé, il a vu le moment où il pouvait partir pour douze ou treize ans de détention. »
Celle qui suit Y. depuis l’âge de 11 ans dans sa dérive délinquante se dit « persuadée qu’il va changer en prison ». « Il le souhaite au plus profond de lui-même. Cette audience va être un véritable déclic car il va pouvoir s’autoriser à dire ses souffrances, pouvoir grandir, mûrir et devenir un homme. Il assume les faits, il savait qu’il allait être condamné », estime Me Guillemaut tout en redoutant un appel du parquet et donc un deuxième procès.
Oui, la taule change les arabes. Elle en fait des Suédois.
Contrairement à ce qu’on entend à longueur de temps, l’affirmation que « les Blancs baissent les yeux » parce qu’ils seraient faibles est totalement fausse. Cette attitude n’est que le résultat d’une rééducation psychologique de masse entreprise par les médias et l’Etat afin de détruire les réflexes d’autodéfense des Blancs.
Cela passe par deux processus.
Le premier, c’est la normalisation de la sauvagerie des nègres et des arabes. Tant par le discours médiatique qui les déresponsabilise en excipant des causes externes – « sociales » – à leur comportement criminogène.
Nous avons désormais deux droits : celui qui s’applique dans toute sa force contre les Blancs et l’autre, non-écrit, qui consiste à minimiser les peines dès lors que les coupables sont des allogènes.
Le deuxième processus, c’est la démoralisation des Blancs.
Elle passe par une culpabilisation permanente de ceux-ci par les médias juifs et le déchaînement de la répression au moindre signe de résistance raciale.
Concrètement, c’est ce qui explique pourquoi les Zadistes ou les Black Blocs peuvent tout exploser dans l’impunité totale d’un côté tandis que le seul fait d’ouvrir un local nationaliste déclenche la mobilisation du gouvernement d’occupation de l’autre.
Ces médias juifs et ces magistrats marxistes et maçons oeuvrent en permanence à cette démoralisation dont le résultat final est l’apathie totale des autochtones que nous voyons.
En France, en 2018, un Blanc ne va pas prendre de risques pour sauver quelqu’un parce qu’il sait que la machine judiciaire le détruira, peu importe le contexte. Or, un Blanc travaille et a une famille et c’est précisément parce que c’est un élément productif qu’il redoute sa mise à mort sociale. Pour un Blanc, bâtir est sa raison de vivre. Si vous l’en privez, il n’a plus de raison d’être.
La « peur des arabes » ne joue aucun rôle là-dedans, où très marginalement si, par exemple, vous parlez d’un Blanc isolé face à une bande de dix arabes.
Si les Blancs avaient carte blanche pour répondre, les arabes et les nègres seraient terrorisés. Authentiquement terrorisés.
La logique du système en la matière est dynamique : plus vous intensifiez la colonisation de peuplement islamo-nègre, plus les tensions raciales croissent. En retour, la démoralisation des Blancs doit s’accroître pour circonvenir toute explosion de violence défensive.
Et plus ça va, plus cette violence potentielle est élevée.
Pour se maintenir en place, ce système doit offrir un exutoire aux masses arabes et nègres et cet exutoire doit ne pas pouvoir réagir pour précisément remplir sa fonction d’exutoire.
Au surplus, le rôle objectif de ces hordes de nègres et d’arabes est de servir de garde prétorienne au gouvernement d’occupation judéo-républicain.
Pour que la donne change, le principe est simple : les Blancs ne doivent plus rien avoir à perdre socialement parce que leur avenir économique est ruiné.